Les 25 correspondants régionaux du Service autonome pour la Promotion de l'Enseignement privé (SAPEP) ont désormais de nouveaux outils de gestion pour être efficaces. Ils sont, depuis quelques jours, un peu plus informés des activités de leur centrale (le SAPEP) qui, à son tour, en sait un peu plus sur les activités que mènent ses correspondants.
C'est ce qui ressort du séminaire annuel du SAPEP avec ses correspondants qui a eu lieu, le jeudi 5 février dernier, à l'hôtel du District d'Abidjan au Plateau.
Ces correspondants, issus des directions régionales de l'Education nationale (DREN) et des Directions départementales de l'Education nationales (DDEN) ont passé au peigne fin les quatre arrêtés récemment pris par le ministre de l'Education nationale pour insuffler une nouvelle dynamique à l'enseignement privé. A savoir l'arrêté portant création d'un comité de suivi et évaluation des écoles privées laïques et confessionnelles d'enseignement général et d'une brigade de lutte contre les établissements scolaires privés d'enseignement général clandestins ou non autorisés ; l'arrêté portant adaptation des textes de la Commission nationale technique de l'enseignement privé (CNTEP) aux nouvelles réalités de l'enseignement privé et l'arrêté portant harmonisation des frais d'inscription.
Des personnes sollicitées par le SAPEP ont renforcé les capacités de ces correspondants par d'importantes communications. Diahoré Zaraté, directeur des affaires générales à la direction générale de l'administration du territoire a instruit les séminaristes sur la contribution de l'administration territoriale dans le processus d'octroi d'une demande d'autorisation de création d'un établissement scolaire privé d'enseignement général. Yéo Napori, sous-directeur à la commission nationale pour le développement durable a exposé sur la contribution du ministère de l'Environnement pour un environnement sain. Mobio Daniel, sous- directeur chargé de l'éducation et de la formation et des sports à la direction de la promotion humaine du District d'Abidjan, les a instruits sur la contribution dudit district dans ce processus. Le ministère de la Construction et de l'Urbanisme et l'Institut national de l'hygiène publique ont également fait des contributions enrichissantes pour ces correspondants.
Les échanges qui ont suivies ces communications ont permis aux 25 correspondants du SAPEP de mieux comprendre ce que font les autres acteurs impliqués dans le processus d'octroi d'une demande d'autorisation de création d'un établissement scolaire privé.
Tous les participants à ce séminaire ont compris que l'agrément délivré aux fondateurs est signé du ministre Bleu Lainé et non du chef du SAPEP ont déploré les “faux procès” qui sont faits à ce service.
Le bilan positif des activités de ce service a aussi été fait. “Ce séminaire a été une belle occasion pour réfléchir ensemble pendant quelques heures sur les nouvelles orientations à prendre pour renforcer la gestion de l'enseignement privé. Les résultats qui sont sortis de cette rencontre sont attendus par le ministre Bleu Lainé. Les recommandations les plus importantes lui seront soumises et avec son appui nous allons les traduire en acte. Durant les travaux, nous sommes allés à l'essentiel en allant chercher au plus profond de nous-mêmes les contributions importantes et utiles devant renforcer les capacités de gestion de l'enseignement privé en particulier et de notre système éducatif en général. Le ministre de l'Education nationale a fait sa part. Il reste aux services techniques, notamment le SAPEP de jouer leur partition. Nous devons à tout prix éviter que ces arrêtés soient lettres mortes Et cela n'est possible que si les différentes dispositions qu’ils contiennent sont traduites en actions sur le terrain”, a déclaré satisfaite de ce séminaire Mme Khouadiani Pongathié Nathalie chef du SAPEP.
C.B.
C'est ce qui ressort du séminaire annuel du SAPEP avec ses correspondants qui a eu lieu, le jeudi 5 février dernier, à l'hôtel du District d'Abidjan au Plateau.
Ces correspondants, issus des directions régionales de l'Education nationale (DREN) et des Directions départementales de l'Education nationales (DDEN) ont passé au peigne fin les quatre arrêtés récemment pris par le ministre de l'Education nationale pour insuffler une nouvelle dynamique à l'enseignement privé. A savoir l'arrêté portant création d'un comité de suivi et évaluation des écoles privées laïques et confessionnelles d'enseignement général et d'une brigade de lutte contre les établissements scolaires privés d'enseignement général clandestins ou non autorisés ; l'arrêté portant adaptation des textes de la Commission nationale technique de l'enseignement privé (CNTEP) aux nouvelles réalités de l'enseignement privé et l'arrêté portant harmonisation des frais d'inscription.
Des personnes sollicitées par le SAPEP ont renforcé les capacités de ces correspondants par d'importantes communications. Diahoré Zaraté, directeur des affaires générales à la direction générale de l'administration du territoire a instruit les séminaristes sur la contribution de l'administration territoriale dans le processus d'octroi d'une demande d'autorisation de création d'un établissement scolaire privé d'enseignement général. Yéo Napori, sous-directeur à la commission nationale pour le développement durable a exposé sur la contribution du ministère de l'Environnement pour un environnement sain. Mobio Daniel, sous- directeur chargé de l'éducation et de la formation et des sports à la direction de la promotion humaine du District d'Abidjan, les a instruits sur la contribution dudit district dans ce processus. Le ministère de la Construction et de l'Urbanisme et l'Institut national de l'hygiène publique ont également fait des contributions enrichissantes pour ces correspondants.
Les échanges qui ont suivies ces communications ont permis aux 25 correspondants du SAPEP de mieux comprendre ce que font les autres acteurs impliqués dans le processus d'octroi d'une demande d'autorisation de création d'un établissement scolaire privé.
Tous les participants à ce séminaire ont compris que l'agrément délivré aux fondateurs est signé du ministre Bleu Lainé et non du chef du SAPEP ont déploré les “faux procès” qui sont faits à ce service.
Le bilan positif des activités de ce service a aussi été fait. “Ce séminaire a été une belle occasion pour réfléchir ensemble pendant quelques heures sur les nouvelles orientations à prendre pour renforcer la gestion de l'enseignement privé. Les résultats qui sont sortis de cette rencontre sont attendus par le ministre Bleu Lainé. Les recommandations les plus importantes lui seront soumises et avec son appui nous allons les traduire en acte. Durant les travaux, nous sommes allés à l'essentiel en allant chercher au plus profond de nous-mêmes les contributions importantes et utiles devant renforcer les capacités de gestion de l'enseignement privé en particulier et de notre système éducatif en général. Le ministre de l'Education nationale a fait sa part. Il reste aux services techniques, notamment le SAPEP de jouer leur partition. Nous devons à tout prix éviter que ces arrêtés soient lettres mortes Et cela n'est possible que si les différentes dispositions qu’ils contiennent sont traduites en actions sur le terrain”, a déclaré satisfaite de ce séminaire Mme Khouadiani Pongathié Nathalie chef du SAPEP.
C.B.