Directeur départemental de campagne du candidat Gbagbo à Oumé, l’ancienne ministre Odette Likikouet Sauyet, député de Diégonéfla, a remis 4 motos aux secrétaires de section du FPI et elle s’apprête à remettre 4 autres motos. “J’avais promis 18 motos aux secrétaires généraux de section. J’ai acquis 8 motos et j’ai commandé les 10 qui restent. Nos militants ont réellement besoin d’être appuyés pour donner les résultats que le parti attend d’eux”, a fait savoir Odette Sauyet. Qui a visité les centres d’enrôlement à Diégonéfla, Guépahouo et à Oumé le week-end dernier. Elle a expliqué qu’elle a le devoir de faire le minimum de gestes à l’égard des militants quand le parti ne peut faire face aux besoins exprimés par les responsables des bases. Mais, selon elle, les regards sont toujours tournés vers la direction du parti.
Dans le même élan, le député de Diégonéfla a remis aux directeurs locaux de campagne (DLC) 1.200 timbres répartis comme suit : 600 timbres pour l’établissement des extraits de naissance pour les populations d’Oumé, 400 pour Diégonéfla et 200 pour Guépahouo. En plus, elle a remis une somme de un million de francs CFA aux directeurs locaux de campagne (DLC).
Pour Odette Sauyet, le nombre de timbres remis depuis le début de l’opération inondation s’élève à plus de 3000. Cette action, a-t-elle poursuivi, a été possible grâce au concours du parti qui a donné les moyens à la direction départementale de campagne pour aider les potentiels électeurs à acquérir leurs extraits de naissance devant leur permettre de se faire enrôler.
Selon l’ancienne ministre, les directeurs locaux de campagne sont plus engagés sur le terrain dans le suivi du processus électoral. Avant d’ajouter que les étapes qui doivent aboutir aux élections étant nombreuses, il faut gérer avec prudence les moyens mis à la disposition de sa direction.
Toujours sur ce chapitre de la dotation des moyens, le secrétaire général de la fédération de la jeunesse du FPI, Bernard Kacou, a reçu une moto de la part de Mme Séri Sita, sœur cadette du directeur départemental de campagne.
Sur la question de l’obtention des extraits de naissance, le fédéral JFPI d’Oumé a souligné que les recherches entreprises à l’état civil ont permis de retrouver 1.147 extraits à Oumé, 500 à Guépahouo et 1200 à Diégonéfla. Ces documents sont remis aux ayants droit afin de se faire enrôler. Ces efforts, a-t-il dit, se poursuivent pour donner la chance au plus grand nombre d’électeurs de se faire enrôler et identifier. Mais, au dire de Bernard Kacou, les recherches ne sont pas aisées à l’état civil et toutes les personnes étrangères au service ne sont pas autorisées à y avoir accès.
B. K. benjaminkore@yahoo.fr
Dans le même élan, le député de Diégonéfla a remis aux directeurs locaux de campagne (DLC) 1.200 timbres répartis comme suit : 600 timbres pour l’établissement des extraits de naissance pour les populations d’Oumé, 400 pour Diégonéfla et 200 pour Guépahouo. En plus, elle a remis une somme de un million de francs CFA aux directeurs locaux de campagne (DLC).
Pour Odette Sauyet, le nombre de timbres remis depuis le début de l’opération inondation s’élève à plus de 3000. Cette action, a-t-elle poursuivi, a été possible grâce au concours du parti qui a donné les moyens à la direction départementale de campagne pour aider les potentiels électeurs à acquérir leurs extraits de naissance devant leur permettre de se faire enrôler.
Selon l’ancienne ministre, les directeurs locaux de campagne sont plus engagés sur le terrain dans le suivi du processus électoral. Avant d’ajouter que les étapes qui doivent aboutir aux élections étant nombreuses, il faut gérer avec prudence les moyens mis à la disposition de sa direction.
Toujours sur ce chapitre de la dotation des moyens, le secrétaire général de la fédération de la jeunesse du FPI, Bernard Kacou, a reçu une moto de la part de Mme Séri Sita, sœur cadette du directeur départemental de campagne.
Sur la question de l’obtention des extraits de naissance, le fédéral JFPI d’Oumé a souligné que les recherches entreprises à l’état civil ont permis de retrouver 1.147 extraits à Oumé, 500 à Guépahouo et 1200 à Diégonéfla. Ces documents sont remis aux ayants droit afin de se faire enrôler. Ces efforts, a-t-il dit, se poursuivent pour donner la chance au plus grand nombre d’électeurs de se faire enrôler et identifier. Mais, au dire de Bernard Kacou, les recherches ne sont pas aisées à l’état civil et toutes les personnes étrangères au service ne sont pas autorisées à y avoir accès.
B. K. benjaminkore@yahoo.fr
