Le 7ème congrès ordinaire de l’Union nationale des journalistes de Côte d’Ivoire (UNJCI) n’aura plus lieu les 13, 14 et 15 février 2009, à Yamoussoukro, comme initialement prévu. C’est César Etou, président du comité d’organisation, qui a donné l’information, hier, lors d’une conférence de presse, à la Maison de la presse d’Abidjan, au Plateau.
César Etou, premier vice-président chargé de la formation de l’Union nationale des journalistes de Côte d’Ivoire (UNJCI), président du comité d’organisation du 7ème congrès électif de l’institution, était face à la presse, hier, à la Maison de la presse d’Abidjan (Plateau). Il s’agissait pour lui de d’annoncer le report du congrès. “Il y a 3 raisons fondamentales : l’une est d’ordre budgétaire, l’autre est liée à l’organisation des obsèques de notre confrère et aîné Jérôme Diégou Bailly et la troisième est la polémique autour des candidatures à la présidence de l’UNJCI”, a expliqué César Etou. Dans un premier temps, a-t-il ajouté, il était question d’organiser le congrès à Yamoussoukro les 13, 14 et 15 février 2009, avec 400 journalistes attendus ; ce qui devrait nous coûter pas moins de 80 millions FCFA. C’est donc dans l’impossibilité de réunir cette somme, selon lui, que le comité d’organisation s’est tourné vers la ville de Grand-Bassam. “Si nous réunissons 25 millions FCFA, nous pouvons y organiser le congrès mais avec seulement 200 au lieu de 400 journalistes”.
En ce qui concerne les obsèques de Jérôme Diégou Bailly, César Etou a soutenu qu’elles impliquent la participation des journalistes dans le comité d’organisation, vu que le défunt a été le 2ème président de l’UNJCI avec deux mandats. “Ses funérailles étant prévues fin février, il nous faut d’abord attendre”, a-t-il dit.
Pour la troisième raison, le président du comité d’organisation a brandi une “polémique inutile autour des candidatures qui a amené le ministère de tutelle à mettre en place un comité de sages en vue de gérer la médiation. Puisque, selon lui, ce comité planchant actuellement sur cette crise et s’apprêtant à rendre publiques les conclusions de ses travaux, le Congrès ne peut être organisé avant.” Mais quelles sont les nouvelles dates arrêtées ? “Nous nous attellerons à ce que la durée de ce report indépendant de notre volonté soit le plus bref possible ; peut-être d’ici fin février, début mars”, a répondu César Etou.
Amos Béonaho, président sortant de l’UNJCI, Joseph Anoma, président du Conseil d’administration sortant de l’institution et Laurence Sautier, 1ère vice-présidente du comité d’organisation entouraient César Etou sur la table de séance.
Marcellin Boguy
César Etou, premier vice-président chargé de la formation de l’Union nationale des journalistes de Côte d’Ivoire (UNJCI), président du comité d’organisation du 7ème congrès électif de l’institution, était face à la presse, hier, à la Maison de la presse d’Abidjan (Plateau). Il s’agissait pour lui de d’annoncer le report du congrès. “Il y a 3 raisons fondamentales : l’une est d’ordre budgétaire, l’autre est liée à l’organisation des obsèques de notre confrère et aîné Jérôme Diégou Bailly et la troisième est la polémique autour des candidatures à la présidence de l’UNJCI”, a expliqué César Etou. Dans un premier temps, a-t-il ajouté, il était question d’organiser le congrès à Yamoussoukro les 13, 14 et 15 février 2009, avec 400 journalistes attendus ; ce qui devrait nous coûter pas moins de 80 millions FCFA. C’est donc dans l’impossibilité de réunir cette somme, selon lui, que le comité d’organisation s’est tourné vers la ville de Grand-Bassam. “Si nous réunissons 25 millions FCFA, nous pouvons y organiser le congrès mais avec seulement 200 au lieu de 400 journalistes”.
En ce qui concerne les obsèques de Jérôme Diégou Bailly, César Etou a soutenu qu’elles impliquent la participation des journalistes dans le comité d’organisation, vu que le défunt a été le 2ème président de l’UNJCI avec deux mandats. “Ses funérailles étant prévues fin février, il nous faut d’abord attendre”, a-t-il dit.
Pour la troisième raison, le président du comité d’organisation a brandi une “polémique inutile autour des candidatures qui a amené le ministère de tutelle à mettre en place un comité de sages en vue de gérer la médiation. Puisque, selon lui, ce comité planchant actuellement sur cette crise et s’apprêtant à rendre publiques les conclusions de ses travaux, le Congrès ne peut être organisé avant.” Mais quelles sont les nouvelles dates arrêtées ? “Nous nous attellerons à ce que la durée de ce report indépendant de notre volonté soit le plus bref possible ; peut-être d’ici fin février, début mars”, a répondu César Etou.
Amos Béonaho, président sortant de l’UNJCI, Joseph Anoma, président du Conseil d’administration sortant de l’institution et Laurence Sautier, 1ère vice-présidente du comité d’organisation entouraient César Etou sur la table de séance.
Marcellin Boguy
