"Il faut imaginer des solutions nouvelles. Parce qu'imaginer comment nous pouvons transformer notre pays, est bien plus important que de savoir qu'il faut le faire", a-t-il conseillé. Telle est la parole forte du ministre Mel Théodore, hier, à l'occasion des échanges de vœux avec ses collaborateurs. Il répondait ainsi au personnel qui a égrené un chapelet de doléances en plusieurs points, par la voix de Gisèle Aouti. A savoir : l'installation des directeurs régionaux dans les zones de leurs affectations ; une subvention à leur mutuelle pour la souscription à une assurance maladie ; des instructions pour le suivi du dossier des agents du privé ; la dotation à la brigade de moyens logistiques pour être plus opérationnelles ; la validation et la diffusion de la charte fonctionnelle du ministère aux différents services.
Sans omettre d'appeler ses collègues à plus d'effort dans le travail.
Le Préfet Omé Pieu, qui a parlé au nom du cabinet ministériel, a témoigné que Mel Théodore est resté serein et préoccupé plutôt par la recherche des voies et moyens pour accomplir la mission républicaine que le Président Gbagbo. Parce que le ministre aillant fait sienne, l'interrogation du ministre Paul Akoto Yao : " que serait l'homme sans les problèmes ? ", Le ministre a profité de l'occasion pour rappeler à ses collaborateurs que la crise ivoirienne a trois dimensions : politique, économico-sociale et religieuse et mystique. Dans sa dimension politique, Mel Théodore a accusé ceux qui ont des ambitions démesurées et leur a demandé, dans le même temps, de savoir les limiter. Afin de limiter par ricochet, les dégâts de la crise. Sinon, " tant que cela continuera de nous déranger, c'est que nous n'en sommes pas encore guérit ", a-t-il déduit. Aussi, a-t-il souhaité que 2009, soit une année de guérison pour la Côte d'Ivoire.
Au plan social et économique, le ministre a estimé qu'il touche au plus fort, la cohésion sociale, brise les élans et étouffe la générosité. Il en a donc appelé de tous ses vœux que cette dimension puisse trouver une issue qui permet de garder espoir. " Elle (cette issue) dépend de nous, quand bien même que nous soyons liés à la communauté internationale. Parce que notre ambition de vivre doit nous amener à surmonter les obstacles, au grand dam de ceux qui la dresse devant nous ". Au plan spirituel, Mel Théodore regrette que les Ivoiriens aient mis au goût du jour le " fait nous fait ". Et de prévenir en ces termes : "tant que nous ne romprons pas d'avec cette mentalité, nous resterons toujours des hommes et des femmes soumis aux caprices de la corruption".
Frimo Koukou Djipro
koukoudf@yahoo.fr
Sans omettre d'appeler ses collègues à plus d'effort dans le travail.
Le Préfet Omé Pieu, qui a parlé au nom du cabinet ministériel, a témoigné que Mel Théodore est resté serein et préoccupé plutôt par la recherche des voies et moyens pour accomplir la mission républicaine que le Président Gbagbo. Parce que le ministre aillant fait sienne, l'interrogation du ministre Paul Akoto Yao : " que serait l'homme sans les problèmes ? ", Le ministre a profité de l'occasion pour rappeler à ses collaborateurs que la crise ivoirienne a trois dimensions : politique, économico-sociale et religieuse et mystique. Dans sa dimension politique, Mel Théodore a accusé ceux qui ont des ambitions démesurées et leur a demandé, dans le même temps, de savoir les limiter. Afin de limiter par ricochet, les dégâts de la crise. Sinon, " tant que cela continuera de nous déranger, c'est que nous n'en sommes pas encore guérit ", a-t-il déduit. Aussi, a-t-il souhaité que 2009, soit une année de guérison pour la Côte d'Ivoire.
Au plan social et économique, le ministre a estimé qu'il touche au plus fort, la cohésion sociale, brise les élans et étouffe la générosité. Il en a donc appelé de tous ses vœux que cette dimension puisse trouver une issue qui permet de garder espoir. " Elle (cette issue) dépend de nous, quand bien même que nous soyons liés à la communauté internationale. Parce que notre ambition de vivre doit nous amener à surmonter les obstacles, au grand dam de ceux qui la dresse devant nous ". Au plan spirituel, Mel Théodore regrette que les Ivoiriens aient mis au goût du jour le " fait nous fait ". Et de prévenir en ces termes : "tant que nous ne romprons pas d'avec cette mentalité, nous resterons toujours des hommes et des femmes soumis aux caprices de la corruption".
Frimo Koukou Djipro
koukoudf@yahoo.fr