OUAGADOUGOU, 17 fév 2009 - Le président de la Commission électorale indépendante (CEI) de Côte d'Ivoire a déclaré lundi soir à Ouagadougou "militer" pour que l'élection présidentielle ivoirienne, sans cesse reportée depuis 2005, se déroule dans les "meilleurs délais possibles" en 2009.
"Dans tous les cas de figure, nous militons pour que tout se passe en 2009 dans les meilleurs délais possibles", a déclaré Robert Mambé Beugré.
Il s'exprimait à l'issue d'une réunion du Comité d'évaluation et d'accompagnement (CEA) du processus de paix en Côte d'Ivoire qui a demandé à la CEI de fixer une "période indicative" pour la présidentielle de 2009.
Avant qu'une date ne soit rendue publique, "il faut que tous les éléments qui peuvent nous bloquer dans l'évolution soient mis en évidence pour qu'on les règle une bonne fois pour toutes", a plaidé M. Beugré.
"Il faut terminer l'opération de reconstitution des registres pour qu'il n'y ait pas d'Ivoiriens qui soient laissés au bord de la route", a-t-il notamment rappelé.
Outre le président burkinabè Blaise Compaoré, facilitateur dans la crise ivoirienne, le Premier ministre ivoirien Guillaume Soro, chef de l'ex-rébellion des Forces nouvelles (FN), et la délégation de la présidence ivoirienne dirigée par Alcide Djédjé ont assisté à cette rencontre, en plus de
représentants de bailleurs de fonds et de l'Opération des Nations unies en Côte d'Ivoire (ONUCI).
"Dans tous les cas de figure, nous militons pour que tout se passe en 2009 dans les meilleurs délais possibles", a déclaré Robert Mambé Beugré.
Il s'exprimait à l'issue d'une réunion du Comité d'évaluation et d'accompagnement (CEA) du processus de paix en Côte d'Ivoire qui a demandé à la CEI de fixer une "période indicative" pour la présidentielle de 2009.
Avant qu'une date ne soit rendue publique, "il faut que tous les éléments qui peuvent nous bloquer dans l'évolution soient mis en évidence pour qu'on les règle une bonne fois pour toutes", a plaidé M. Beugré.
"Il faut terminer l'opération de reconstitution des registres pour qu'il n'y ait pas d'Ivoiriens qui soient laissés au bord de la route", a-t-il notamment rappelé.
Outre le président burkinabè Blaise Compaoré, facilitateur dans la crise ivoirienne, le Premier ministre ivoirien Guillaume Soro, chef de l'ex-rébellion des Forces nouvelles (FN), et la délégation de la présidence ivoirienne dirigée par Alcide Djédjé ont assisté à cette rencontre, en plus de
représentants de bailleurs de fonds et de l'Opération des Nations unies en Côte d'Ivoire (ONUCI).