Les collaborateurs du Président Gbagbo, on le découvre maintenant avec ahurissement, une souricière dans le Palais. Comme des agents de la Police Judiciaire, ils sont prêts à capter tous ce qui voudraient rencontrer le ‘‘Grand Chef’’. Les solliciteurs d’audiences passent pour être des gangsters. A peine si on ne leur tire pas dessus. Quelque part, ces rats du Palais Présidentiel sont magnanimes : ils ne font que les poches aux visiteurs.
Tapé Koulou Laurent Président de la Fédération Nationale pour la Paix en Côte d’Ivoire (FNPCI) se souvient de sa mésaventure du mois de janvier dernier.
Lui qui avait décidé de célébrer Gbagbo pour les efforts fournis pour la paix en Côte d’Ivoire. Aucune des deux excellences ne s’est présentée au Palais de la Culture de Treichville le samedi 17 janvier. Pourtant ils avaient reçu des lettres d’information. Des courriers leur ont été adressés pour appui. Ce, un mois avant. Ce n’est seulement que deux (2) jours avant la cérémonie, soit le 15 janvier que l’Ambassadeur Koné Aboubabacar rentrera en contact avec le Président du Comité d’Organisation pour lui signifier une ‘‘ commission’’ du Président Gbagbo. TKL s’exécute et apprend de l’Ambassadeur Koné que ‘‘ le Président a donné la lettre devant lui pour son appui financier’’ .Entre temps les spots télé passaient. Il, est demandé au Président de la FNPCI de joindre (décidément) Marcelline Oboudou, la première secrétaire particulière du Chef de l’Etat. ‘‘ Je ne l’ai appelé seulement que le 16 janvier à 16 h. J’ai dû vendre mes deux (2) machines pour la célébration de Gbagbo et son Premier Ministre. Mme Oboudou m’a fait savoir que je l’ai insultée exprimant sa rancune alors qu’elle avait reçu des consignes de son patron. Elle oubliait que c’est elle qui m’appelait pour mettre les jeunes patriotes et chasser Dominique de Villepin du domicile du Président’’. Allou Eugène est mieux que Koné Aboubacar’’ indique Tapé Koulou en colère. Notons que la cérémonie a eu lieu. Ministres et autres cadres de l’Etat l’ont boycottée. Cependant, les Chefs traditionnels et religieux ont nombreux, effectué le déplacement. L’appui du président Gbagbo, un mois après la cérémonie reste introuvable. Les vautours il y en a par dizaines au Palais. Des mangeurs de chair qui semblent en vouloir à leur propre patron.
Gbagbo Pascaline.
Tapé Koulou Laurent Président de la Fédération Nationale pour la Paix en Côte d’Ivoire (FNPCI) se souvient de sa mésaventure du mois de janvier dernier.
Lui qui avait décidé de célébrer Gbagbo pour les efforts fournis pour la paix en Côte d’Ivoire. Aucune des deux excellences ne s’est présentée au Palais de la Culture de Treichville le samedi 17 janvier. Pourtant ils avaient reçu des lettres d’information. Des courriers leur ont été adressés pour appui. Ce, un mois avant. Ce n’est seulement que deux (2) jours avant la cérémonie, soit le 15 janvier que l’Ambassadeur Koné Aboubabacar rentrera en contact avec le Président du Comité d’Organisation pour lui signifier une ‘‘ commission’’ du Président Gbagbo. TKL s’exécute et apprend de l’Ambassadeur Koné que ‘‘ le Président a donné la lettre devant lui pour son appui financier’’ .Entre temps les spots télé passaient. Il, est demandé au Président de la FNPCI de joindre (décidément) Marcelline Oboudou, la première secrétaire particulière du Chef de l’Etat. ‘‘ Je ne l’ai appelé seulement que le 16 janvier à 16 h. J’ai dû vendre mes deux (2) machines pour la célébration de Gbagbo et son Premier Ministre. Mme Oboudou m’a fait savoir que je l’ai insultée exprimant sa rancune alors qu’elle avait reçu des consignes de son patron. Elle oubliait que c’est elle qui m’appelait pour mettre les jeunes patriotes et chasser Dominique de Villepin du domicile du Président’’. Allou Eugène est mieux que Koné Aboubacar’’ indique Tapé Koulou en colère. Notons que la cérémonie a eu lieu. Ministres et autres cadres de l’Etat l’ont boycottée. Cependant, les Chefs traditionnels et religieux ont nombreux, effectué le déplacement. L’appui du président Gbagbo, un mois après la cérémonie reste introuvable. Les vautours il y en a par dizaines au Palais. Des mangeurs de chair qui semblent en vouloir à leur propre patron.
Gbagbo Pascaline.