Logée dans la poule A avec la Côte d'Ivoire, la Tanzanie, le Sénégal, la Zambie joue le match d'ouverture, contre la Côte d'Ivoire le 22 février. Arrivée à Abidjan hier, l'équipe zambienne a eu une séance d'entraînement au stade Champroux. Le coach Hervé Renard est confiant quant au moral de ses jeunes.
Vous êtes là pour disputer la première édition du Chan. Et vous êtes dans la poule de la Côte d'Ivoire, le pays hôte. Avec quels arguments êtes-vous venu ?
Nous sommes très fiers de participer à ce premier championnat d'Afrique des Nations. Maintenant, on a hérité d'un groupe très difficile. J'ai vu jouer le Sénégal au mois de décembre, j'ai vu jouer la Tanzanie. Et je sais que la Côte d'Ivoire est une équipe très forte. Donc je pense que ce groupe est très relevé. Le grand favori, c'est la Côte d'Ivoire, tout le monde le sait. C'est le pays organisateur, grand pays de football en Afrique. Ça veut dire que ça va être très difficile. Mais on a le moral et il n'y a pas de problème.
La presse a fait cas de quelques absences au niveau de votre effectif. Avec combien de joueurs êtes-vous venu aujourd'hui (Ndlr hier) ?
Actuellement, nous sommes 21. Donc, il manque deux joueurs. C'est vrai que depuis trois semaines, j'ai eu pas mal de problèmes. C'est-à-dire que mes joueurs sont partis faire des essais dans des clubs étrangers. On n'a pas su les garder, c'est une erreur qui va nous coûter cher, je pense. Mais c'est le football, il n'y a pas à chercher d'excuses. Il n'y a qu'à être bon, dimanche.
Justement, le dimanche, dans quel état d'esprit allez-vous aborder le match contre la Côte d'Ivoire ?
On sait qu'on va affronter le favori de la compétition, je vous l'ai dit. Certainement avec le Ghana que je connais bien, puisque j'ai démarré les éliminatoires de cette compétition avec l'équipe du Ghana. Donc je pense que c'est les deux gros favoris que je connais. Maintenant, aucune crainte. Simplement le plaisir de participer à cette compétition. Je pense qu'on a des arguments à faire valoir, on va tout faire pour être à la hauteur.
Autrement dit, quel est votre objectif dans cette compétition?
Comme les huit (8) entraîneurs qui débutent la compétition, il faut gagner. Vous savez quand vous êtes entraîneur national, vous avez un seul objectif, gagner. Parce que quand on ne gagne pas, vous savez ce qui arrive.
Propos recueillis par
De Bouaffo
et Jules Claver Aka
Vous êtes là pour disputer la première édition du Chan. Et vous êtes dans la poule de la Côte d'Ivoire, le pays hôte. Avec quels arguments êtes-vous venu ?
Nous sommes très fiers de participer à ce premier championnat d'Afrique des Nations. Maintenant, on a hérité d'un groupe très difficile. J'ai vu jouer le Sénégal au mois de décembre, j'ai vu jouer la Tanzanie. Et je sais que la Côte d'Ivoire est une équipe très forte. Donc je pense que ce groupe est très relevé. Le grand favori, c'est la Côte d'Ivoire, tout le monde le sait. C'est le pays organisateur, grand pays de football en Afrique. Ça veut dire que ça va être très difficile. Mais on a le moral et il n'y a pas de problème.
La presse a fait cas de quelques absences au niveau de votre effectif. Avec combien de joueurs êtes-vous venu aujourd'hui (Ndlr hier) ?
Actuellement, nous sommes 21. Donc, il manque deux joueurs. C'est vrai que depuis trois semaines, j'ai eu pas mal de problèmes. C'est-à-dire que mes joueurs sont partis faire des essais dans des clubs étrangers. On n'a pas su les garder, c'est une erreur qui va nous coûter cher, je pense. Mais c'est le football, il n'y a pas à chercher d'excuses. Il n'y a qu'à être bon, dimanche.
Justement, le dimanche, dans quel état d'esprit allez-vous aborder le match contre la Côte d'Ivoire ?
On sait qu'on va affronter le favori de la compétition, je vous l'ai dit. Certainement avec le Ghana que je connais bien, puisque j'ai démarré les éliminatoires de cette compétition avec l'équipe du Ghana. Donc je pense que c'est les deux gros favoris que je connais. Maintenant, aucune crainte. Simplement le plaisir de participer à cette compétition. Je pense qu'on a des arguments à faire valoir, on va tout faire pour être à la hauteur.
Autrement dit, quel est votre objectif dans cette compétition?
Comme les huit (8) entraîneurs qui débutent la compétition, il faut gagner. Vous savez quand vous êtes entraîneur national, vous avez un seul objectif, gagner. Parce que quand on ne gagne pas, vous savez ce qui arrive.
Propos recueillis par
De Bouaffo
et Jules Claver Aka
