De passage à Yamoussoukro, le président de la FIF, Jacques Anouma, a fait un commentaire ramassé sur la première journée du Chan.
•Quel commentaire faites-vous sur la sortie ratée des Eléphants contre la Zambie en match inaugural?
(Hésitations…) Ecoutez, on ne peut pas avoir plus mal que ça ! Il y a un genou par terre, il faut faire en sorte que le deuxième n`y soit pas. Il faut savoir se relever et remonter la pente rapidement. Dès ma descente d`avion (Ndlr hier) tout à l`heure, je vais chez les joueurs pour les remonter.
•Comment comptez-vous motiver les joueurs pour qu`ils ne sombrent pas à nouveau ?
Il y a trois matches à gérer, on a perdu un, il faut prendre les deux autres avec beaucoup plus de sérieux. Il a manqué quelque chose qu`on n`arrive pas à s`expliquer. L`encadrement technique prendra les dispositions pour que les deux autres se déroulent correctement. Mais il ne faut surtout pas jeter la pierre aux joueurs et les enfoncer. Ils ont beaucoup plus besoin de réconfort en ce moment que tout. Tout le monde doit se remobiliser pour la 2ème rencontre. Et je pense que c`est jouable vu la qualité de l`adversaire. J`avais prévenu que ce serait difficile, la première journée m`a donné raison. Espérons que la suite se passe mieux.
•Ne vaut-il pas mieux mal commencer et terminer fort ?
Mais il ne faut pas que ça devienne une institution ! Je ne suis pas pour ça. On doit bien commencer et bien terminer. Il y a perdre et perdre. Le président de la République le leur avait dit. Vous pouvez perdre un match et le public vous salue à la fin, c`est ce qu`on leur demande. On peut perdre une finale dignement. Mais cela ne veut pas dire qu`on leur demande de perdre tous les matches, loin de là.
•Comment appréciez-vous l`engouement autour du Chan ?
On avait deux défis à relever : celui de la mobilisation et du résultat. Au niveau de la mobilisation, vous conviendrez avec moi qu`à la première journée, on a rempli notre part. J`espère que ça va continuer. J`ai été bien surpris par l`accueil que nous a réservé la population de Bouaké. Et j`espère que ce sera comme ça jusqu`à la fin.
Entretien réalisé à Yamoussoukro par Tibet Kipré, Envoyé spécial
•Quel commentaire faites-vous sur la sortie ratée des Eléphants contre la Zambie en match inaugural?
(Hésitations…) Ecoutez, on ne peut pas avoir plus mal que ça ! Il y a un genou par terre, il faut faire en sorte que le deuxième n`y soit pas. Il faut savoir se relever et remonter la pente rapidement. Dès ma descente d`avion (Ndlr hier) tout à l`heure, je vais chez les joueurs pour les remonter.
•Comment comptez-vous motiver les joueurs pour qu`ils ne sombrent pas à nouveau ?
Il y a trois matches à gérer, on a perdu un, il faut prendre les deux autres avec beaucoup plus de sérieux. Il a manqué quelque chose qu`on n`arrive pas à s`expliquer. L`encadrement technique prendra les dispositions pour que les deux autres se déroulent correctement. Mais il ne faut surtout pas jeter la pierre aux joueurs et les enfoncer. Ils ont beaucoup plus besoin de réconfort en ce moment que tout. Tout le monde doit se remobiliser pour la 2ème rencontre. Et je pense que c`est jouable vu la qualité de l`adversaire. J`avais prévenu que ce serait difficile, la première journée m`a donné raison. Espérons que la suite se passe mieux.
•Ne vaut-il pas mieux mal commencer et terminer fort ?
Mais il ne faut pas que ça devienne une institution ! Je ne suis pas pour ça. On doit bien commencer et bien terminer. Il y a perdre et perdre. Le président de la République le leur avait dit. Vous pouvez perdre un match et le public vous salue à la fin, c`est ce qu`on leur demande. On peut perdre une finale dignement. Mais cela ne veut pas dire qu`on leur demande de perdre tous les matches, loin de là.
•Comment appréciez-vous l`engouement autour du Chan ?
On avait deux défis à relever : celui de la mobilisation et du résultat. Au niveau de la mobilisation, vous conviendrez avec moi qu`à la première journée, on a rempli notre part. J`espère que ça va continuer. J`ai été bien surpris par l`accueil que nous a réservé la population de Bouaké. Et j`espère que ce sera comme ça jusqu`à la fin.
Entretien réalisé à Yamoussoukro par Tibet Kipré, Envoyé spécial