La tentative d’interpellation d’un suspect dimanche dernier au quartier Dioulabougou tourne au drame. Il est environ 14 h 30 ce jour-là. La majorité des habitants du quartier sont devant leurs téléviseurs pour suivre la retransmission de la cérémonie inaugurale du 1er Championnat d’Afrique des nations des locaux (Chan 2009) quand des tirs d’armes à feu viennent troubler leur tranquillité.
Il ressort de nos informations que la police aurait agi sur la base d’appels anonymes. Faisant état de suspects atteints par balles et qui se soigneraient incognito dans une cour non loin de la «Fondation». L’intervention de la police sera fructueuse. Si deux des suspects réussissent à prendre le large, en revanche, deux autres (dont l’un, couvert de sang et ayant des impacts de balles dans le dos) vont tomber dans les filets des flics.
L’interrogatoire serré des «interpellés» aboutit à la désignation d’un complice. Un certain Seydou qui résiderait au quartier Dioulabougou.
C’est lors de son arrestation que les choses se «gâtent». Sous les ordres du commandant de la police criminelle, les alentours de la concession, où habite Seydou, sont bouclés. Le policier envoyé aux «nouvelles» dans la cour, n’aura pas la partie facile. Une lutte s’engage entre lui et Seydou, qui, à l’aide de son calibre 12 à canon scié, le blesse grièvement à la main gauche, avant de prendre ses jambes à son coup. Malheureusement pour lui, il n’ira pas plus loin. Les autres éléments de la police postés dehors l’envoient ad patres.
Coulibaly Souleymane
Correspondant régional
Il ressort de nos informations que la police aurait agi sur la base d’appels anonymes. Faisant état de suspects atteints par balles et qui se soigneraient incognito dans une cour non loin de la «Fondation». L’intervention de la police sera fructueuse. Si deux des suspects réussissent à prendre le large, en revanche, deux autres (dont l’un, couvert de sang et ayant des impacts de balles dans le dos) vont tomber dans les filets des flics.
L’interrogatoire serré des «interpellés» aboutit à la désignation d’un complice. Un certain Seydou qui résiderait au quartier Dioulabougou.
C’est lors de son arrestation que les choses se «gâtent». Sous les ordres du commandant de la police criminelle, les alentours de la concession, où habite Seydou, sont bouclés. Le policier envoyé aux «nouvelles» dans la cour, n’aura pas la partie facile. Une lutte s’engage entre lui et Seydou, qui, à l’aide de son calibre 12 à canon scié, le blesse grièvement à la main gauche, avant de prendre ses jambes à son coup. Malheureusement pour lui, il n’ira pas plus loin. Les autres éléments de la police postés dehors l’envoient ad patres.
Coulibaly Souleymane
Correspondant régional
