« Diplomatie académique et culture de la paix : les universités africaines à l’épreuve du développement humain ». C’est le thème de la conférence de presse initiée, le mardi 24 février 2009, par l’Uclm (Université Charles de… Montesquieu) dans ses locaux des II Plateaux Les Vallons – salle de conférence Niangoran Boah.
Un colloque interuniversitaire organisé à Bouaké
Face aux remous sociaux, la coopération interinstitutionnelle s’impose comme une donnée qualitative des universités africaines pour prendre en compte les réalités sociopolitiques. Afin d’arriver à un développement durable, le professeur Urbain Amoa s’est insurgé contre le chômage qui sévit dans bon nombre de pays africains. Avant d’exhorter les politiques africains à aller vers une dynamique de capitalisation dans la planification des compétences et surtout à s’enraciner davantage dans les valeurs traditionnelles, socle de la formation de l’Uclm. Aux dires du scientifique, il faut une interpénétration – une dynamique interprofessionnelle – entre les universités africaines « pour permettre la consolidation des pouvoirs politiques et l’unité sociale dans les différents pays africains ». C’est face à ces enjeux qu’il sera organisé à Bouaké du 12 au 15 mars 2009, un colloque sur le thème « Diplomatie académique, intercompréhension et développement humain». Ce colloque interuniversitaire initié en collaboration avec le consulat de Côte d’Ivoire à Florence en Italie, précise Urbain Amao, se veut une plate-forme d’échanges entre les intellectuels africains, la codification des mécanismes africains de médiation et de gestion de conflits et la mise en place d’un réseau mondial des universités.
KDM
Un colloque interuniversitaire organisé à Bouaké
Face aux remous sociaux, la coopération interinstitutionnelle s’impose comme une donnée qualitative des universités africaines pour prendre en compte les réalités sociopolitiques. Afin d’arriver à un développement durable, le professeur Urbain Amoa s’est insurgé contre le chômage qui sévit dans bon nombre de pays africains. Avant d’exhorter les politiques africains à aller vers une dynamique de capitalisation dans la planification des compétences et surtout à s’enraciner davantage dans les valeurs traditionnelles, socle de la formation de l’Uclm. Aux dires du scientifique, il faut une interpénétration – une dynamique interprofessionnelle – entre les universités africaines « pour permettre la consolidation des pouvoirs politiques et l’unité sociale dans les différents pays africains ». C’est face à ces enjeux qu’il sera organisé à Bouaké du 12 au 15 mars 2009, un colloque sur le thème « Diplomatie académique, intercompréhension et développement humain». Ce colloque interuniversitaire initié en collaboration avec le consulat de Côte d’Ivoire à Florence en Italie, précise Urbain Amao, se veut une plate-forme d’échanges entre les intellectuels africains, la codification des mécanismes africains de médiation et de gestion de conflits et la mise en place d’un réseau mondial des universités.
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