Les dés sont jetés, depuis hier, pour la 2e édition de cette distinction des Belles-lettres.
Le théâtre de verdure du Centre culturel français (Ccf) d’Abidjan a servi de cadre au lancement officiel de l’édition 2009, la 2e ; du Prix Ivoire pour la littérature africaine d’expression française.
«Ainsi, du 26 février au 31 juillet 2009, les écrivains en tous genres, les éditeurs et autres diffuseurs devront faire parvenir au Comité d’organisation, les ouvrages potentiels en 7 exemplaires, par courrier postal. Le jury qui sera présenté au public courant juin, délibèrera en un trimestre, avant que les lauréats ne soient connus au cours de la soirée de prestige, le 29 novembre 2009, à Abidjan». C’est l’essentiel du propos de Mme Isabelle Kassy Fofana, présidente de l’Association Akwaba Culture, initiatrice de cet évènement qu’elle présente comme «le projet ambitieux de l’espace littéraire incontournable dans la vie culturelle du Continent». En effet, à la lumière des personnalités de haut vol qui ont donné leur caution morale à la première édition, le 15 novembre 2008, en participant au jury (Mmes Aminata Sow Fall et Christiane Diop et Seydou Badian Kouyaté), le représentant du Premier ministre, son conseiller en charge du sport et de la culture, Bamba Alex Souleymane, rassurera la communauté littéraire quant à l’appui du gouvernement à cette 2e édition. Il se réjouit, outre mesure, de ce que la littérature, «univers du savoir et creuset des connaissances», soit célébrée avec autant d’entrain et de solennité. Et d’ajouter : «le livre contribue à l’hygiène mentale». Le représentant du ministre de la Culture et de la Francophonie, Paul-Marie Kossonou, directeur du Livre, le responsable de la coopération culturelle et technique de l’ambassade de France, Jacques Delesquen, le président de l’Association des libraires de Côte d’Ivoire, parlant au nom de tous les acteurs de la chaîne du livre (auteurs, éditeurs, diffuseurs, libraires…), Mohamed Salamé, directeur évènementiel chez Comium, sponsor leader, reconnaîtront, tous, la haute portée en termes de repositionnement d’image de la Côte d’Ivoire, joué par ce prix littéraire. Notamment au sein de l’intelligentsia africaine et, plus généralement, de l’espace francophone. Cette année, un jeu littéraire inter-écoles accompagnera le Prix Ivoire, aux fins de susciter la vocation chez les élèves, avec le concours du sponsor.
Rémi Coulibaly
Le théâtre de verdure du Centre culturel français (Ccf) d’Abidjan a servi de cadre au lancement officiel de l’édition 2009, la 2e ; du Prix Ivoire pour la littérature africaine d’expression française.
«Ainsi, du 26 février au 31 juillet 2009, les écrivains en tous genres, les éditeurs et autres diffuseurs devront faire parvenir au Comité d’organisation, les ouvrages potentiels en 7 exemplaires, par courrier postal. Le jury qui sera présenté au public courant juin, délibèrera en un trimestre, avant que les lauréats ne soient connus au cours de la soirée de prestige, le 29 novembre 2009, à Abidjan». C’est l’essentiel du propos de Mme Isabelle Kassy Fofana, présidente de l’Association Akwaba Culture, initiatrice de cet évènement qu’elle présente comme «le projet ambitieux de l’espace littéraire incontournable dans la vie culturelle du Continent». En effet, à la lumière des personnalités de haut vol qui ont donné leur caution morale à la première édition, le 15 novembre 2008, en participant au jury (Mmes Aminata Sow Fall et Christiane Diop et Seydou Badian Kouyaté), le représentant du Premier ministre, son conseiller en charge du sport et de la culture, Bamba Alex Souleymane, rassurera la communauté littéraire quant à l’appui du gouvernement à cette 2e édition. Il se réjouit, outre mesure, de ce que la littérature, «univers du savoir et creuset des connaissances», soit célébrée avec autant d’entrain et de solennité. Et d’ajouter : «le livre contribue à l’hygiène mentale». Le représentant du ministre de la Culture et de la Francophonie, Paul-Marie Kossonou, directeur du Livre, le responsable de la coopération culturelle et technique de l’ambassade de France, Jacques Delesquen, le président de l’Association des libraires de Côte d’Ivoire, parlant au nom de tous les acteurs de la chaîne du livre (auteurs, éditeurs, diffuseurs, libraires…), Mohamed Salamé, directeur évènementiel chez Comium, sponsor leader, reconnaîtront, tous, la haute portée en termes de repositionnement d’image de la Côte d’Ivoire, joué par ce prix littéraire. Notamment au sein de l’intelligentsia africaine et, plus généralement, de l’espace francophone. Cette année, un jeu littéraire inter-écoles accompagnera le Prix Ivoire, aux fins de susciter la vocation chez les élèves, avec le concours du sponsor.
Rémi Coulibaly
