Rentrée culturelle et sportive de l’ambassade du Japon à Abidjan : Un festival de cinéma et un tournoi
L’ambassade du Japon en Côte d’Ivoire organise un Festival de cinéma japonais les 4, 5 et 6 mars prochains, à partir de 19h, au Goethe institut Abidjan, et la Coupe de judo de l’ambassadeur du Japon, le 1er mars prochain, à partir de 7h, au gymnase du Groupement des sapeurs pompiers militaires de l’Indénié. L’information a été récemment livrée par Yuka Miyashita, attachée culturelle à l’ambassade du Japon, au cours d’un dîner de presse, au restaurant Osaka, en Zone 4 C. Ces deux événements se situent dans la cadre de la reprise des activités culturelles et sportives de l’ambassade à Abidjan depuis sa réouverture, en septembre 2007, et l’accréditation d’un nouveau chef de mission, un an plus tard.
“L’ambassade souhaite que les échanges culturels, à travers ces deux événements, soient une bonne occasion pour les peuples ivoirien et japonais de se connaître davantage en sachant ce qui, de part et d’autre, leur est similaire ou différent. Ce festival permettra donc la compréhension mutuelle, la tolérance, le renforcement des relations d’amitié entre le Japon et la Côte d’Ivoire, et favorisera la construction d’un monde de paix et de prospérité partagée”, a avancé la diplomate japonaise.
Pour Angbo Isaac, président de la Fédération ivoirienne de judo et disciplines assimilées (FIJDA), c’est une grande opportunité qu’offre l’ambassade du Japon à l’institution qu’il dirige en s’impliquant dans l’organisation de ce tournoi de judo interrompu il y a 4 ans.
Dr. Hien Sié, directeur de cabinet du ministre de la Culture et de la Francophonie, a abondé dans le même sens, tout en se félicitant que le Japon honore la Côte d’Ivoire par le bais de ce festival au moment où le cinéma ivoirien se meurt.
3 films seront projetés au cours du Festival du cinéma japonais, au Goethe : “L’Ecole” de Yamada Yoji, “La Rivière aux lucioles” de Sagawa Eizou et “Un chien nommé Hachi” de Koyama Seijiro.
L’ambassadeur du Japon, SEM Okamura Yoshifumi, dont le tournoi de judo porte le nom, l’honorera de sa présence.
Marcellin Boguy
L’ambassade du Japon en Côte d’Ivoire organise un Festival de cinéma japonais les 4, 5 et 6 mars prochains, à partir de 19h, au Goethe institut Abidjan, et la Coupe de judo de l’ambassadeur du Japon, le 1er mars prochain, à partir de 7h, au gymnase du Groupement des sapeurs pompiers militaires de l’Indénié. L’information a été récemment livrée par Yuka Miyashita, attachée culturelle à l’ambassade du Japon, au cours d’un dîner de presse, au restaurant Osaka, en Zone 4 C. Ces deux événements se situent dans la cadre de la reprise des activités culturelles et sportives de l’ambassade à Abidjan depuis sa réouverture, en septembre 2007, et l’accréditation d’un nouveau chef de mission, un an plus tard.
“L’ambassade souhaite que les échanges culturels, à travers ces deux événements, soient une bonne occasion pour les peuples ivoirien et japonais de se connaître davantage en sachant ce qui, de part et d’autre, leur est similaire ou différent. Ce festival permettra donc la compréhension mutuelle, la tolérance, le renforcement des relations d’amitié entre le Japon et la Côte d’Ivoire, et favorisera la construction d’un monde de paix et de prospérité partagée”, a avancé la diplomate japonaise.
Pour Angbo Isaac, président de la Fédération ivoirienne de judo et disciplines assimilées (FIJDA), c’est une grande opportunité qu’offre l’ambassade du Japon à l’institution qu’il dirige en s’impliquant dans l’organisation de ce tournoi de judo interrompu il y a 4 ans.
Dr. Hien Sié, directeur de cabinet du ministre de la Culture et de la Francophonie, a abondé dans le même sens, tout en se félicitant que le Japon honore la Côte d’Ivoire par le bais de ce festival au moment où le cinéma ivoirien se meurt.
3 films seront projetés au cours du Festival du cinéma japonais, au Goethe : “L’Ecole” de Yamada Yoji, “La Rivière aux lucioles” de Sagawa Eizou et “Un chien nommé Hachi” de Koyama Seijiro.
L’ambassadeur du Japon, SEM Okamura Yoshifumi, dont le tournoi de judo porte le nom, l’honorera de sa présence.
Marcellin Boguy