Après-midi difficile pour les reporters photos. Commis par leur rédaction pour mettre une image sur les noms des détenus dans le cadre du procès des présumés fonctionnaires fictifs de la Présidence, ils ont eu une sortie mouvementée.
Il était 16h30 lorsque le président du tribunal a suspendu le procès. Comme à leurs habitudes, les reporters photographes accourent pour les prises de vue. Cette volonté sera freinée par les parents et amis des mis en cause. Ces derniers,
très excités se jettent sur les preneurs d’images. Ils tentent même de leur arracher leurs appareils photos. Avec rage, ils lancent des propos injurieux à toutes les équipes de reporters présents sur les lieux. S’en suivent alors, des échanges houleux entre les deux parties. Finalement, tout rentre dans l’ordre, grâce à la solidarité et à la mobilisation des journalistes. Pourtant les reporters photographes ne voulaient qu’exercer leur métier.
KS
Il était 16h30 lorsque le président du tribunal a suspendu le procès. Comme à leurs habitudes, les reporters photographes accourent pour les prises de vue. Cette volonté sera freinée par les parents et amis des mis en cause. Ces derniers,
très excités se jettent sur les preneurs d’images. Ils tentent même de leur arracher leurs appareils photos. Avec rage, ils lancent des propos injurieux à toutes les équipes de reporters présents sur les lieux. S’en suivent alors, des échanges houleux entre les deux parties. Finalement, tout rentre dans l’ordre, grâce à la solidarité et à la mobilisation des journalistes. Pourtant les reporters photographes ne voulaient qu’exercer leur métier.
KS