Le Ghana croise la République Démocratique du Congo (RDC), dimanche au stade la paix de Bouaké pour une place qualificative en demi-finales du 1er Championnat d’Afrique des Nations (CHAN). Pendant ce temps, le Zimbabwe et la Libye seront aux prises au stade Félix Houphouët-Boigny à Abidjan. Deux chocs inédits au terme desquels, deux formations seront appelées à disputer les demi-finales. A 24 heures des débats (3e journée), les jeux restent ouverts. Dans ce groupe B basé à Bouaké, rien n’est encore joué à l’issue de la 2e journée disputée, le jeudi 26 février dernier au stade de la paix. Les Black Stars (Ghana) et les Léopards (RDC), accrochés respectivement par les Verts (Libye) et les Warriors (Zimbabwe) sur la même marque 1-1, gardent intactes leurs chances de qualification. Tout comme leurs adversaires. Les Léopards (4 pts+2) mènent le bal, mais l’entraîneur Santos Muntubile et ses garçons ne sont pas à l’abri d’une élimination. À l’instar des autres pensionnaires du groupe, la RDC a obligatoirement besoin d’une victoire. Ce que semble dire le milieu de terrain Mihayo Kazembe à ses camarades. «Pour nous, seule compte la qualification pour les demi-finales. Nous allons travailler pour y arriver. La victoire est impérative pour nous lors du prochain match». Une mise en garde claire pour le Ghana qui n’envisage pas la fin de son parcours à ce niveau de la compétition. Les coéquipiers de Mac Carthy Philemon (2 pts+0), après avoir grillé leurs premières cartes, doivent utiliser à bon escient leur joker, reconnaît l’entraîneur national, Milovan Rajevac. «La dernière journée sera décisive pour toutes les équipes. Je pense que rien n’est fait encore dans ce groupe. Il n’y a plus de calcul à faire. Il faut gagner le prochain match, si on veut continuer la route». Et l’ampleur de cette mission oblige Owusu Ansah, Ayew Ibrahim, Samuel Inkoom, Coffie Francis et autres à plus de concentration.
Le Zimbabwe (2 pts+0) et la Libye (1 pt-1), qui se croisent pour un duel épique à Abidjan, croient fort à la qualification. Une victoire du Zimbabwe le qualifierait pour les demi-finales. Car les poulains de Sunday Marimo comptabiliseraient 5 points contre une seule unité à leurs adversaires. La Libye, de son côté, s’ouvrirait les portes de la demi-finale si le Ghana parvient à battre la RDC par au moins deux buts d’écart. Pour cela, l’entraîneur Faouzi Benzarti et ses hommes doivent s’imposer sur la même marge devant le Zimbabwe. Une équation qui ne semble pas inquiéter le technicien tunisien des Verts. «La qualification reste encore possible. Nous devons y croire. Les joueurs doivent y croire». Du côté zimbabwéen, l’optimisme est aussi de mise. Et le capitaine des Warriors n’a pas tort. «Nos chances sont intactes. Nous allons jouer jusqu’au bout, avertit Banda Gilbert. Nous pouvons nous qualifier pour les demi-finales».
Un groupe où tous les matchs revêtent la même importance pour chacune des équipes. Des batailles dans lesquelles les vaincus feront leurs adieux à la 1ère édition du CHAN.
OUATTARA Gaoussou,
envoyé spécial à Yamoussoukro
Le Zimbabwe (2 pts+0) et la Libye (1 pt-1), qui se croisent pour un duel épique à Abidjan, croient fort à la qualification. Une victoire du Zimbabwe le qualifierait pour les demi-finales. Car les poulains de Sunday Marimo comptabiliseraient 5 points contre une seule unité à leurs adversaires. La Libye, de son côté, s’ouvrirait les portes de la demi-finale si le Ghana parvient à battre la RDC par au moins deux buts d’écart. Pour cela, l’entraîneur Faouzi Benzarti et ses hommes doivent s’imposer sur la même marge devant le Zimbabwe. Une équation qui ne semble pas inquiéter le technicien tunisien des Verts. «La qualification reste encore possible. Nous devons y croire. Les joueurs doivent y croire». Du côté zimbabwéen, l’optimisme est aussi de mise. Et le capitaine des Warriors n’a pas tort. «Nos chances sont intactes. Nous allons jouer jusqu’au bout, avertit Banda Gilbert. Nous pouvons nous qualifier pour les demi-finales».
Un groupe où tous les matchs revêtent la même importance pour chacune des équipes. Des batailles dans lesquelles les vaincus feront leurs adieux à la 1ère édition du CHAN.
OUATTARA Gaoussou,
envoyé spécial à Yamoussoukro
