Nous avons atteint le nombre de 70 mille adhérents ", a déclaré, jeudi soir, la présidente de l'Union républicaine pour la démocratie (Urd). Danièle Boni-Claverie qui recevait des journalistes et patrons de presse à sa résidence, à dîner, a également indiqué que son parti a déjà implanté 706 sections à travers le pays. " Une section compte entre 100 et 300 personnes ", a-t-elle affirmé, entourée de plusieurs membres de la direction de l'Urd.
Ce " travail " en terre ivoirienne est en train d'être complété par une implantation de "délégations extérieures", notamment en Europe, a-t-elle dit. C'est que pour Mme Boni Claverie, ancienne ministre de la Communication, l'URD est passée du statut de "petit parti " à celui de " jeune parti ". Après moins de trois ans d'existence.
Face aux hommes de médias, tous supports confondus, la présidente de l'Urd s'est aussi prononcée sur ce qu'il est convenu d'appeler " la moralisation de la vie publique ". " Nous soutenons le combat que mène le Président de la République ", a-t-elle indiqué. Expliquant que " ce n'est pas une affaire sentimentale ", mais qu'il s'agit de " lutter contre la corruption ". Dans le même temps, elle a appelé à " diminuer le train de vie de l'Etat ", afin de faciliter la résolution de " la crise de confiance entre le gouvernement et les salariés ".
Autre sujet majeur abordé au cours de ce dîner : l'unicité des caisses de l'Etat. " Nous attendons la date du 4 mars pour vérifier si les engagements qui ont été pris par le premier ministres ont été tenus ", a vivement souhaité la présidente de l'URD.
Barthélemy Kouamé
Ce " travail " en terre ivoirienne est en train d'être complété par une implantation de "délégations extérieures", notamment en Europe, a-t-elle dit. C'est que pour Mme Boni Claverie, ancienne ministre de la Communication, l'URD est passée du statut de "petit parti " à celui de " jeune parti ". Après moins de trois ans d'existence.
Face aux hommes de médias, tous supports confondus, la présidente de l'Urd s'est aussi prononcée sur ce qu'il est convenu d'appeler " la moralisation de la vie publique ". " Nous soutenons le combat que mène le Président de la République ", a-t-elle indiqué. Expliquant que " ce n'est pas une affaire sentimentale ", mais qu'il s'agit de " lutter contre la corruption ". Dans le même temps, elle a appelé à " diminuer le train de vie de l'Etat ", afin de faciliter la résolution de " la crise de confiance entre le gouvernement et les salariés ".
Autre sujet majeur abordé au cours de ce dîner : l'unicité des caisses de l'Etat. " Nous attendons la date du 4 mars pour vérifier si les engagements qui ont été pris par le premier ministres ont été tenus ", a vivement souhaité la présidente de l'URD.
Barthélemy Kouamé