Le régisseur Franh Marcelline, secrétaire générale du syndicat des agents pénitentiaires de Côte d'Ivoire (SYAPCI), est montée au créneau le mercredi 25 février au cours d'une conférence de presse aux II Plateaux pour exprimer son indignation suite au fait que certains agents aient été recolés au récent concours exceptionnel d'intégration dans les nouveaux corps de l'administration pénitentiaire.
“Le nombre de places initialement prévues étaient de 77 pour les régisseurs, 140 pour les surveillants chefs et 860 pour les surveillants. A notre grande surprise, lundi dernier, la fonction publique n'a pris que 64, 90 et 163 agents pour chaque corps. Cette forme d'injustice est frustrante car beaucoup d'agents sont des laissés-pour-compte. Nous supplions le ministre de la Fonction publique et le président Laurent Gbagbo de permettre que la quasi-totalité des agents soit intégrée dans les nouveaux corps”, a plaidé la secrétaire générale du SYAPCI pour qui cette démarche qui rompt avec le soulèvement des gardes, s'inscrit dans le bon déroulement du processus de sortie de crise.
Didier Kéi
“Le nombre de places initialement prévues étaient de 77 pour les régisseurs, 140 pour les surveillants chefs et 860 pour les surveillants. A notre grande surprise, lundi dernier, la fonction publique n'a pris que 64, 90 et 163 agents pour chaque corps. Cette forme d'injustice est frustrante car beaucoup d'agents sont des laissés-pour-compte. Nous supplions le ministre de la Fonction publique et le président Laurent Gbagbo de permettre que la quasi-totalité des agents soit intégrée dans les nouveaux corps”, a plaidé la secrétaire générale du SYAPCI pour qui cette démarche qui rompt avec le soulèvement des gardes, s'inscrit dans le bon déroulement du processus de sortie de crise.
Didier Kéi