Il s'explique difficilement la claque (3-0) enregistrée par son équipe face au Ghana. Mais, l'entraîneur de la RD Congo, Mutumbile Santos, estime que son groupe ne peut pas se louper deux fois d'affilée, notamment contre la Zambie en demi-finale demain.
•Au fur et à mesure que la compétition avance, votre équipe régresse avec cette déculottée face au Ghana…
Je suis d'accord avec vous. C'est un véritable naufrage collectif qu'on a essuyé contre le Ghana. En vérité, le Congo n'a pas joué. Pas du tout. Et je n'arrive pas à me l'expliquer. On a été inexistant. Je suis vraiment déçu du comportement de mon équipe. En revanche, j'ai vu une grande équipe du Ghana qui a déroulé un football à la fois plaisant et efficace. Une chose est certaine, on va continuer le travail à Abidjan avant notre demi-finale contre la Zambie.
•Comment expliquez-vous ce non match et cette démission de votre équipe qui a pourtant d'énormes potentialités ?
Comme je l'ai dit tantôt, je n'arrive pas moi-même à m'expliquer ce comportement de mon équipe. Nous allons continuer de discuter avec les joueurs. S'ils veulent jouer qu'ils le disent, s'ils ne veulent plus jouer aussi, on prendra acte. Mais ça ne peut pas continuer de cette façon.
•Selon nos sources, il y aurait un problème de prime à la base de cette démission collective, qu'en est-il exactement?
Je ne peux pas confirmer ou infirmer cette thèse, votre information n'est peut-être pas fausse, mais cela ne peut pas expliquer qu'on se comporte de cette façon dans une compétition internationale. Ce n'est pas normal pour les athlètes qu'ils sont.
•Il y a cette demi-finale de demain contre la Zambie. Une autre épreuve pour votre équipe et surtout vous-même qui avez un contrat à objectif avec votre Fédération…
On va essayer de remotiver les enfants pour ce match dont ils savent l'importance. En temps normal, on n'aurait même pas besoin de le faire, mais-là on est obligé de leur parler. Parce que la Zambie est une très bonne équipe qui joue très bien au ballon. Mais je pense qu'on ne peut pas être si mauvais deux fois de suite. Me concernant, je reste un entraîneur. Comme tous les autres, je suis au service de mes supérieurs hiérarchiques.
Réalisé par Tibet Kipré,
envoyé spécial
•Au fur et à mesure que la compétition avance, votre équipe régresse avec cette déculottée face au Ghana…
Je suis d'accord avec vous. C'est un véritable naufrage collectif qu'on a essuyé contre le Ghana. En vérité, le Congo n'a pas joué. Pas du tout. Et je n'arrive pas à me l'expliquer. On a été inexistant. Je suis vraiment déçu du comportement de mon équipe. En revanche, j'ai vu une grande équipe du Ghana qui a déroulé un football à la fois plaisant et efficace. Une chose est certaine, on va continuer le travail à Abidjan avant notre demi-finale contre la Zambie.
•Comment expliquez-vous ce non match et cette démission de votre équipe qui a pourtant d'énormes potentialités ?
Comme je l'ai dit tantôt, je n'arrive pas moi-même à m'expliquer ce comportement de mon équipe. Nous allons continuer de discuter avec les joueurs. S'ils veulent jouer qu'ils le disent, s'ils ne veulent plus jouer aussi, on prendra acte. Mais ça ne peut pas continuer de cette façon.
•Selon nos sources, il y aurait un problème de prime à la base de cette démission collective, qu'en est-il exactement?
Je ne peux pas confirmer ou infirmer cette thèse, votre information n'est peut-être pas fausse, mais cela ne peut pas expliquer qu'on se comporte de cette façon dans une compétition internationale. Ce n'est pas normal pour les athlètes qu'ils sont.
•Il y a cette demi-finale de demain contre la Zambie. Une autre épreuve pour votre équipe et surtout vous-même qui avez un contrat à objectif avec votre Fédération…
On va essayer de remotiver les enfants pour ce match dont ils savent l'importance. En temps normal, on n'aurait même pas besoin de le faire, mais-là on est obligé de leur parler. Parce que la Zambie est une très bonne équipe qui joue très bien au ballon. Mais je pense qu'on ne peut pas être si mauvais deux fois de suite. Me concernant, je reste un entraîneur. Comme tous les autres, je suis au service de mes supérieurs hiérarchiques.
Réalisé par Tibet Kipré,
envoyé spécial