L’Association générale des élèves et étudiants de Côte d’Ivoire (AGEECI) et le Syndicat des élèves et étudiants de Côte d’Ivoire (SYEECI) se disent solidaires des enseignants du secondaire. Ces deux syndicats scolaires ont pondu des déclarations pour affirmer leur soutien à leurs « maîtres ». Pour l’AGEECI et le SYNEECI, le gouvernement doit résoudre les problèmes posés par les enseignants. Surtout que la menace d’une année blanche plane sur l’école ivoirienne. « Le plus important pour nous est le milieu éducatif.
Le SYEECI demande donc au gouvernement de tout mettre en œuvre pour nous éviter une année blanche.
Le SYEECI demande au gouvernement de résoudre toutes les revendications du SYNESCI », lit-on dans la déclaration du SYNEECI. Par ailleurs, Les deux syndicats condamnent fermement la mesure de sanction prise par le gouvernement à l’encontre des grévistes. « L’AGEECI condamne avec fermeté la mesure de sanction prise contre les enseignants, mesure inappropriée et tyrannique qui ne fera que mettre de l’huile sur le feu. L’AGEECI déclare que le gouvernement portera l’entière responsabilité d’une aggravation du mouvement de grève des enseignants et d’une éventuelle invalidation de l’année académique », avertit le syndicat dirigé par Séka Jules. En tout état de cause, les deux syndicats invitent les parents d’élèves à s’impliquer dans la résolution de la crise.
Dao Maïmouna
Le SYEECI demande donc au gouvernement de tout mettre en œuvre pour nous éviter une année blanche.
Le SYEECI demande au gouvernement de résoudre toutes les revendications du SYNESCI », lit-on dans la déclaration du SYNEECI. Par ailleurs, Les deux syndicats condamnent fermement la mesure de sanction prise par le gouvernement à l’encontre des grévistes. « L’AGEECI condamne avec fermeté la mesure de sanction prise contre les enseignants, mesure inappropriée et tyrannique qui ne fera que mettre de l’huile sur le feu. L’AGEECI déclare que le gouvernement portera l’entière responsabilité d’une aggravation du mouvement de grève des enseignants et d’une éventuelle invalidation de l’année académique », avertit le syndicat dirigé par Séka Jules. En tout état de cause, les deux syndicats invitent les parents d’élèves à s’impliquer dans la résolution de la crise.
Dao Maïmouna