Les Eléphants et leurs dirigeants ont fait subir à la Côte d’Ivoire une humiliation inacceptable pour des intérêts égoïstes.
Ainsi donc les éléphants footballeurs ont été éliminés au premier tour de la coupe d’Afrique des Nations des locaux que la Côte d’Ivoire abrite. Deux défaites pour deux matches avec 4 buts encaissés contre 0 but marqué.
La première sortie des éléphants contre l’équipe nationale zambienne s’est déroulée en présence du chef de l’Etat, le Président Laurent Gbagbo. Mais il n’était pas seul. Il avait à ses côtés ses homologues du Burkina-Faso et du Bénin qu’il avait invités pour assister à l’ouverture de la compétition qui réunit la jeunesse africaine.
Si personne ne peut remettre en cause le principe de l’organisation de la coupe d’Afrique des locaux en Côte d’Ivoire, au regard des avantages politico-économiques que le pays peut en tirer par ces moments d’incertitude, on ne peut en revanche accepter l’humiliation que les éléphants footballeurs et leurs dirigeants ont fait subir au chef de l’Etat et au peuple ivoirien tout entier. A aucun moment ces jeunes, qui arboraient pourtant les couleurs nationales, n’ont eu un sursaut d’orgueil.
D’aucuns diront qu’on n’organise pas une compétition pour la gagner forcément. C’est juste et nous sommes d’avis avec ceux qui le pensent. Car il est loin de nous l’idée de penser que la Côte d’Ivoire devait gagner cette coupe d’Afrique par tous les moyens. Mais nous disons également qu’on n’organise pas non plus une compétition pour se faire humilier. En revanche, on organise une compétition en ayant pour premier objectif de la remporter. Maintenant, il peut arriver que chemin faisant, les choses se passent autrement. Mais le peuple doit sentir que son équipe s’est battue avec toute son énergie et que Dieu n’était pas de son côté. On dit communément d’une telle équipe, qu’elle est tombée les armes à la main. Mais tel n’a pas été le cas pour l’équipe de Georges Kouadio qui est pourtant réputé être un très bon technicien. Au contraire, tout porte à croire que l’entraîneur a préparé les conditions de l’humiliation de notre pays. Cela ne peut et doit être accepté. On ne joue pas avec les intérêts d’une Nation.
Une haute trahison
Cela est d’autant plus inacceptable que selon les informations récurrentes qui nous parviennent, des raisons mercantilistes ont prévalu au choix des joueurs qui ont participé à cette compétition. Un petit groupe de copains auraient fait un assemblage de leurs protégés, dans l’espoir de les mettre en situation de jeu les nombreux recruteurs internationaux qui ont effectué le déplacement en Côte d’Ivoire à la recherche des oiseaux rares, en vue de s’en faire plein les poches au détriment de notre chère Nation. Ce n’était donc pas tant la victoire du pays qui les intéressait, mais comment faire remarquer leurs protégés par les marchands de joueurs pour les vendre et s’enrichir sur le dos de la Nation.
Sinon comment imaginer la formation d’une équipe nationale des locaux, sans qu’elle ne soit bâtie autour des équipes de l’ASEC, qui est la meilleure formation du pays, et de l’Africa qui est l’équipe championne en titre du moment ?
On le voit aisément, les encadreurs de l’équipe nationale n’avaient certainement pas les mêmes objectifs que le chef de l’Etat en acceptant d’abriter cette compétition. Eux, visaient discrètement leurs intérêts égoïstes, quand le président Gbagbo, lui, recherchait, non seulement des dividendes politico- économiques, mais aussi la victoire des éléphants pour le bonheur du peuple ivoirien. Cela s’appelle la haute trahison.
Boga Sivori bogasivo@yahoo.fr
Ainsi donc les éléphants footballeurs ont été éliminés au premier tour de la coupe d’Afrique des Nations des locaux que la Côte d’Ivoire abrite. Deux défaites pour deux matches avec 4 buts encaissés contre 0 but marqué.
La première sortie des éléphants contre l’équipe nationale zambienne s’est déroulée en présence du chef de l’Etat, le Président Laurent Gbagbo. Mais il n’était pas seul. Il avait à ses côtés ses homologues du Burkina-Faso et du Bénin qu’il avait invités pour assister à l’ouverture de la compétition qui réunit la jeunesse africaine.
Si personne ne peut remettre en cause le principe de l’organisation de la coupe d’Afrique des locaux en Côte d’Ivoire, au regard des avantages politico-économiques que le pays peut en tirer par ces moments d’incertitude, on ne peut en revanche accepter l’humiliation que les éléphants footballeurs et leurs dirigeants ont fait subir au chef de l’Etat et au peuple ivoirien tout entier. A aucun moment ces jeunes, qui arboraient pourtant les couleurs nationales, n’ont eu un sursaut d’orgueil.
D’aucuns diront qu’on n’organise pas une compétition pour la gagner forcément. C’est juste et nous sommes d’avis avec ceux qui le pensent. Car il est loin de nous l’idée de penser que la Côte d’Ivoire devait gagner cette coupe d’Afrique par tous les moyens. Mais nous disons également qu’on n’organise pas non plus une compétition pour se faire humilier. En revanche, on organise une compétition en ayant pour premier objectif de la remporter. Maintenant, il peut arriver que chemin faisant, les choses se passent autrement. Mais le peuple doit sentir que son équipe s’est battue avec toute son énergie et que Dieu n’était pas de son côté. On dit communément d’une telle équipe, qu’elle est tombée les armes à la main. Mais tel n’a pas été le cas pour l’équipe de Georges Kouadio qui est pourtant réputé être un très bon technicien. Au contraire, tout porte à croire que l’entraîneur a préparé les conditions de l’humiliation de notre pays. Cela ne peut et doit être accepté. On ne joue pas avec les intérêts d’une Nation.
Une haute trahison
Cela est d’autant plus inacceptable que selon les informations récurrentes qui nous parviennent, des raisons mercantilistes ont prévalu au choix des joueurs qui ont participé à cette compétition. Un petit groupe de copains auraient fait un assemblage de leurs protégés, dans l’espoir de les mettre en situation de jeu les nombreux recruteurs internationaux qui ont effectué le déplacement en Côte d’Ivoire à la recherche des oiseaux rares, en vue de s’en faire plein les poches au détriment de notre chère Nation. Ce n’était donc pas tant la victoire du pays qui les intéressait, mais comment faire remarquer leurs protégés par les marchands de joueurs pour les vendre et s’enrichir sur le dos de la Nation.
Sinon comment imaginer la formation d’une équipe nationale des locaux, sans qu’elle ne soit bâtie autour des équipes de l’ASEC, qui est la meilleure formation du pays, et de l’Africa qui est l’équipe championne en titre du moment ?
On le voit aisément, les encadreurs de l’équipe nationale n’avaient certainement pas les mêmes objectifs que le chef de l’Etat en acceptant d’abriter cette compétition. Eux, visaient discrètement leurs intérêts égoïstes, quand le président Gbagbo, lui, recherchait, non seulement des dividendes politico- économiques, mais aussi la victoire des éléphants pour le bonheur du peuple ivoirien. Cela s’appelle la haute trahison.
Boga Sivori bogasivo@yahoo.fr
