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Sport Publié le mardi 10 mars 2009 | Fraternité Matin

Le fait : Quand la Rumba triomphe...

On peut le dire, dimanche soir, spectateurs et téléspectateurs ont eu droit à une soirée Rumba très enlevée, depuis le stade Félix Houphouet-Boigny. L’aisance technique, l’engagement physique, l’enthousiasme, la rigueur tactique… ont été les instruments d’une parfaite orchestration jouée par les jeunes congolais, bien entendu au son de la Rumba. Une Rumba qu’ils ont dansée, balle au pied ou assis, à l’image du gardien de buts avec sa danse sur les fesses.

Oui, dimanche soir, il y avait deux matchs en un. Le premier a opposé l’équipe nationale de la République démocratique du Congo. Et le second a mis aux prises la légendaire Rumba congolaise et le non moins légendaire High Life. Si les «musiciens» congolais n’ont eu aucune peine pour accorder leurs violons, cela n’a pas été le cas pour les «virtuoses» ghanéens. Qui ont cherché en vain, le jeu harmonique nécessaire pour un «sweet High life» comme ils ont pourtant su souvent le faire.

Le coup de sifflet final du match a ouvert la seconde partie du bal, cette fois-ci, avec la complicité des organisateurs du match qui ont lancé avec la puissante sono d’ambiance, la musique de Koffi Olomidé et son Quartier latin… A partir de ce moment, les joueurs congolais et leurs nombreux supporteurs ont transformé «le Felicia» en un gigantesque bar dancing. Pendant au moins une vingtaine de minutes, les contorsions, les petits sauts, les blocages et autres techniques de danse ont rappelé les clips vidéos des Fally Ipupa, Koffi Olomidé, Madilu Système, Wengue Musica, Extra Musica, JP M’piana,.. Sauf qu’ici, il a manqué «les mortels déhanchements ultra suggestifs» des danseuses congolaises, telle Tshala Muana.

Alakagni Hala
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