Les lampions se sont éteints sur le premier championnat d’Afrique des Nations qui a démarré le 22 février (Chan) avec le sacre de la république du Congo sur le Black Stars du Ghana. M. Jacques Bernard Anouma, président du comité d’organisation a réussi son pari contre vents et marées. Récits de cette belle fête du football Africain…
Tout a commencé sur des chapeaux de roue pour le pays organisateur. Les Eléphants conduit par son entraineur Kouadio Georges vont se faire humiliés par la Zambie (3-0) devant le président Laurent Gbagbo et ses pairs venus du Burkina et du Bénin. La suite on la connait. Les pachydermes sont sortis de la compétition sans marquer le moindre but. Et pourtant, le public ivoirien croyait dur comme fer que cette équipe montera sur la haute marche du podium. Cette déconvenue va freiner l’ardeur des amoureux du ballon rond. Le reste de la compétition se déroulera devant les gradins vides. Le public boude et se laisse aller à des commentaires fantaisistes à l’endroit du premier responsable du football ivoirien, Mr. Jacques Anouma. Du côté du stade de la paix à Bouaké, un autre tableau, un autre décor. Le public sevré longtemps des grandes compétitions se donne à cœur joie. Ils répondent présents à l’appel de Jean Louis Billon, président du comité national de soutien aux supporters ghanéens, congolais, tanzaniens et libyens ont dansés à cette fête du ballon rond lui donnant un cachet particulier. Des cris de joie et des pleurs étaient de la partie. Chaque pays participant par ses chants et danses ont poussés leurs équipes à la victoire. Que se soit à Abidjan ou à Bouaké, l’on a déploré aucun incident entre les supporters, contrairement à d’autres manifestations sportives sous d’autres cieux. Le phénomène hooligans a été maîtrisé par les organisations. Le Cochan a réussi à mettre la barre très haute pour une première édition. Le Président Jacques Anouma et ses collaborateurs ont respectés tous leurs engagements en passant par celles du transport, de médias et autres, les différents responsables ont agi avec professionnalisme. Cette Chan a été une occasion pour les différentes fédérations africaines de tester le niveau de leurs athlètes. Nous avons pu découvrir des talents promis à leur bel avenir te que Trésor Mputu, le feu follet du RDC, Ibrahim Ayew du Ghana, Oumar Alpha Sow du Sénégal, Mulenga de la Zambie pour ne citer que ceux-là, montre que l’avenir du football reste promoteur. Un vivier de talent entretenir au travers des chans à venir.
Jean Paul Kipré
jeanpauleroy@yahoo.fr
Tout a commencé sur des chapeaux de roue pour le pays organisateur. Les Eléphants conduit par son entraineur Kouadio Georges vont se faire humiliés par la Zambie (3-0) devant le président Laurent Gbagbo et ses pairs venus du Burkina et du Bénin. La suite on la connait. Les pachydermes sont sortis de la compétition sans marquer le moindre but. Et pourtant, le public ivoirien croyait dur comme fer que cette équipe montera sur la haute marche du podium. Cette déconvenue va freiner l’ardeur des amoureux du ballon rond. Le reste de la compétition se déroulera devant les gradins vides. Le public boude et se laisse aller à des commentaires fantaisistes à l’endroit du premier responsable du football ivoirien, Mr. Jacques Anouma. Du côté du stade de la paix à Bouaké, un autre tableau, un autre décor. Le public sevré longtemps des grandes compétitions se donne à cœur joie. Ils répondent présents à l’appel de Jean Louis Billon, président du comité national de soutien aux supporters ghanéens, congolais, tanzaniens et libyens ont dansés à cette fête du ballon rond lui donnant un cachet particulier. Des cris de joie et des pleurs étaient de la partie. Chaque pays participant par ses chants et danses ont poussés leurs équipes à la victoire. Que se soit à Abidjan ou à Bouaké, l’on a déploré aucun incident entre les supporters, contrairement à d’autres manifestations sportives sous d’autres cieux. Le phénomène hooligans a été maîtrisé par les organisations. Le Cochan a réussi à mettre la barre très haute pour une première édition. Le Président Jacques Anouma et ses collaborateurs ont respectés tous leurs engagements en passant par celles du transport, de médias et autres, les différents responsables ont agi avec professionnalisme. Cette Chan a été une occasion pour les différentes fédérations africaines de tester le niveau de leurs athlètes. Nous avons pu découvrir des talents promis à leur bel avenir te que Trésor Mputu, le feu follet du RDC, Ibrahim Ayew du Ghana, Oumar Alpha Sow du Sénégal, Mulenga de la Zambie pour ne citer que ceux-là, montre que l’avenir du football reste promoteur. Un vivier de talent entretenir au travers des chans à venir.
Jean Paul Kipré
jeanpauleroy@yahoo.fr
