Dans l’optique de la mise en œuvre de son programme quantité, qualité et croissance (2QC), le Président du Comité de gestion de la filière café-cacao (Cgfcc), M. Anoh N’Guessan Gilbert, était face à la presse vendredi au 23ème étage de l’immeuble de la Caistab.
L’application du plan d’action du programme 2QC, envisagée sur le court terme s’étendra sur une période de 2 années incluant les campagnes 2008/2009 et 2009/2010, selon le président du Comité de gestion. Entre autres objectifs, il s’agira, pour les démembrements du Cgfcc, notamment les Comités départementaux de suivi (Cds), de contribuer de façon significative à l’amélioration de la production et de la qualité du binôme en vue d’instaurer une agriculture durable.
Des actions de sensibilisation des acteurs de la filière par l’optimisation des bonnes pratiques culturales, le contrôle et le suivi régulier des magasins pour assurer la conservation post- récolte des produits et le rejet des produits de mauvaise qualité sont à mettre au compte du programme en cours. Le programme ambitionne, par ailleurs, d’impliquer au niveau national la cellule technique du Cgfcc qui aura pour points focaux, au niveau local, la coordination du département pilotée par le préfet. Cette autorité sera assistée par la coordination technique, un secrétariat et un secrétariat constitué des directeurs départementaux ou régionaux de l’agriculture et l’Anader. En se prêtant aux échanges avec la presse, M. Anoh et ses collaborateurs ont admis une baisse de près de la moitié, de la production nationale qui se chiffre aujourd’hui à 800 000 tonnes contre 1 400 000 tonnes escomptées. C’est justement pour combler qualitativement cet écart non moins négligeable qui grève les recettes des producteurs et de l’Etat que le programme sus mentionné est initié. Quant aux obstacles au financement des coopératives, ceux liés à la disponibilité de la sacherie, le schéma type d’une coopérative achevée, la traçabilité et le Fonds d’investissement en milieu rural, le président du Cgfcc a indiqué que le Comité de réforme de la filière, installée récemment par décret du Chef de l’Etat, s’y attelle pour apporter des réponses appropriées.
Pour sa part, M. Diamouténé, directeur de cabinet, représentant le ministère de l’Agriculture, a admis des avancées notables qui présagent de lendemains qui chantent dans la filière. «C’est la première campagne fois que nous enregistrons une campagne sans crise», a-t-il admis.
Cissé Mamadou
L’application du plan d’action du programme 2QC, envisagée sur le court terme s’étendra sur une période de 2 années incluant les campagnes 2008/2009 et 2009/2010, selon le président du Comité de gestion. Entre autres objectifs, il s’agira, pour les démembrements du Cgfcc, notamment les Comités départementaux de suivi (Cds), de contribuer de façon significative à l’amélioration de la production et de la qualité du binôme en vue d’instaurer une agriculture durable.
Des actions de sensibilisation des acteurs de la filière par l’optimisation des bonnes pratiques culturales, le contrôle et le suivi régulier des magasins pour assurer la conservation post- récolte des produits et le rejet des produits de mauvaise qualité sont à mettre au compte du programme en cours. Le programme ambitionne, par ailleurs, d’impliquer au niveau national la cellule technique du Cgfcc qui aura pour points focaux, au niveau local, la coordination du département pilotée par le préfet. Cette autorité sera assistée par la coordination technique, un secrétariat et un secrétariat constitué des directeurs départementaux ou régionaux de l’agriculture et l’Anader. En se prêtant aux échanges avec la presse, M. Anoh et ses collaborateurs ont admis une baisse de près de la moitié, de la production nationale qui se chiffre aujourd’hui à 800 000 tonnes contre 1 400 000 tonnes escomptées. C’est justement pour combler qualitativement cet écart non moins négligeable qui grève les recettes des producteurs et de l’Etat que le programme sus mentionné est initié. Quant aux obstacles au financement des coopératives, ceux liés à la disponibilité de la sacherie, le schéma type d’une coopérative achevée, la traçabilité et le Fonds d’investissement en milieu rural, le président du Cgfcc a indiqué que le Comité de réforme de la filière, installée récemment par décret du Chef de l’Etat, s’y attelle pour apporter des réponses appropriées.
Pour sa part, M. Diamouténé, directeur de cabinet, représentant le ministère de l’Agriculture, a admis des avancées notables qui présagent de lendemains qui chantent dans la filière. «C’est la première campagne fois que nous enregistrons une campagne sans crise», a-t-il admis.
Cissé Mamadou
