Me Bamba Cheick Daniel CN 5e Dan est depuis, hier, le nouveau président de la Fédération ivoirienne de taekwondo (FITKD). Il a été plébiscité lors de l’assemblée générale élective tenue à la Chambre de commerce et d’industrie (CCI) au Plateau (Abidjan). Candidat unique à la succession de Me Coulibaly Siaka Minayaha, le nouveau patron du taekwondo ivoirien a recueilli 81 voix sur les 90 votants. Six clubs ont voté contre quand trois autres choisissent de ne pas prendre partie (bulletins nuls). Une décision qui n’influe aucunement sur la victoire éclatante du conseiller à l’appui du sponsoring du comité directeur sortant.
Mais que de tractations avant d’arriver à cette ultime étape tant attendue. Plus de cinq heures d’horloge, les participants ont passé au scanner le bilan du président sortant, Me Coulibaly Siaka Minayaha. Miticulé et méthodique dans sa gestion, le président sortant a dressé un bilan axé sur ses actions en faveur du développement de la discipline et le financement des activités. Ainsi, les participants ont pu se rendre compte des avancées considérables au niveau de l’assistance sociale et professionnelle. La modernisation de la gestion de la fédération et des ligues est perceptible avec le titre de meilleure fédération dédiée par le ministère de la jeunesse, du sport et des loisirs en 2007 et 2008. La formation continue des formateurs a eu une place de choix dans le programme de Me Coulibaly. La promotion et le développement de la pratique du taekwondo a permis d’enregistrer 3956 nouveaux pratiquants. La régulation de l’évaluation continue des pratiquants, l’amélioration de la compétitivité des athlètes, l’amélioration des relations avec les partenaires locaux et internationaux, l’amélioration de la représentativité de la Côte d’Ivoire dans les institutions internationales et l’obtention de distinctions honorifiques ne sont pas en reste. Au chapitre du financement des activités, on note le financement par les ressources propres et le financement par l’Etat. Toutefois, au niveau des dépenses, la FITKD a sorti 24.577.731 F CFA. Au chapitre des sommes dues reparties entre autres le reliquat des frais de préfinancement de la préparation des compétiteurs pour les Jeux Olympiques par le DTN, Patrice Remarck, la FITKD attend 26.899.176 F CFA du ministère des sports et l’Office national des sports (ONS). Un bilan explicite qui a reçu l’approbation de l’assemblée.
OUATTARA Gaoussou
Mais que de tractations avant d’arriver à cette ultime étape tant attendue. Plus de cinq heures d’horloge, les participants ont passé au scanner le bilan du président sortant, Me Coulibaly Siaka Minayaha. Miticulé et méthodique dans sa gestion, le président sortant a dressé un bilan axé sur ses actions en faveur du développement de la discipline et le financement des activités. Ainsi, les participants ont pu se rendre compte des avancées considérables au niveau de l’assistance sociale et professionnelle. La modernisation de la gestion de la fédération et des ligues est perceptible avec le titre de meilleure fédération dédiée par le ministère de la jeunesse, du sport et des loisirs en 2007 et 2008. La formation continue des formateurs a eu une place de choix dans le programme de Me Coulibaly. La promotion et le développement de la pratique du taekwondo a permis d’enregistrer 3956 nouveaux pratiquants. La régulation de l’évaluation continue des pratiquants, l’amélioration de la compétitivité des athlètes, l’amélioration des relations avec les partenaires locaux et internationaux, l’amélioration de la représentativité de la Côte d’Ivoire dans les institutions internationales et l’obtention de distinctions honorifiques ne sont pas en reste. Au chapitre du financement des activités, on note le financement par les ressources propres et le financement par l’Etat. Toutefois, au niveau des dépenses, la FITKD a sorti 24.577.731 F CFA. Au chapitre des sommes dues reparties entre autres le reliquat des frais de préfinancement de la préparation des compétiteurs pour les Jeux Olympiques par le DTN, Patrice Remarck, la FITKD attend 26.899.176 F CFA du ministère des sports et l’Office national des sports (ONS). Un bilan explicite qui a reçu l’approbation de l’assemblée.
OUATTARA Gaoussou