L'avalanche. La cascade des malversations et des scandales. Et ce n'est que le bout de l'iceberg qui dégèle ! Iceberg qui est en fonte, pour nous montrer ses " dessous " Tenez ! En seulement ce premier trimestre de l'an 2009, que de scandales !
L'affaire du racket de la Société de téléphonie mobile MTN qui implique une secrétaire de la Présidence de la République, et pas n'importe laquelle!.
Des emplois fictifs à la Présidence de la République. Il est dit que cela date !
Le blocage des financements de la Commission Electorale Indépendante (CEI). Mais où donc est passé l'argent pour l'exécution de cette mission hautement prioritaire pour aller aux élections ?
lDes frasques qui continuent dans la gestion de la filière Café-Cacao.
L'opacité dans la gestion d'une partie du budget alloué pour l'organisation du Championnat d'Afrique de Nations (CHAN), budget débloqué pour les services de la Radiodiffusion Télévision Ivoirienne (RTI).
Des contorsions pour rendre transparente la gestion des gains de la Loterie Nationale de Côte d'Ivoire (LONACI).
La grogne dans les Sorbonnes, Agoras et Parlements, en raison des circuits souterrains de financement de leurs activités. Certains dignitaires, dans cette jungle, se beurrent tandis que d'autres, inexorablement, deviennent cachectiques.
Le vol de vignettes et de timbres…au Trésor Public.
L'affaire Warid-ATCI qui connait des métastases, au sein d'importantes Institutions de la République.
Vraiment la trombe !
Que de malversations, du véritable gangstérisme dans l'organisation du Hadj 2008 !
L'octroi frauduleux de véhicules administratifs à des individus du sérail, individus qui n'ont rien à voir avec et dans l'Administration.
Les ténébreux droits d'atterrissage au Groupe Aéroporté de Transport et de Liaison (GATL). C'est du racket à une autre échelle. Racket " dans les éthers "...
Les malversations dans la gestion des bourses d'étudiants à l'étranger. La nécessité d'un Audit s'impose dans ce secteur.
Le racket systématique dans les examens et concours, notamment à l'Ecole de Police, à la Gendarmerie, aux Eaux et Forêts, à l'Institut National Polytechnique Houphouet Boigny (INPHB), à l'Ecole Nationale d'Administration (ENA) et autres Ecoles de Formation.
La charge financière de faux Fonctionnaires à la Fonction Publique.
Les ventes illicites de terrains, toujours aux femmes et aux hommes du sérail, avec l'évidente complicité des administrations de plus en plus unicolores…disons monocolores.
Le brouillard sur le revenu des ressources gazières et pétrolières, notamment en ce qui concerne la gestion des redevances que perçoivent certaines structures au nom de l'Etat.
lMais où passent les taxes douanières sur la vente du carburant à l'intérieur comme à l'extérieur du Pays?
Et la gestion des Cités Universitaires : les Bourses et les financements de la Restauration?
lQuel est le volume des taxes douanières à l'aéroport et dans nos ports dans le budget de l'Etat ?
lEt l'importation du Riz. Qui sont celles et ceux qui, par le fait du Prince, règnent sur ce secteur, et que gagne l'Etat dans l'importation du Riz et dans sa distribution ?
lVoyons aussi clair dans la gestion des réceptifs hôteliers en Côte d'Ivoire, en commençant par le fleuron que constitue l'Hôtel Ivoire.
lLe point serait intéressant d'être fait, Conseil Général après Conseil général, Mairie après Mairie, sur ce que l'Etat a donné pour permettre aux Responsables à ces niveaux, de travailler, dans le cadre de la Décentralisation, sur les neuf (9) années écoulées.
lAbidjan et toutes les villes de Côte d'Ivoire sont sales. Les Maires, en ce qui concerne Abidjan, ont été dessaisis, au profit du Gouverneur de district. Peut-il rendre compte de ces neuf (9) ans de gestion dans ce secteur?
lEt la Fédération Estudiantine et Scolaire de Côte d'Ivoire (FESCI). Se finance-t-elle seulement en prélevant des cotisations au niveau de ces militants ? Que deviennent les subventions occultes et "nocturnes" à elle allouées? Est-il permis que la FESCI lève des taxes dans les activités économiques dans, et autour des campus ?
lLe Congrès de la Jeunesse Patriote (COJEP) est très actif et très "disant en monnaie sonnante et trébuchante". Comme bien serait de savoir la provenance de ses ressources, leur objet et leur utilisation.
lMais combien coûtent à l'Etat de Côte d'Ivoire, les gardes rapprochées en nombre pléthorique le plus souvent, de certains individus du sérail, qui n'ont pas de fonction précise dans les structures et les Institutions de l'Etat ? Quel budget est affecté à ce type nouveau de " Service Civique "?
Vraiment, tout cela est nauséabond et nauséeux.
Et dire la vérité aujourd'hui, dire tout ce que nous voyons et que nous vivons, est condamnable et condamné.
Des journaux soustraits des kiosques. Déchirés. "Emprisonnés" en morceaux dans des sacs et emportés, pour être détruits par le feu…autodafé ! Tout simplement parce que la vérité y est dite !
C'était une parution de "Le Repère" datée le Vendredi 6 Mars 2009, en son numéro O74, qui barrait à la Une : Ali Baba et les 40 Voleurs.
Des faits. Rien que des faits tellement vrais, que la Justice est saisie des dossiers d'indélicats, supposés être des "serviteurs de l'Etat".
Des Journalistes de "Le Repère" interpellés, auditionnés, pour avoir dit la vérité.
L'hebdomadaire "Le Repère" a fait du travail professionnel d'investigation. C'est son drame ! C'est même son crime !
Comme bon, dans l'entendement de ceux qui nous gouvernent, serait que la Presse fleurisse de titres laudateurs, colorés en "bleu" ! Des occasions pour cela manquent, tellement noirs sont nos jours et nos nuits de la réalité qui est nôtre.
Le Journal n'a fait que dire la vérité sur la " Gouvernance " dans notre pays…Mal Gouvernance assurément ! Et mal lui en prit.
Intimidations, menaces allant jusqu'à l'extrême…tuer. Le spectre de la prison chaque fois brandi pour museler la Vérité.
Ma compréhension dans la gestion de la crise à l'Ecole par les autorités, conduit à un véritable choc.
Arrêter des grévistes, cela n'est pas nouveau, bien que cela soit discutable, dans toutes les contrées. Mais la Côte d'Ivoire innove.
Arrêter des Enseignants, dans l'enceinte des écoles, devant les enfants ! Les bastonner, les brutaliser, les humilier, devant les enfants ! Les embarquer comme des bandits de grand chemin, devant les enfants ! Des Maîtres par terre, devant les enfants ! Mettre le Maître nu, devant les enfants !
Ce sont des scènes dont la portée est insoupçonnée de la part de ceux qui en ont ainsi décidé.
Quel regard, pense-t-on désormais, que l'élève aura vis-à-vis du Maître ? On peut " chicoter " " mon Maître ", comme trop souvent il nous chicotte. Et il crie, et il pleure…lui aussi, mon Maître, parce qu'on lui fait mal. Et tous ont été embarqués avec des vêtements en lambeaux, devant les enfants.
N'ayons aucune illusion. C'est désormais l'image que se feront les enfants en voyant le Maître loqueteux, regagner sa classe…mais pour faire quoi ?
Ce qui vient de se passer est extrêmement grave.
Le Maître vient d'être désacralisé….par la peur panique des grévistes d'antan, qui n'ont jamais été humiliés devant les élèves et devant les enfants à eux confiés. C'est terrible!
Oui, ils sont libérés, après avoir "pissé" sur eux-mêmes dans les soutes de la Préfecture de Police. Oui, on les a libérés. Mais, on ne pouvait pas ne pas les libérer ; on ne pouvait que les libérer après une incarcération inique, humiliante, qui a été utilisée comme monnaie de change. Car cette détention était injuste, maladroite et non productive.
Des Enseignants Gouvernants, et l'histoire le consignera, ont mis au cachot d'autres enseignants, après les avoir traqués, dans l'enceinte de l'Ecole, pour fait de grève.
Humilier n'est pas bien, même lorsqu'on pense qu'on détient la Force. Humilier surtout le Maître, relève de l'inconscience achevée, parce que de surcroît, perpétré devant ses élèves.
Et l'Histoire de Côte d'Ivoire et en Côte d'Ivoire, retiendra que dans la tempête sous des crânes, pour conserver le Pouvoir, on assassine la Liberté et la Démocratie, à et dans l'ECOLE.
L'affaire du racket de la Société de téléphonie mobile MTN qui implique une secrétaire de la Présidence de la République, et pas n'importe laquelle!.
Des emplois fictifs à la Présidence de la République. Il est dit que cela date !
Le blocage des financements de la Commission Electorale Indépendante (CEI). Mais où donc est passé l'argent pour l'exécution de cette mission hautement prioritaire pour aller aux élections ?
lDes frasques qui continuent dans la gestion de la filière Café-Cacao.
L'opacité dans la gestion d'une partie du budget alloué pour l'organisation du Championnat d'Afrique de Nations (CHAN), budget débloqué pour les services de la Radiodiffusion Télévision Ivoirienne (RTI).
Des contorsions pour rendre transparente la gestion des gains de la Loterie Nationale de Côte d'Ivoire (LONACI).
La grogne dans les Sorbonnes, Agoras et Parlements, en raison des circuits souterrains de financement de leurs activités. Certains dignitaires, dans cette jungle, se beurrent tandis que d'autres, inexorablement, deviennent cachectiques.
Le vol de vignettes et de timbres…au Trésor Public.
L'affaire Warid-ATCI qui connait des métastases, au sein d'importantes Institutions de la République.
Vraiment la trombe !
Que de malversations, du véritable gangstérisme dans l'organisation du Hadj 2008 !
L'octroi frauduleux de véhicules administratifs à des individus du sérail, individus qui n'ont rien à voir avec et dans l'Administration.
Les ténébreux droits d'atterrissage au Groupe Aéroporté de Transport et de Liaison (GATL). C'est du racket à une autre échelle. Racket " dans les éthers "...
Les malversations dans la gestion des bourses d'étudiants à l'étranger. La nécessité d'un Audit s'impose dans ce secteur.
Le racket systématique dans les examens et concours, notamment à l'Ecole de Police, à la Gendarmerie, aux Eaux et Forêts, à l'Institut National Polytechnique Houphouet Boigny (INPHB), à l'Ecole Nationale d'Administration (ENA) et autres Ecoles de Formation.
La charge financière de faux Fonctionnaires à la Fonction Publique.
Les ventes illicites de terrains, toujours aux femmes et aux hommes du sérail, avec l'évidente complicité des administrations de plus en plus unicolores…disons monocolores.
Le brouillard sur le revenu des ressources gazières et pétrolières, notamment en ce qui concerne la gestion des redevances que perçoivent certaines structures au nom de l'Etat.
lMais où passent les taxes douanières sur la vente du carburant à l'intérieur comme à l'extérieur du Pays?
Et la gestion des Cités Universitaires : les Bourses et les financements de la Restauration?
lQuel est le volume des taxes douanières à l'aéroport et dans nos ports dans le budget de l'Etat ?
lEt l'importation du Riz. Qui sont celles et ceux qui, par le fait du Prince, règnent sur ce secteur, et que gagne l'Etat dans l'importation du Riz et dans sa distribution ?
lVoyons aussi clair dans la gestion des réceptifs hôteliers en Côte d'Ivoire, en commençant par le fleuron que constitue l'Hôtel Ivoire.
lLe point serait intéressant d'être fait, Conseil Général après Conseil général, Mairie après Mairie, sur ce que l'Etat a donné pour permettre aux Responsables à ces niveaux, de travailler, dans le cadre de la Décentralisation, sur les neuf (9) années écoulées.
lAbidjan et toutes les villes de Côte d'Ivoire sont sales. Les Maires, en ce qui concerne Abidjan, ont été dessaisis, au profit du Gouverneur de district. Peut-il rendre compte de ces neuf (9) ans de gestion dans ce secteur?
lEt la Fédération Estudiantine et Scolaire de Côte d'Ivoire (FESCI). Se finance-t-elle seulement en prélevant des cotisations au niveau de ces militants ? Que deviennent les subventions occultes et "nocturnes" à elle allouées? Est-il permis que la FESCI lève des taxes dans les activités économiques dans, et autour des campus ?
lLe Congrès de la Jeunesse Patriote (COJEP) est très actif et très "disant en monnaie sonnante et trébuchante". Comme bien serait de savoir la provenance de ses ressources, leur objet et leur utilisation.
lMais combien coûtent à l'Etat de Côte d'Ivoire, les gardes rapprochées en nombre pléthorique le plus souvent, de certains individus du sérail, qui n'ont pas de fonction précise dans les structures et les Institutions de l'Etat ? Quel budget est affecté à ce type nouveau de " Service Civique "?
Vraiment, tout cela est nauséabond et nauséeux.
Et dire la vérité aujourd'hui, dire tout ce que nous voyons et que nous vivons, est condamnable et condamné.
Des journaux soustraits des kiosques. Déchirés. "Emprisonnés" en morceaux dans des sacs et emportés, pour être détruits par le feu…autodafé ! Tout simplement parce que la vérité y est dite !
C'était une parution de "Le Repère" datée le Vendredi 6 Mars 2009, en son numéro O74, qui barrait à la Une : Ali Baba et les 40 Voleurs.
Des faits. Rien que des faits tellement vrais, que la Justice est saisie des dossiers d'indélicats, supposés être des "serviteurs de l'Etat".
Des Journalistes de "Le Repère" interpellés, auditionnés, pour avoir dit la vérité.
L'hebdomadaire "Le Repère" a fait du travail professionnel d'investigation. C'est son drame ! C'est même son crime !
Comme bon, dans l'entendement de ceux qui nous gouvernent, serait que la Presse fleurisse de titres laudateurs, colorés en "bleu" ! Des occasions pour cela manquent, tellement noirs sont nos jours et nos nuits de la réalité qui est nôtre.
Le Journal n'a fait que dire la vérité sur la " Gouvernance " dans notre pays…Mal Gouvernance assurément ! Et mal lui en prit.
Intimidations, menaces allant jusqu'à l'extrême…tuer. Le spectre de la prison chaque fois brandi pour museler la Vérité.
Ma compréhension dans la gestion de la crise à l'Ecole par les autorités, conduit à un véritable choc.
Arrêter des grévistes, cela n'est pas nouveau, bien que cela soit discutable, dans toutes les contrées. Mais la Côte d'Ivoire innove.
Arrêter des Enseignants, dans l'enceinte des écoles, devant les enfants ! Les bastonner, les brutaliser, les humilier, devant les enfants ! Les embarquer comme des bandits de grand chemin, devant les enfants ! Des Maîtres par terre, devant les enfants ! Mettre le Maître nu, devant les enfants !
Ce sont des scènes dont la portée est insoupçonnée de la part de ceux qui en ont ainsi décidé.
Quel regard, pense-t-on désormais, que l'élève aura vis-à-vis du Maître ? On peut " chicoter " " mon Maître ", comme trop souvent il nous chicotte. Et il crie, et il pleure…lui aussi, mon Maître, parce qu'on lui fait mal. Et tous ont été embarqués avec des vêtements en lambeaux, devant les enfants.
N'ayons aucune illusion. C'est désormais l'image que se feront les enfants en voyant le Maître loqueteux, regagner sa classe…mais pour faire quoi ?
Ce qui vient de se passer est extrêmement grave.
Le Maître vient d'être désacralisé….par la peur panique des grévistes d'antan, qui n'ont jamais été humiliés devant les élèves et devant les enfants à eux confiés. C'est terrible!
Oui, ils sont libérés, après avoir "pissé" sur eux-mêmes dans les soutes de la Préfecture de Police. Oui, on les a libérés. Mais, on ne pouvait pas ne pas les libérer ; on ne pouvait que les libérer après une incarcération inique, humiliante, qui a été utilisée comme monnaie de change. Car cette détention était injuste, maladroite et non productive.
Des Enseignants Gouvernants, et l'histoire le consignera, ont mis au cachot d'autres enseignants, après les avoir traqués, dans l'enceinte de l'Ecole, pour fait de grève.
Humilier n'est pas bien, même lorsqu'on pense qu'on détient la Force. Humilier surtout le Maître, relève de l'inconscience achevée, parce que de surcroît, perpétré devant ses élèves.
Et l'Histoire de Côte d'Ivoire et en Côte d'Ivoire, retiendra que dans la tempête sous des crânes, pour conserver le Pouvoir, on assassine la Liberté et la Démocratie, à et dans l'ECOLE.