La société ivoirienne d’oto-rhino-laryngologie a ouvert, hier, un atelier à la chambre de commerce.
Un atelier de réhabilitation auditive se tient, depuis hier, à l’amphithéâtre de la Chambre de commerce et d’industrie au Plateau. Il est organisé par la Société ivoirienne d’oto-rhino-laryngologie (Siorl), en collaboration avec des laboratoires marocains. En plus des professeurs d’Orl et de Chirurgie Cervicom faciale de l’Ufr des sciences médicales d’Abidjan, cet atelier est animé par le Pr Hamid Benghalem, président de la société marocaine d’Orl et président de la fédération africaine des sociétés d’Orl, Pafos.
Selon le Dr Boguifo Joseph, la société Orl, dont il assure la présidence, organise, chaque année, les journées ivoiriennes de l’audition, avec au programme des séances de consultation et de dépistage gratuites des personnes qui ont des difficultés auditives. Face à ces difficultés, la société doit, selon lui, être en mesure d’apporter des solutions. Notamment en ce qui concerne les différents types de surdité auditive, particulièrement dans le cas des personnes qui n’entendent presque pas et qui sont frappées de surdité qui relève de la chirurgie. Une chirurgie très fine et très délicate qui demande une très grande expertise. C’est de cela qu’il sera question durant l’atelier, avec le Pr Hamid Benghalem, qui s’occupe de ces sujets. Il est aussi question de l’implant, une technique qui consiste à mettre en place un petit appareil qui va permettre à une oreille défectueuse d’entendre. « Nous avons la chance de faire la chirurgie des oreilles, qui est très délicate et dont on ne parle pas beaucoup. Maintenant, nous devons aller vers l’implant qui est une autre forme de chirurgie et qui demande un équipement particulier ». Pour ce qui est du coût, le Dr Boguifo indique que la Côte d’Ivoire ne fabrique pas cet appareil et ne peut l’évaluer. Ce que la Siorl pourra cependant faire, c’est de veiller à ce que l’acte chirurgical ne soit pas coûteux.
A côté de l’implant, il y a le port de prothèses auditives et la petite chirurgie. La mission que se donne la Siorl, est de mettre en place une petite cellule spécialisée, qui va s’occuper des problèmes d’oreille. La Côte d’Ivoire compte aujourd’hui 70 spécialistes formés en Orl.
Marie-Adèle Djidjé
Un atelier de réhabilitation auditive se tient, depuis hier, à l’amphithéâtre de la Chambre de commerce et d’industrie au Plateau. Il est organisé par la Société ivoirienne d’oto-rhino-laryngologie (Siorl), en collaboration avec des laboratoires marocains. En plus des professeurs d’Orl et de Chirurgie Cervicom faciale de l’Ufr des sciences médicales d’Abidjan, cet atelier est animé par le Pr Hamid Benghalem, président de la société marocaine d’Orl et président de la fédération africaine des sociétés d’Orl, Pafos.
Selon le Dr Boguifo Joseph, la société Orl, dont il assure la présidence, organise, chaque année, les journées ivoiriennes de l’audition, avec au programme des séances de consultation et de dépistage gratuites des personnes qui ont des difficultés auditives. Face à ces difficultés, la société doit, selon lui, être en mesure d’apporter des solutions. Notamment en ce qui concerne les différents types de surdité auditive, particulièrement dans le cas des personnes qui n’entendent presque pas et qui sont frappées de surdité qui relève de la chirurgie. Une chirurgie très fine et très délicate qui demande une très grande expertise. C’est de cela qu’il sera question durant l’atelier, avec le Pr Hamid Benghalem, qui s’occupe de ces sujets. Il est aussi question de l’implant, une technique qui consiste à mettre en place un petit appareil qui va permettre à une oreille défectueuse d’entendre. « Nous avons la chance de faire la chirurgie des oreilles, qui est très délicate et dont on ne parle pas beaucoup. Maintenant, nous devons aller vers l’implant qui est une autre forme de chirurgie et qui demande un équipement particulier ». Pour ce qui est du coût, le Dr Boguifo indique que la Côte d’Ivoire ne fabrique pas cet appareil et ne peut l’évaluer. Ce que la Siorl pourra cependant faire, c’est de veiller à ce que l’acte chirurgical ne soit pas coûteux.
A côté de l’implant, il y a le port de prothèses auditives et la petite chirurgie. La mission que se donne la Siorl, est de mettre en place une petite cellule spécialisée, qui va s’occuper des problèmes d’oreille. La Côte d’Ivoire compte aujourd’hui 70 spécialistes formés en Orl.
Marie-Adèle Djidjé