En prélude à la 4ème conférence panafricaine de l’association mondiale des radiodiffuseurs communautaires (Amarc Afrique), qui se tiendra du 27 au 30 avril 2009 à Grand-Bassam, le président de l’Urpci (Union des radios de proximité de Côte d’Ivoire), a animé mardi 17 mars à Adjamé, un point de presse pour situer l’opinion nationale sur les enjeux de ce rendez-vous international.
Selon Karamoko Bamba, l’Amarc - à travers sa représentation locale - organise chaque quatre (4) ans une conférence dans un pays désigné après appel à candidature présenté par une organisation de radios communautaires.. Avec le soutien du ministère de la Communication, l’Urpci a présenté un dossier pour accueillir la 4ème conférence panafricaine lorsque l’Ouganda, le Burkina Faso, le Niger et le Nigeria avaient également annoncé leurs candidatures. A en croire Karamoko Bamba, c’est sur la base de la qualité de la présentation du dossier, du soutien des radios et de l’Etat de Côte d’Ivoire que le Conseil d’administration de l’Amarc Afrique a choisi ce pays pour abriter la 4ème conférence panafricaine, avec pour hôte son union des radios de proximité. « Augmenter l’impact social de la radio communautaire dans la réduction de la pauvreté, la bonne gouvernance et l’adaptation au changement climatique », tel est le thème retenu pour la conférence. Après l’Afrique du Sud en 1997, le Sénégal en 2001 et le Kenya en 2005, c’est maintenant au tour de la Côte d’Ivoire d’accueillir plus de 150 leaders des radios communautaires, venant de plus de 40 pays d’Afrique, du Moyen Orient, d’Europe et d’Amérique. Le but de la 4ème conférence panafricaine, a indiqué M. Karamoko, est d’explorer et d’identifier des moyens efficaces en vue d’augmenter l’impact social de la radio communautaire. Créée en 1983, l’Amarc est une association de consultation, de coordination, de coopération, d’échange et de promotion pour les radios de type communautaire. C’est un organisme non gouvernemental international (ONG) à but non lucratif, de caractère laïc, comprenant 3000 membres et dont le siège mondial est au Canada.
DY
Selon Karamoko Bamba, l’Amarc - à travers sa représentation locale - organise chaque quatre (4) ans une conférence dans un pays désigné après appel à candidature présenté par une organisation de radios communautaires.. Avec le soutien du ministère de la Communication, l’Urpci a présenté un dossier pour accueillir la 4ème conférence panafricaine lorsque l’Ouganda, le Burkina Faso, le Niger et le Nigeria avaient également annoncé leurs candidatures. A en croire Karamoko Bamba, c’est sur la base de la qualité de la présentation du dossier, du soutien des radios et de l’Etat de Côte d’Ivoire que le Conseil d’administration de l’Amarc Afrique a choisi ce pays pour abriter la 4ème conférence panafricaine, avec pour hôte son union des radios de proximité. « Augmenter l’impact social de la radio communautaire dans la réduction de la pauvreté, la bonne gouvernance et l’adaptation au changement climatique », tel est le thème retenu pour la conférence. Après l’Afrique du Sud en 1997, le Sénégal en 2001 et le Kenya en 2005, c’est maintenant au tour de la Côte d’Ivoire d’accueillir plus de 150 leaders des radios communautaires, venant de plus de 40 pays d’Afrique, du Moyen Orient, d’Europe et d’Amérique. Le but de la 4ème conférence panafricaine, a indiqué M. Karamoko, est d’explorer et d’identifier des moyens efficaces en vue d’augmenter l’impact social de la radio communautaire. Créée en 1983, l’Amarc est une association de consultation, de coordination, de coopération, d’échange et de promotion pour les radios de type communautaire. C’est un organisme non gouvernemental international (ONG) à but non lucratif, de caractère laïc, comprenant 3000 membres et dont le siège mondial est au Canada.
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