En marge de la cérémonie d’investiture du bureau de l’Association des institutrices de l’Iep 2 de Koumassi, une conférence de sensibilisation au cancer du col de l’utérus a été animée, hier par Dr Ayemou, cancérologue au Chu de Treichville. Et ce, à l’initiative de la Ligue ivoirienne contre le cancer (Licc), dont la présidente Bintou Bourgouin, présidait ladite cérémonie.
A en croire Dr Ayemou, le cancer du col de l’utérus est le deuxième cancer féminin au monde et la première cause de mortalité féminine. En Côte d’Ivoire, 32,8% de cas sont détectés par an, soit environ 6000 nouveaux cas.
Transmis par un virus auquel sont exposées toutes les femmes, le cancer du col de l’utérus peut se contracter surtout par les rapports sexuels à partenaires multiples ou précoces. Les nombreuses naissances et le tabac sont aussi des facteurs favorisants.
Les signes annonciateurs de cette maladie, à en croire le conférencier, sont les saignements après les rapports sexuels ou les toilettes intimes. En plus des pertes aux couleurs jaunâtres et les douleurs répétées au niveau de la vessie. Toutefois, les infections sexuellement transmissibles favorisent l’agressivité du virus du cancer.
En terme de traitement, selon Dr Ayemou, trois possibilités existent, la chirurgie, la chimiothérapie et la radiothérapie. Malheureusement, cette dernière solution n’existe pas encore en Côte d’Ivoire.
Le praticien conseille le dépistage précoce, la lutte contre les Ist et le vaccin comme moyens de lutte contre le cancer de l’utérus.
Par ailleurs, Dame Yagone Lou Henriette a été portée à la tête de l’Association des institutrices de l’Iep 2 de Koumassi.
Marc Yevou
A en croire Dr Ayemou, le cancer du col de l’utérus est le deuxième cancer féminin au monde et la première cause de mortalité féminine. En Côte d’Ivoire, 32,8% de cas sont détectés par an, soit environ 6000 nouveaux cas.
Transmis par un virus auquel sont exposées toutes les femmes, le cancer du col de l’utérus peut se contracter surtout par les rapports sexuels à partenaires multiples ou précoces. Les nombreuses naissances et le tabac sont aussi des facteurs favorisants.
Les signes annonciateurs de cette maladie, à en croire le conférencier, sont les saignements après les rapports sexuels ou les toilettes intimes. En plus des pertes aux couleurs jaunâtres et les douleurs répétées au niveau de la vessie. Toutefois, les infections sexuellement transmissibles favorisent l’agressivité du virus du cancer.
En terme de traitement, selon Dr Ayemou, trois possibilités existent, la chirurgie, la chimiothérapie et la radiothérapie. Malheureusement, cette dernière solution n’existe pas encore en Côte d’Ivoire.
Le praticien conseille le dépistage précoce, la lutte contre les Ist et le vaccin comme moyens de lutte contre le cancer de l’utérus.
Par ailleurs, Dame Yagone Lou Henriette a été portée à la tête de l’Association des institutrices de l’Iep 2 de Koumassi.
Marc Yevou