L'ouverture des journées internationales de la Francophonie a eu lieu hier au Conseil économique et social (CES) sur le thème général de : “la contribution de la Francophonie à la paix dans le monde et en Côte d'Ivoire”. Pour la journée d'hier, le thème qui a été développé s'intitule : “Les instruments et les mécanismes de la Francophonie en faveur de la paix”. Abordant l'esprit de la rencontre, Ould T'feil Sidi M'Bareck, responsable régional de projets de coopération au Bureau régional pour l'Afrique de l'Ouest de l'organisation internationale de la francophonie, a expliqué que la démarche de la Francophonie en faveur de la paix repose sur une vision du monde articulée autour du dialogue et de la concertation, de la construction d'une mondialisation à visage humain, du respect des cultures et des peuples, de l'humanisme et de la solidarirté. Ould T'fiel Sidi M'bareck a en outre, souligné que cette demarche repose également sur des principes définis dans la déclaration de Bamako sur la démocratie, les droits et les libertés et celle de Saint-Boniface sur la prévention des conflits et la sécurité humaine, instruments normatifs majeurs qui ont consacré la légitimation de l'action politique et de la Francophonie.
Dans cette perspective, le ministre de la Culture et de la Francophonie, Augustin Kouadio Komoé, a relevé que la Francophonie ne doit être confondue avec la Francophilie. “La Francophonie va plus loin, en ce sens qu’elle humanise les relations entre les communautés qui ont en partage la langue française. Au-delà de cette parentée lingustique, l'on débouche sur la dimension politique dont les ramifications sociétales s'appuient sur les grandes vertus morales”. Le représentant du maire du Plateau, M. Yoboué Angoua Yoboué, a fait remarquer ceci : “En dehors du fait que nous ayons l'usage du français en partage, la francophonie aura été pendant longtemps pour nos pays, un véritable catalyseur de la coopération culturelle technique et même universitaire”. En clair, a-t-il précisé, la Francophonie avait pour but, de transformer en action la solidarité l'inguistique qui unissait ses membres.
Face à la montée des incertitudes et à la prolifération des crises et oppositions diverses entre Etats ou au sein des Etats membres ou non de l'organisation internationale de la Francophonie, les membres de l'OIF ont décidé d'œuvrer dans le sens de la recherche de la paix”. A la suite des thèmes proposés à cette rencontre, Alfred Dan Moussa, président international de l'Union internationale de la Presse francophone, a fait deux observations. Il a souligné que le rassemblement des promoteurs de la langue française n'aurait pas été possible si les organisateurs et leurs invités étaient allés de malentendus en quiproquos, de confusions en incompréhension, du fait de la langue ou des langues. “Les échanges de ce jour, a-t-il indiqué, ont plutôt été possibles parce que le message est passé d'un pôle à l'autre, entre les membres du comité d'organisation, entre ceux-ci et le grand public , entre les partenaires de ces journées internationales de la Francophonie”. Pour la seconde observation, Alfred Dan Moussa a noté que l'Union internationale de la Presse francophone a voulu souligner qu'en plus d'être la protection et la défense d'une langue, le français, la francophonie se définit comme un ensemble de valeurs notamment le dialogue, la tolérance, la liberté d'expression, la démocratie, les droits de l'homme. Le président international de l'Union internationale de la presse francophone a fait ces remarques au cours d'un panel qu'il a animé avec des personnalités universitaires dont Alphonse Voho Sahi, philosophe, conseiller spécial du président de la République, Christine de Souche, spécialiste des questions de la Francophonie. “Le français est devenu le fondement de notre culture,a-t-il martelé. Il est notre langue officielle et pour beaucoup, notre langue maternelle”. L'ouverture solennelle des journées internationales de la Francophonie a été assurée par Youssouf Bakayoko qui a représenté le Premier ministre Guillaume Kigbafori.
Azo Vauguy
Dans cette perspective, le ministre de la Culture et de la Francophonie, Augustin Kouadio Komoé, a relevé que la Francophonie ne doit être confondue avec la Francophilie. “La Francophonie va plus loin, en ce sens qu’elle humanise les relations entre les communautés qui ont en partage la langue française. Au-delà de cette parentée lingustique, l'on débouche sur la dimension politique dont les ramifications sociétales s'appuient sur les grandes vertus morales”. Le représentant du maire du Plateau, M. Yoboué Angoua Yoboué, a fait remarquer ceci : “En dehors du fait que nous ayons l'usage du français en partage, la francophonie aura été pendant longtemps pour nos pays, un véritable catalyseur de la coopération culturelle technique et même universitaire”. En clair, a-t-il précisé, la Francophonie avait pour but, de transformer en action la solidarité l'inguistique qui unissait ses membres.
Face à la montée des incertitudes et à la prolifération des crises et oppositions diverses entre Etats ou au sein des Etats membres ou non de l'organisation internationale de la Francophonie, les membres de l'OIF ont décidé d'œuvrer dans le sens de la recherche de la paix”. A la suite des thèmes proposés à cette rencontre, Alfred Dan Moussa, président international de l'Union internationale de la Presse francophone, a fait deux observations. Il a souligné que le rassemblement des promoteurs de la langue française n'aurait pas été possible si les organisateurs et leurs invités étaient allés de malentendus en quiproquos, de confusions en incompréhension, du fait de la langue ou des langues. “Les échanges de ce jour, a-t-il indiqué, ont plutôt été possibles parce que le message est passé d'un pôle à l'autre, entre les membres du comité d'organisation, entre ceux-ci et le grand public , entre les partenaires de ces journées internationales de la Francophonie”. Pour la seconde observation, Alfred Dan Moussa a noté que l'Union internationale de la Presse francophone a voulu souligner qu'en plus d'être la protection et la défense d'une langue, le français, la francophonie se définit comme un ensemble de valeurs notamment le dialogue, la tolérance, la liberté d'expression, la démocratie, les droits de l'homme. Le président international de l'Union internationale de la presse francophone a fait ces remarques au cours d'un panel qu'il a animé avec des personnalités universitaires dont Alphonse Voho Sahi, philosophe, conseiller spécial du président de la République, Christine de Souche, spécialiste des questions de la Francophonie. “Le français est devenu le fondement de notre culture,a-t-il martelé. Il est notre langue officielle et pour beaucoup, notre langue maternelle”. L'ouverture solennelle des journées internationales de la Francophonie a été assurée par Youssouf Bakayoko qui a représenté le Premier ministre Guillaume Kigbafori.
Azo Vauguy
