Le président de l'Union pour la Côte d'Ivoire, Gnamien Konan, a animé hier, au siège de son parti, sa conférence de presse mensuelle. Conférence au cours de laquelle il a dit craindre pour sa vie parce qu'il dérange.
"Je dérange parce que je suis le seul candidat qui n'a rien à se reprocher. Le seul dont le bilan est positif. On veut me faire peur. On veut me décourager. J'ai décidé d'aller jusqu'au bout". Ces propos sont du Président de l'Union pour la Côte d'Ivoire, Gnamien Konan. Propos tenus hier, au cours d'une conférence de presse qui a eu pour cadre, le siège de son parti, sis à la Riviera Palmeraie. Non sans avoir manqué de dire craindre pour sa vie. Car selon lui, le récent assassinat dans des conditions non encore élucidées de l'un de ses conseillers, Eugène Kouadio, est la preuve qu'il est dans le viseur de ceux qu'ils dérangent. Par conséquent, il invite les autorités à se pencher sur sa garde parce qu'acteur de la politique nationale. Commentant l'actualité nationale, Gnamien Konan a dressé un réquisitoire sévère à l'encontre du gouvernement actuel avant de faire quelques propositions. S'agissant de la tenue des élections, l'Upci demande qu'une pression accrue soit exercée sur les acteurs pour qu'une date butoir soit fixée. Date au terme de laquelle, si les élections venaient à ne pas avoir lieu, l'ex-Dg des douanes ivoiriennes et ses camarades proposent une transition de deux ans que le président de l'Upci se propose de conduire. Pour les autres, l'Upci en appelle à une politique économique de rupture et à partager la vision économique d'un certain Thierry Tan, qui fait de la transformation sur place des produits agricoles, la meilleure voie de l'essor économique de l'Afrique. Pour clore ce chapitre, Gnamien Konan dira que son parti est pour les élections après désarmement Parce que c'est dans ces conditions qu'il pourra, par exemple dire, que la rébellion a été une mauvaise chose et l'Ivoirité une arnaque.
Un prix pour la presse
Pour réaffirmer sa volonté d'aider la presse, le président de l'Upci a annoncé la création de deux prix, d'un montant de 50 000Fcfa par semaine chacun. L'un récompensant chaque semaine un journaliste ayant produit un article "dont le contenu semble aller dans le sens de la paix et le développement de la Côte d'Ivoire". Et un autre article qui fait une bonne couverture des activités de l'Upci. Les articles sont réceptionnés au siège du parti. Pour terminer, Gnamien Konan, demande à l'Onu d'aider les Africains en général, les Ivoiriens en particulier, en créant une télé accessible aux leaders d'opinions et des instituts de sondage pour mieux jauger la popularité des gouvernants.
Tché Bi Tché
"Je dérange parce que je suis le seul candidat qui n'a rien à se reprocher. Le seul dont le bilan est positif. On veut me faire peur. On veut me décourager. J'ai décidé d'aller jusqu'au bout". Ces propos sont du Président de l'Union pour la Côte d'Ivoire, Gnamien Konan. Propos tenus hier, au cours d'une conférence de presse qui a eu pour cadre, le siège de son parti, sis à la Riviera Palmeraie. Non sans avoir manqué de dire craindre pour sa vie. Car selon lui, le récent assassinat dans des conditions non encore élucidées de l'un de ses conseillers, Eugène Kouadio, est la preuve qu'il est dans le viseur de ceux qu'ils dérangent. Par conséquent, il invite les autorités à se pencher sur sa garde parce qu'acteur de la politique nationale. Commentant l'actualité nationale, Gnamien Konan a dressé un réquisitoire sévère à l'encontre du gouvernement actuel avant de faire quelques propositions. S'agissant de la tenue des élections, l'Upci demande qu'une pression accrue soit exercée sur les acteurs pour qu'une date butoir soit fixée. Date au terme de laquelle, si les élections venaient à ne pas avoir lieu, l'ex-Dg des douanes ivoiriennes et ses camarades proposent une transition de deux ans que le président de l'Upci se propose de conduire. Pour les autres, l'Upci en appelle à une politique économique de rupture et à partager la vision économique d'un certain Thierry Tan, qui fait de la transformation sur place des produits agricoles, la meilleure voie de l'essor économique de l'Afrique. Pour clore ce chapitre, Gnamien Konan dira que son parti est pour les élections après désarmement Parce que c'est dans ces conditions qu'il pourra, par exemple dire, que la rébellion a été une mauvaise chose et l'Ivoirité une arnaque.
Un prix pour la presse
Pour réaffirmer sa volonté d'aider la presse, le président de l'Upci a annoncé la création de deux prix, d'un montant de 50 000Fcfa par semaine chacun. L'un récompensant chaque semaine un journaliste ayant produit un article "dont le contenu semble aller dans le sens de la paix et le développement de la Côte d'Ivoire". Et un autre article qui fait une bonne couverture des activités de l'Upci. Les articles sont réceptionnés au siège du parti. Pour terminer, Gnamien Konan, demande à l'Onu d'aider les Africains en général, les Ivoiriens en particulier, en créant une télé accessible aux leaders d'opinions et des instituts de sondage pour mieux jauger la popularité des gouvernants.
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