Accusés d’avoir voulu s’en prendre au ministre des Transports après le report de la visite d’Etat de Gbagbo à l’Ouest, les fidèles du chef de l’Etat qui animent l’espace la Sorbonne ont nié toute implication dans un éventuel projet de cette nature.
Les hérauts de l’espace d’échanges « Sorbonne Solidarité » au Plateau ont énergiquement rejeté, hier, toute implication dans les menaces de mort proférées à l’encontre du ministre des Transports, Mabri Toikeusse, depuis l’annonce de l’ajournement de la visite du chef de l’Etat à l’Ouest. «Nous ne sommes ni de près ni de loin concernés par ces menaces de mort proférées à l’encontre du président de l’Union pour la démocratie et la paix en Côte d’Ivoire (Udpci). Cette façon de faire n’entre pas dans nos stratégies politiques», a déclaré Nadau Clément, président de « Sorbonne Solidarité », joint hier par téléphone. Les tenants de cet espace d’échanges disent ne pas ignorer toute la part prise par le président du parti guéïste dans l’organisation de la visite d’Etat, Laurent Gbagbo, étant entendu que ce dernier a «participé pleinement» aux travaux des commissions mises en place pour faciliter l’événement.
Et, tous les Ivoiriens, indique Nadau Clément, savent les raisons qui ont milité en faveur de ce report qui ne saurait être imputé à une quelconque personne.
«Les auteurs de ces menaces sont des gens qui sont en marge de l’autorité or nous sommes dans le camp de l’autorité. Pourquoi, nous mettre alors en marge de cette raison officielle et emboucher la trompette de la menace de mort? Nous avons décidé d’accompagner la politique du chef de l’Etat, pourquoi alors nous nous opposerons à cette raison officielle qui a été invoquée?», a-t-il interrogé. Et, il poursuit: «Ces personnes qui profèrent ces menaces sont des illuminées. Nous pensons que la visite de Laurent Gbagbo ne se fera pas au détriment d’un seul cadre de la région mais il le fera en symbiose avec tous les fils de l’Ouest». Pour convaincre le ministre Mabri Toikeusse que la ‘‘Sorbonne Solidarité’’ a les mains propres dans cette affaire, Nadau Clément et ses camarades l’invitent à un débat «démocratique» comme ils l’ont fait pour le ministre de l’Enseignement supérieur, Ibrahim Cissé Bacongo, par ailleurs directeur national de campagne d’Abidjan-Sud, d’Alassane Dramane Ouattara.
K. Marras. D
Les hérauts de l’espace d’échanges « Sorbonne Solidarité » au Plateau ont énergiquement rejeté, hier, toute implication dans les menaces de mort proférées à l’encontre du ministre des Transports, Mabri Toikeusse, depuis l’annonce de l’ajournement de la visite du chef de l’Etat à l’Ouest. «Nous ne sommes ni de près ni de loin concernés par ces menaces de mort proférées à l’encontre du président de l’Union pour la démocratie et la paix en Côte d’Ivoire (Udpci). Cette façon de faire n’entre pas dans nos stratégies politiques», a déclaré Nadau Clément, président de « Sorbonne Solidarité », joint hier par téléphone. Les tenants de cet espace d’échanges disent ne pas ignorer toute la part prise par le président du parti guéïste dans l’organisation de la visite d’Etat, Laurent Gbagbo, étant entendu que ce dernier a «participé pleinement» aux travaux des commissions mises en place pour faciliter l’événement.
Et, tous les Ivoiriens, indique Nadau Clément, savent les raisons qui ont milité en faveur de ce report qui ne saurait être imputé à une quelconque personne.
«Les auteurs de ces menaces sont des gens qui sont en marge de l’autorité or nous sommes dans le camp de l’autorité. Pourquoi, nous mettre alors en marge de cette raison officielle et emboucher la trompette de la menace de mort? Nous avons décidé d’accompagner la politique du chef de l’Etat, pourquoi alors nous nous opposerons à cette raison officielle qui a été invoquée?», a-t-il interrogé. Et, il poursuit: «Ces personnes qui profèrent ces menaces sont des illuminées. Nous pensons que la visite de Laurent Gbagbo ne se fera pas au détriment d’un seul cadre de la région mais il le fera en symbiose avec tous les fils de l’Ouest». Pour convaincre le ministre Mabri Toikeusse que la ‘‘Sorbonne Solidarité’’ a les mains propres dans cette affaire, Nadau Clément et ses camarades l’invitent à un débat «démocratique» comme ils l’ont fait pour le ministre de l’Enseignement supérieur, Ibrahim Cissé Bacongo, par ailleurs directeur national de campagne d’Abidjan-Sud, d’Alassane Dramane Ouattara.
K. Marras. D