A Peteye comme à Sorobango, deux villages du département de Bondoukou, Stéphane Kipré, président de l’Union des nouvelles générations (l’Ung) et sa forte délégation, ont échangé avec les populations sur les nouvelles stratégies pour le développement de la Côte d’Ivoire de demain.”Nous considérons, à l’Ung, qu’il ne sert à rien de faire des discours non tenables ; parce que la Côte d’Ivoire de 2009 est déchirée. Elle est déchirée parce qu’il y a encore des villages sans électricité. Les populations ne peuvent pas écouler leurs produits parce qu’il n’ y a pas de routes ; de centres de santé ni d’eau potable. Le pays est en train de mourir, et c’est la jeunesse qui en souffre. La seule chose que la Côte d’Ivoire de 2009 a apportée aux Ivoiriens, ce sont les palabres inutiles entre ses fils et filles”, a déclaré le président du parti. Il se propose de rencontrer les producteurs des différents secteurs agricoles (anacarde, cacao et coton) afin de trouver des solutions applicables. “Ne perdons pas espoir ; mettons-nous ensemble pour préparer l’avenir. L’Ung, c’est l’union de tous ceux qui sont délaissés ; c’est la force de demain et cette génération est représentée par plusieurs groupes. Il y a certains qui pensent que pour préparer la Côte d’Ivoire de demain, il faut la diviser aujourd’hui, et d’autres qui pensent que pour quelle reste débout, il faut tuer les Ivoiriens. D’autres encore pensent qu’il faut régner par la rue”, a-t-il ajouté.
A Sorobango, Stéphane Kipré a indiqué s’y être rendu pour saluer ce que ce village a d’exceptionnel : la place de Dieu ; la place que cette population a réservée à la spiritualité. Il a également indiqué qu’à l’Ung, une place est réservée au Dieu Tout-Puissant. D’où le slogan «C’est Dieu qui est fort». Et d’expliquer : «Nous disons que si chacun respecte ce que les imans, les pasteurs lui inculquent, nous allons avoir des Ivoiriens qui n’aiment pas la fraude, ni la facilité, mais des Ivoiriens qui aiment travailler. Nous devons ramener Dieu dans le débat politique en Côte d’Ivoire pour que ce pays marche selon sa volonté». Cependant, le soutien de l’Etat est nécessaire comme c’est le cas pour des secteurs d’activité, tels le sport et la culture. De même, l’Etat doit reconnaître le statut des vrais serviteurs de Dieu.
A Peteye, Koun-Fao, Tanda, Kouassi-N’Dawa et à Sorobango, le président de l’Ung a reçu les attributs de chef de village et plusieurs dons en vivres. Toujours à Sorobango, il a visité la mosquée de Samory Touré et à Bondoukou, la première case du fondateur de ladite ville.
Souri Koné
Correspondant régional
A Sorobango, Stéphane Kipré a indiqué s’y être rendu pour saluer ce que ce village a d’exceptionnel : la place de Dieu ; la place que cette population a réservée à la spiritualité. Il a également indiqué qu’à l’Ung, une place est réservée au Dieu Tout-Puissant. D’où le slogan «C’est Dieu qui est fort». Et d’expliquer : «Nous disons que si chacun respecte ce que les imans, les pasteurs lui inculquent, nous allons avoir des Ivoiriens qui n’aiment pas la fraude, ni la facilité, mais des Ivoiriens qui aiment travailler. Nous devons ramener Dieu dans le débat politique en Côte d’Ivoire pour que ce pays marche selon sa volonté». Cependant, le soutien de l’Etat est nécessaire comme c’est le cas pour des secteurs d’activité, tels le sport et la culture. De même, l’Etat doit reconnaître le statut des vrais serviteurs de Dieu.
A Peteye, Koun-Fao, Tanda, Kouassi-N’Dawa et à Sorobango, le président de l’Ung a reçu les attributs de chef de village et plusieurs dons en vivres. Toujours à Sorobango, il a visité la mosquée de Samory Touré et à Bondoukou, la première case du fondateur de ladite ville.
Souri Koné
Correspondant régional