Si les grands hôtels, les installations télécoms, les aéroports, les banques et autres entreprises de la place sont équipés de système de détection incendie, ce n’est malheureusement pas le cas pour la plupart des édifices publics.
Une entreprise française a décidé de venir à leur secours. Il s’agit du groupe Def spécialisé dans la sécurité incendie. Ses dirigeants ont entrepris de sensibiliser les autorités ivoiriennes. D’où la présence du président du groupe, Philippe Lecuyer, à Abidjan depuis trois jours. Il aura ce matin, à 10 h, une rencontre avec le ministre de l’Industrie et de la Promotion du secteur privé, Amah Téhoua.
Avant cela, Philippe Lecuyer a expliqué à la presse, hier, au siège de Def Afrique de l’ouest, à Marcory, les enjeux pour la Côte d’Ivoire de s’engager résolument dans la protection de ses édifices. Pour lui, au moment où le pays sort de crise pour amorcer la reprise économique, il devra rassurer, au niveau de la sécurité, les investisseurs qui reviennent. «C’est l’une des priorités pour que la Côte d’Ivoire retrouve la position antérieure de pays phare de la sous-région, qu’elle a occupée avant la crise».
Au nombre des préoccupations que l’entreprise pourrait prendre en compte, il y a celle relative au récurrent problème d’incendie des marchés. Il faut une étude pour une solution adaptée, selon le conférencier.
Alakagni Hala
Une entreprise française a décidé de venir à leur secours. Il s’agit du groupe Def spécialisé dans la sécurité incendie. Ses dirigeants ont entrepris de sensibiliser les autorités ivoiriennes. D’où la présence du président du groupe, Philippe Lecuyer, à Abidjan depuis trois jours. Il aura ce matin, à 10 h, une rencontre avec le ministre de l’Industrie et de la Promotion du secteur privé, Amah Téhoua.
Avant cela, Philippe Lecuyer a expliqué à la presse, hier, au siège de Def Afrique de l’ouest, à Marcory, les enjeux pour la Côte d’Ivoire de s’engager résolument dans la protection de ses édifices. Pour lui, au moment où le pays sort de crise pour amorcer la reprise économique, il devra rassurer, au niveau de la sécurité, les investisseurs qui reviennent. «C’est l’une des priorités pour que la Côte d’Ivoire retrouve la position antérieure de pays phare de la sous-région, qu’elle a occupée avant la crise».
Au nombre des préoccupations que l’entreprise pourrait prendre en compte, il y a celle relative au récurrent problème d’incendie des marchés. Il faut une étude pour une solution adaptée, selon le conférencier.
Alakagni Hala