Le chef de l’Etat du Vatican a achevé sa visite au Cameroun et en Angola. Malgré le lynchage médiatique dont il a été l’objet de la part de la presse française, sa visite a été un franc succès. Les Africains, comme de coutume, n’ont pas failli à leur réputation légendaire. Celle qui veut qu’ils accueillent l’étranger avec joie, bonheur, enthousiasme et chaleur humaine. Ce sont des millions de femmes, d’hommes et d’enfants de toutes les religions et de toutes les catégories sociales qui ont accueilli le souverain pontife à Yaoundé et à Luanda. Preuve que les propos qu’il a tenus dans l’avion qui le transportait à Yaoundé ne sont pas à l’opposé de la façon dont ses fidèles voient les relations entre l’Eglise et la société. Comment pouvait-il en être autrement quand on sait pertinemment que l’Eglise c’est d’abord les dogmes qui sont le socle, le soubassement ou le substratum de son existence. Le pape qui a pour souci premier de préserver cet héritage multiséculaire pouvait-il biaiser avec ces préceptes ? En avait-il les moyens psychologique et moral pour le faire ?
Arrêtons la plaisanterie. On ne peut pas reconnaître à un individu le titre de pape et lui demander de marcher violemment sur le droit canonique. Les contradicteurs du pape sont si inutilement méchants qu’ils oublient qu’en matière de foi et de religion, les textes de loi, préceptes et autres commandements sont admis comme divinement inspirés. Comment peut-on, si l’on n’est sous l’emprise de Satan, accueillir un pape et s’attendre à ce qu’il fasse la promotion de l’utilisation des préservatifs sans qu’il ne pose le principe même qui fonde l’Eglise en matière de sexe ? Le sexe est sacré et quand on le désacralise comme c’est le cas aujourd’hui dans le monde entier, on s’expose à des crises sans fin auxquelles le monde est confronté de nos jours. Parlant d’ailleurs du sida qui est un produit de cette désacralisation à outrance portée par l’Occident, un évêque de Sao Paulo a dit, il y a quelques années, que : “C’est un châtiment de Dieu”.
La société d’aujourd’hui a besoin de vrais repères, de gens vertueux et courageux pour résister vaillamment aux agressions des multinationales et autres lobbies qui n’ont que faire de ces valeurs morales. Là-bas, tout a foutu le camp. L’autorité morale n’existe plus. C’est la raison pour laquelle en France, plus de la moitié des sondés exigent la démission de Benoît XVI. Sacrilège ! Dans ces sociétés où l’homosexualité (quelle abomination !) devient de plus en plus la norme en matière d’amour, il faut être de ce milieu pour espérer “percer” dans la vie de tous les jours.
Benoît XVI a bien fait de rappeler aux uns et aux autres que la meilleure façon d’éviter le sida, c’est l’abstinence jusqu’au mariage et la fidélité dans le mariage. Les préservatifs sont un moyen ponctuel de résolution de ce problème. Ils ne peuvent mettre fin à ce fléau sans qu’il y ait un ajustement de nos comportements. A commencer, naturellement, par mettre l’homme au-dessus du capital. On n’en serait pas à épiloguer sur les propos moralisateurs du pape si des individus n’avaient pas fait du sida un vrai business. Ainsi donc, à l’image du fermier qui défend avec la dernière énergie ses terres contre des envahisseurs, ces individus voient dans les propos du pape, une manière bien pensée de pousser à la fermeture, leurs entreprises.
Le mal est très profond et sa racine se trouve dans la façon dont nous cultivons les relations entre nous. Il suffit donc que tous, nous nous mettions à reconsidérer nos positions dites évoluées et les mettre au contact de la nature pour que notre monde se porte mieux. C’est ce chemin fait d’embûches et de traquenards que le pape est en train de déblayer. Suivons-le plutôt.
AVS
Arrêtons la plaisanterie. On ne peut pas reconnaître à un individu le titre de pape et lui demander de marcher violemment sur le droit canonique. Les contradicteurs du pape sont si inutilement méchants qu’ils oublient qu’en matière de foi et de religion, les textes de loi, préceptes et autres commandements sont admis comme divinement inspirés. Comment peut-on, si l’on n’est sous l’emprise de Satan, accueillir un pape et s’attendre à ce qu’il fasse la promotion de l’utilisation des préservatifs sans qu’il ne pose le principe même qui fonde l’Eglise en matière de sexe ? Le sexe est sacré et quand on le désacralise comme c’est le cas aujourd’hui dans le monde entier, on s’expose à des crises sans fin auxquelles le monde est confronté de nos jours. Parlant d’ailleurs du sida qui est un produit de cette désacralisation à outrance portée par l’Occident, un évêque de Sao Paulo a dit, il y a quelques années, que : “C’est un châtiment de Dieu”.
La société d’aujourd’hui a besoin de vrais repères, de gens vertueux et courageux pour résister vaillamment aux agressions des multinationales et autres lobbies qui n’ont que faire de ces valeurs morales. Là-bas, tout a foutu le camp. L’autorité morale n’existe plus. C’est la raison pour laquelle en France, plus de la moitié des sondés exigent la démission de Benoît XVI. Sacrilège ! Dans ces sociétés où l’homosexualité (quelle abomination !) devient de plus en plus la norme en matière d’amour, il faut être de ce milieu pour espérer “percer” dans la vie de tous les jours.
Benoît XVI a bien fait de rappeler aux uns et aux autres que la meilleure façon d’éviter le sida, c’est l’abstinence jusqu’au mariage et la fidélité dans le mariage. Les préservatifs sont un moyen ponctuel de résolution de ce problème. Ils ne peuvent mettre fin à ce fléau sans qu’il y ait un ajustement de nos comportements. A commencer, naturellement, par mettre l’homme au-dessus du capital. On n’en serait pas à épiloguer sur les propos moralisateurs du pape si des individus n’avaient pas fait du sida un vrai business. Ainsi donc, à l’image du fermier qui défend avec la dernière énergie ses terres contre des envahisseurs, ces individus voient dans les propos du pape, une manière bien pensée de pousser à la fermeture, leurs entreprises.
Le mal est très profond et sa racine se trouve dans la façon dont nous cultivons les relations entre nous. Il suffit donc que tous, nous nous mettions à reconsidérer nos positions dites évoluées et les mettre au contact de la nature pour que notre monde se porte mieux. C’est ce chemin fait d’embûches et de traquenards que le pape est en train de déblayer. Suivons-le plutôt.
AVS