Décédé le jeudi 26 février dernier, au terme de trois années de lutte acharnée contre une infection pulmonaire, alors même qu’il menait une paisible et bien méritée retraite, le doyen Kouassi Kouamé Lambert, ex-journaliste à Fraternité Matin, a été conduit à sa dernière demeure samedi 14 mars, au cimetière de Morofé à Yamoussoukro. Dans la simplicité qui a toujours caractérisé sa vie sur terre. Après la levée du corps qui a eu lieu vendredi, à Ivosep de Yamoussoukro, en présence de quelques membres de sa famille politique, le Pdci-Rda, qu’il s’est employé à servir en tant que secrétaire de la section Konian Kodjo-N’gattakro, depuis sa retraite, Lambert Kouassi ou “le Localier” a été conduit à son domicile à Morofé. Où il a eu droit à une belle veillée traditionnelle, jusqu’au petit matin. Peu avant la douloureuse séparation, N’Goran Thomas porte-parole des secrétaires de section de Yamoussoukro, a souligné les qualités militantes de l’homme. Lambert Kouassi, dira-t-il, est un grand militant au sens élevé du devoir bien accompli. Son départ constitue, a-t-il poursuivi, une grande perte pour le PDCI, au moment où ce parti et son président ont besoin de toutes les forces vives, pour reconquérir le pouvoir d’Etat.
Lambert Kouassi était bien actif depuis sa retraite, puisqu’il était président de l’Association des retraités de Morofé (Aremo). C’est en cette qualité qu’il a également eu droit à un hommage mérité de la part de son bureau et ses membres qui ont tenu à lui organiser des obsèques dignes. C’est aussi cette ultime occasion, que le porte-parole de la famille a mise à profit pour dire un grand merci au groupe Fraternité Matin et à son directeur général, M. Jean- Baptiste Akrou, dont la sollicitude ne leur a jamais fait défaut depuis la mort de Lambert Kouassi ; puisque les deux hommes sont restés de bons frères, jusqu’à cette date fatidique du 26 février.
Pour témoigner de son indéfectible attachement à ce grand journaliste, le groupe Fraternité Matin était représenté à ses obsèques par deux hauts responsables. MM. Alhouceine Sylla, chef du département Ressources humaines, et Laurent Kouassi, chef du département technique.
Le porte-parole de la famille a également traduit toute sa gratitude au Président de la République qui, en cette douloureuse circonstance, a apporté une contribution financière à l’occasion de ces funérailles.
Un fait insolite, diversement interprété, a manqué d’en rajouter à la tristesse et à l’émoi des parents, amis et connaissances. Tout debout pour le voyage ultime, le corbillard refuse subitement de démarrer, malgré les interventions des plus avertis en matière de mécanique auto. Il a donc fallu pousser le véhicule, avant que le moteur ne se mette en marche. Au-delà des commentaires et interprétations, une chose est certaine, Lambert Kouassi repose depuis samedi dernier, au cimetière de Morofé. Ce village qui l’a vu naître en 1943. Il part ainsi en laissant derrière lui, deux filles et un garçon, tous majeurs.
N’dri Célestin
Lambert Kouassi était bien actif depuis sa retraite, puisqu’il était président de l’Association des retraités de Morofé (Aremo). C’est en cette qualité qu’il a également eu droit à un hommage mérité de la part de son bureau et ses membres qui ont tenu à lui organiser des obsèques dignes. C’est aussi cette ultime occasion, que le porte-parole de la famille a mise à profit pour dire un grand merci au groupe Fraternité Matin et à son directeur général, M. Jean- Baptiste Akrou, dont la sollicitude ne leur a jamais fait défaut depuis la mort de Lambert Kouassi ; puisque les deux hommes sont restés de bons frères, jusqu’à cette date fatidique du 26 février.
Pour témoigner de son indéfectible attachement à ce grand journaliste, le groupe Fraternité Matin était représenté à ses obsèques par deux hauts responsables. MM. Alhouceine Sylla, chef du département Ressources humaines, et Laurent Kouassi, chef du département technique.
Le porte-parole de la famille a également traduit toute sa gratitude au Président de la République qui, en cette douloureuse circonstance, a apporté une contribution financière à l’occasion de ces funérailles.
Un fait insolite, diversement interprété, a manqué d’en rajouter à la tristesse et à l’émoi des parents, amis et connaissances. Tout debout pour le voyage ultime, le corbillard refuse subitement de démarrer, malgré les interventions des plus avertis en matière de mécanique auto. Il a donc fallu pousser le véhicule, avant que le moteur ne se mette en marche. Au-delà des commentaires et interprétations, une chose est certaine, Lambert Kouassi repose depuis samedi dernier, au cimetière de Morofé. Ce village qui l’a vu naître en 1943. Il part ainsi en laissant derrière lui, deux filles et un garçon, tous majeurs.
N’dri Célestin
