Le Japon a décidé de contribuer à l’amélioration de la qualité de vie des populations ivoiriennes sa représentation diplomatique en Côte d’Ivoire a procédé hier, à la signature de trois contrats de don. Ce, dans le cadre des dons aux microprojets locaux contribuant à la sécurité humaine (APL). Le montant global de ces trois contrats de don est estimé à plus de 104 millions FCFA, répartis comme suit : 28 millions FCFA servira à la construction d’un bâtiment de trois classes au collège moderne de Bayota (Gagnoa) l’achat d’équipement de construction de classes et de cantine à l’Ecole Primaire Publique d’Abokouamekro (sous-préfecture de Méagui), à hauteur de 38 millions de FCFA. A cela s’ajoute la construction d’un service de rééducation pour les malades d’ulcère de buruli à l’hôpital général de Djékanou. «(…) Ce service de rééducation va réduire la gravité des séquelles liées à cette maladie et permettra d’optimiser la prise en charge des cas d’ulcère de Buruli », a précisé l’Ambassadeur du Japon en Côte d’Ivoire, Son Excellence, Okamura Yoshifumi. Il a relevé que l’octroi de ces dons a été possible grâce au soutien des contribuables japonais qui souhaitent une coopération fructueuse. Laquelle est sur l’éradication de la pauvreté en Côte d’Ivoire. Aussi, cet acte permettra aux élèves bénéficiaires de recevoir des meilleures connaissances dans un cadre approprié. Les trois contrats de dons ont été signés entre l’Ambassadeur du Japon et les représentants des structures bénéficiaires : ce sont M. Koudou Boti, Mamadou Traoré, Prosper Kouakou Dabla, respectivement 2ème vice président du Conseil général de Gagnoa, le Directeur de l’hôpital général de Djékanou et le secrétaire général du COGES. Ces différents bénéficiaires ont exprimé leur reconnaissance au diplomate japonais. Avant de le rassurer du bon usage de ces dons.
Anzoumana Cissé
Anzoumana Cissé