La Fondation Niangoran-Bouah, en partenariat avec l’UNESCO, a rendu un hommage posthume, hier, à l’ethno-sociologue, fondateur de la drummologie ou la science du langage tambouriné. La Fondation qui porte le nom de l’illustre intellectuel a expliqué aux uns et autres, la problématique de la démarche scientifique du chercheur. Georges Niangoran-Bouah, selon ses collaborateurs et ses étudiants, entre autres conclusions absolument pertinentes, a découvert le fonctionnement des poids à peser l’or, les pierres de Gohitafla ou le trésor du Marahoué, des pierres dont la plupart illustrent des visages humains. Dans la cour de la Fondation qui se présente comme le Musée Elvis Presley qui était sa propre résidence, Alex Halley également, le public a apprécié une exposition photos, images matérialisant le souvenir de l’homme de science au contact des autres. Des poids à peser l’or et des tambours ont été offerts à la curiosité des visiteurs.
Le secrétaire général de la Commission nationale ivoirienne pour l’UNESCO, le professeur Lou Bamba, a indiqué qu’il est déterminant que l’on rende hommage à la mémoire de Georges Niangoran-Bouah, en vue de contribuer à l’immortalisation du drummologue. Dans cette perspective, Lou Bamba a révélé : “En septembre 2006, le directeur général de l’UNESCO, Koitchiro Matsuura avait invité la Commission nationale ivoirienne pour l’UNESCO à faire connaître au secrétariat, les commémorations auxquelles notre pays aurait souhaité que l’UNESCO fût associée au cours de l’exercice biennal 2008-2009. Les investigations entreprises par notre commission nationale, tant auprès des institutions gouvernementales qu’au niveau des structures privées et de la société civile ont permis de dégager quatre propositions qui ont été transmises à l’UNESCO à Paris, en janvier 2007”. Des quatre propositions soumises à l’appréciation de l’UNESCO, c’est celle relative à la célébration du 50ème anniversaire de la carrière intellectuelle de Georges Niangoran-Bouah qui a été jugée conforme aux critères applicables en la matière et retenue par le comité intersectoriel de sélection des anniversaires.
Justice est rendue au chercheur émérite, selon les organisateurs de la cérémonie, puisqu’il a contribué de façon significative à l’enrichissement des cultures favorisant la compréhension internationale, le rapprochement entre les peuples. A l’occasion, comme il est de coutume, une table ronde animée par un parterre de personnalités universitaires notamment les docteurs Oré Gnézé, conseiller spécial du président de la République chargé des Cultes, et Bini Kouakou, directeur général de l’Institut national supérieur des arts et de la culture, les professeurs Amoa Urbain, recteur de l’université Montesquieu, et Lou Bamba ont mis en lumière la dimension de l’œuvre de Georges Niangoran-Bouah qui laisse un héritage inoxydable.
Azo Vauguy: azohvauguy@yahoo.fr
Le secrétaire général de la Commission nationale ivoirienne pour l’UNESCO, le professeur Lou Bamba, a indiqué qu’il est déterminant que l’on rende hommage à la mémoire de Georges Niangoran-Bouah, en vue de contribuer à l’immortalisation du drummologue. Dans cette perspective, Lou Bamba a révélé : “En septembre 2006, le directeur général de l’UNESCO, Koitchiro Matsuura avait invité la Commission nationale ivoirienne pour l’UNESCO à faire connaître au secrétariat, les commémorations auxquelles notre pays aurait souhaité que l’UNESCO fût associée au cours de l’exercice biennal 2008-2009. Les investigations entreprises par notre commission nationale, tant auprès des institutions gouvernementales qu’au niveau des structures privées et de la société civile ont permis de dégager quatre propositions qui ont été transmises à l’UNESCO à Paris, en janvier 2007”. Des quatre propositions soumises à l’appréciation de l’UNESCO, c’est celle relative à la célébration du 50ème anniversaire de la carrière intellectuelle de Georges Niangoran-Bouah qui a été jugée conforme aux critères applicables en la matière et retenue par le comité intersectoriel de sélection des anniversaires.
Justice est rendue au chercheur émérite, selon les organisateurs de la cérémonie, puisqu’il a contribué de façon significative à l’enrichissement des cultures favorisant la compréhension internationale, le rapprochement entre les peuples. A l’occasion, comme il est de coutume, une table ronde animée par un parterre de personnalités universitaires notamment les docteurs Oré Gnézé, conseiller spécial du président de la République chargé des Cultes, et Bini Kouakou, directeur général de l’Institut national supérieur des arts et de la culture, les professeurs Amoa Urbain, recteur de l’université Montesquieu, et Lou Bamba ont mis en lumière la dimension de l’œuvre de Georges Niangoran-Bouah qui laisse un héritage inoxydable.
Azo Vauguy: azohvauguy@yahoo.fr