Depuis le samedi 28 mars 2009, le monde entier a été informé de ma radiation du Pdci-Rda ou plus exactement de "mon exclusion définitive du Pdci-Rda", à l'issue du procès de la faillite, orchestrée par le Président Némin Noël sur saisine du Pr. Alphonse Djédjé Mady, Secrétaire général du Pdci-Rda et de ma bastonnade perpétrée par Monsieur Kouadio Konan Bertin dit Kkb, président de la Jeunesse du Parti démocratique de Côte d'Ivoire au siège dudit parti et dans la rue c'est-à-dire hors du siège du Pdci-Rda, le 5 mars 2009.
l Le président Némin Noël s'est placé au-dessus du parti. Il a failli.
Le président Némin Noël, ancien magistrat, avocat, ancien Garde des sceaux, ancien président du conseil constitutionnel de Côte d'Ivoire, a certainement agi, mais le drame que les militants du Pdci-Rda vivent c'est que le président Némin Noël, ancien garde des sceaux, ancien président du Conseil constitutionnel, a failli en posant un acte contraire aux textes qui régissent le fonctionnement du Parti démocratique de Côte d'Ivoire, le Pdci-Rda.
Tout en respectant sa décision qui est seulement le reflet d'un état d'âme et d'un zèle digne d'un suiveur impénitent et non le comportement d'un juge impartial et lucide, je tiens à dire à la communauté nationale et internationale que je suis bel et bien membre du bureau politique du Pdci-Rda depuis le 10e congrès dudit parti tenu les 28, 29, 30, 31 octobre 1996 à Abidjan. J'étais moi-même membre du bureau du Congrès.
La radiation ou "l'exclusion définitive" d'un membre du Bureau relève de la compétence du congrès. Allons donc au congrès !
Je reconnais que mon exclusion définitive peut être proposée par Monsieur Noël Némin, mais en aucun cas, elle ne relève de lui.
A ce propos, voici ce que dit l'article 134 du règlement intérieur du Pdci-Rda que le président Némin Noël a volontairement ignoré.
article 134 : "l'exclusion temporaire du bureau politique et du grand conseil relève de la compétence du conseil de discipline sur saisine du Secrétaire général du parti.
L'exclusion définitive du bureau politique et du grand conseil proposée par le conseil de discipline relève de la compétence du congrès sur saisine du président du parti."
Dans ces conditions, en prononçant à mon encontre l'exclusion définitive du Pdci-Rda, donc du bureau politique du Pdci-Rda, à compter du 26 mars 2009, et en le publiant dans la presse, le président Némin Noël s'est donné des pouvoirs qu'il n'a pas. Il s'est mis au-dessus du Pdci-Rda. Quel dommage pour un homme que nous avons pendant longtemps déifié.
Sa prétendue "décision N°04/2009 du 26 mars 2009 “affaire Gnamien Yao, membre du bureau politique du Pdci-Rda” est donc nulle et de nul effet. Elle n'est rien d'autre que le dernier baroud d'honneur d'un vieux magistrat, d'un ancien ministre de la justice dont la lucidité est malheureusement entamée par son refus d'admettre que son temps est révolu.
Je m'inclinerai devant la décision du congrès que le président du Pdci-Rda voudra bien convoquer dans les meilleurs délais.
Je précise que je suis militant du Pdci-Rda, Membre du bureau politique dudit parti. J'y ai occupé les fonctions de Secrétaire national chargé de l'encadrement des jeunes (1997-2000) et de Secrétaire général adjoint chargé de la communication du Pdci-Rda (2002-2007). Je ne suis donc en aucun cas au-dessus du parti. Je suis respectueux de nos textes. Je souhaite en retour que personne ne se mette au-dessus du parti.
Maintenant que la décision prise par le président du conseil de discipline, le président Némin Noël en lieu et place du congrès, a été portée à la connaissance du grand public, par simple ignorance des responsabilités que lui incombent ses charges de président du conseil de discipline, et cela en violation des dispositions de l'article 134 du Règlement intérieur du Pdci-Rda, je suppose que les militants comprendront, pour ceux qui ont encore des doutes, à quel point l'actuelle direction du Pdci-Rda, a montré son incapacité à répondre aux exigences des temps nouveaux et surtout la justesse de mon combat en faveur d'une nouvelle équipe mieux au fait des réalités du monde actuel.
Allons au congrès pour donner une chance à la démocratie interne.
Je lance donc un appel à tous nos militants et à toutes nos militantes épris d'équité et de justice, afin que nous arrachions le congrès au président du Pdci-Rda dans l'espoir de le débarrasser de tous ces roitelets et ces potentats qui pensent que c'est en menaçant les militants de radiation au mépris de nos textes, c'est en frappant et bastonnant les esprits critiques qu'ils parviendront à asseoir leur autorité.
Le moment est venu de dire à l'actuelle Direction de notre parti que les temps ont changé et que tout doit changer. Comme pour que ça change les hommes aussi doivent changer, allons au congrès pour changer ceux que nous devons changer pour réhabiliter le dialogue et le débat à l'intérieur du parti, qui je le rappelle doit rester un espace de liberté, de débat d'idées et de sauvegarde des Droits de l'Homme.
Fait à Abidjan, le 29 mars 2009.
Le ministre Gnamien Yao
Membre du bureau politique du Pdci-Rda
l Le président Némin Noël s'est placé au-dessus du parti. Il a failli.
Le président Némin Noël, ancien magistrat, avocat, ancien Garde des sceaux, ancien président du conseil constitutionnel de Côte d'Ivoire, a certainement agi, mais le drame que les militants du Pdci-Rda vivent c'est que le président Némin Noël, ancien garde des sceaux, ancien président du Conseil constitutionnel, a failli en posant un acte contraire aux textes qui régissent le fonctionnement du Parti démocratique de Côte d'Ivoire, le Pdci-Rda.
Tout en respectant sa décision qui est seulement le reflet d'un état d'âme et d'un zèle digne d'un suiveur impénitent et non le comportement d'un juge impartial et lucide, je tiens à dire à la communauté nationale et internationale que je suis bel et bien membre du bureau politique du Pdci-Rda depuis le 10e congrès dudit parti tenu les 28, 29, 30, 31 octobre 1996 à Abidjan. J'étais moi-même membre du bureau du Congrès.
La radiation ou "l'exclusion définitive" d'un membre du Bureau relève de la compétence du congrès. Allons donc au congrès !
Je reconnais que mon exclusion définitive peut être proposée par Monsieur Noël Némin, mais en aucun cas, elle ne relève de lui.
A ce propos, voici ce que dit l'article 134 du règlement intérieur du Pdci-Rda que le président Némin Noël a volontairement ignoré.
article 134 : "l'exclusion temporaire du bureau politique et du grand conseil relève de la compétence du conseil de discipline sur saisine du Secrétaire général du parti.
L'exclusion définitive du bureau politique et du grand conseil proposée par le conseil de discipline relève de la compétence du congrès sur saisine du président du parti."
Dans ces conditions, en prononçant à mon encontre l'exclusion définitive du Pdci-Rda, donc du bureau politique du Pdci-Rda, à compter du 26 mars 2009, et en le publiant dans la presse, le président Némin Noël s'est donné des pouvoirs qu'il n'a pas. Il s'est mis au-dessus du Pdci-Rda. Quel dommage pour un homme que nous avons pendant longtemps déifié.
Sa prétendue "décision N°04/2009 du 26 mars 2009 “affaire Gnamien Yao, membre du bureau politique du Pdci-Rda” est donc nulle et de nul effet. Elle n'est rien d'autre que le dernier baroud d'honneur d'un vieux magistrat, d'un ancien ministre de la justice dont la lucidité est malheureusement entamée par son refus d'admettre que son temps est révolu.
Je m'inclinerai devant la décision du congrès que le président du Pdci-Rda voudra bien convoquer dans les meilleurs délais.
Je précise que je suis militant du Pdci-Rda, Membre du bureau politique dudit parti. J'y ai occupé les fonctions de Secrétaire national chargé de l'encadrement des jeunes (1997-2000) et de Secrétaire général adjoint chargé de la communication du Pdci-Rda (2002-2007). Je ne suis donc en aucun cas au-dessus du parti. Je suis respectueux de nos textes. Je souhaite en retour que personne ne se mette au-dessus du parti.
Maintenant que la décision prise par le président du conseil de discipline, le président Némin Noël en lieu et place du congrès, a été portée à la connaissance du grand public, par simple ignorance des responsabilités que lui incombent ses charges de président du conseil de discipline, et cela en violation des dispositions de l'article 134 du Règlement intérieur du Pdci-Rda, je suppose que les militants comprendront, pour ceux qui ont encore des doutes, à quel point l'actuelle direction du Pdci-Rda, a montré son incapacité à répondre aux exigences des temps nouveaux et surtout la justesse de mon combat en faveur d'une nouvelle équipe mieux au fait des réalités du monde actuel.
Allons au congrès pour donner une chance à la démocratie interne.
Je lance donc un appel à tous nos militants et à toutes nos militantes épris d'équité et de justice, afin que nous arrachions le congrès au président du Pdci-Rda dans l'espoir de le débarrasser de tous ces roitelets et ces potentats qui pensent que c'est en menaçant les militants de radiation au mépris de nos textes, c'est en frappant et bastonnant les esprits critiques qu'ils parviendront à asseoir leur autorité.
Le moment est venu de dire à l'actuelle Direction de notre parti que les temps ont changé et que tout doit changer. Comme pour que ça change les hommes aussi doivent changer, allons au congrès pour changer ceux que nous devons changer pour réhabiliter le dialogue et le débat à l'intérieur du parti, qui je le rappelle doit rester un espace de liberté, de débat d'idées et de sauvegarde des Droits de l'Homme.
Fait à Abidjan, le 29 mars 2009.
Le ministre Gnamien Yao
Membre du bureau politique du Pdci-Rda