L’éducation fait partie des secteurs prioritaires dans le développement du département.
Le président du Conseil général de Toumodi, M. Patrice Kouamé, a échangé vendredi dernier avec les étudiants du département d’histoire et géographie de l’école normale supérieure (Ens) à Cocody. Au cours d’une conférence axée sur la mise en œuvre de la politique de décentralisation dans le département de Toumodi de 2002 à 2007, le président du Conseil général a soutenu qu’il a accordé la priorité à l’éducation, plus de 30% de son budget. Avec pour objectif, que chaque village soit distant de deux kilomètres d’une école primaire. Et que chaque sous-préfecture du département soit dotée d’au moins un collège. Aujourd’hui, 82 % des villages sont situés à 2 km, au plus, d’une école. Et toutes les sous-préfectures ont au moins un collège. Ainsi, les enfants restent sur place pour aller à l’école. Et donc les problèmes d’accès des filles ou des garçons à l’école est résolu. Cela a permis de relever le taux de réussite aux examens dans la sous-préfecture de Kokumbo. En deux mois, le Conseil général a construit les collèges de Kpouèbo et d’Angoda. La volonté du président est de faire en sorte à l’avenir que chacun de ces collèges soit érigé en lycée. 111 salles de classe ont été réhabilitées pour certaines, achevées pour d’autres ou encore construites.
S’agissant de l’électrification, M. Patrice Kouamé a indiqué que 88 % des populations bénéficient de l’éclairage public. Sa structure a aussi contribué à la vulgarisation de l’énergie solaire.
Il a confié qu’il ne néglige pas la santé. Le taux de couverture est à 75%. Alors que la norme est de 16 %. En dépit des difficultés d’acquisition des subventions pour la réalisation des investissements, il ne lui reste plus qu’à construire 12 centres de santé pour atteindre le taux de 100%. Au niveau de l’hydraulique et du réseau routier, le Conseil a réhabilité plusieurs pompes et des pistes. Le Conseil général a créé plus de 1000 emplois. Ce qui a fait dire au président Kouamé que l’activité de cette structure décentralisée a permis au département de franchir le seuil de pauvreté.
Christian Dallet
Le président du Conseil général de Toumodi, M. Patrice Kouamé, a échangé vendredi dernier avec les étudiants du département d’histoire et géographie de l’école normale supérieure (Ens) à Cocody. Au cours d’une conférence axée sur la mise en œuvre de la politique de décentralisation dans le département de Toumodi de 2002 à 2007, le président du Conseil général a soutenu qu’il a accordé la priorité à l’éducation, plus de 30% de son budget. Avec pour objectif, que chaque village soit distant de deux kilomètres d’une école primaire. Et que chaque sous-préfecture du département soit dotée d’au moins un collège. Aujourd’hui, 82 % des villages sont situés à 2 km, au plus, d’une école. Et toutes les sous-préfectures ont au moins un collège. Ainsi, les enfants restent sur place pour aller à l’école. Et donc les problèmes d’accès des filles ou des garçons à l’école est résolu. Cela a permis de relever le taux de réussite aux examens dans la sous-préfecture de Kokumbo. En deux mois, le Conseil général a construit les collèges de Kpouèbo et d’Angoda. La volonté du président est de faire en sorte à l’avenir que chacun de ces collèges soit érigé en lycée. 111 salles de classe ont été réhabilitées pour certaines, achevées pour d’autres ou encore construites.
S’agissant de l’électrification, M. Patrice Kouamé a indiqué que 88 % des populations bénéficient de l’éclairage public. Sa structure a aussi contribué à la vulgarisation de l’énergie solaire.
Il a confié qu’il ne néglige pas la santé. Le taux de couverture est à 75%. Alors que la norme est de 16 %. En dépit des difficultés d’acquisition des subventions pour la réalisation des investissements, il ne lui reste plus qu’à construire 12 centres de santé pour atteindre le taux de 100%. Au niveau de l’hydraulique et du réseau routier, le Conseil a réhabilité plusieurs pompes et des pistes. Le Conseil général a créé plus de 1000 emplois. Ce qui a fait dire au président Kouamé que l’activité de cette structure décentralisée a permis au département de franchir le seuil de pauvreté.
Christian Dallet