La Première dame a apprécié et donné, hier, sa vision de cette spécialité médicale.
La Première dame, Simone Ehivet Gbagbo, marraine, hier, de la cérémonie de création de la société de neurochirurgie à l’Indenié (Adjamé) a donné sa vision de cette spécialité médicale. Prenant en charge le traitement chirurgical des (maladies) neurologiques. Pour elle, cette spécialité est d’importance. Car «la neurochirurgie m’a permis de rester en vie. De me déplacer. Tout cela montre que la Côte d’Ivoire regorge de bons neurochirurgiens» a-t-elle soutenu. Dans la mesure où elle a eu à expérimenter cette spécialité pour avoir été victime d’un accident de la circulation et des événements politiques. Situations qui l’ont contrainte à une intervention chirurgicale. C’est pourquoi, elle salue la vision du professeur Antoine Yangni Angaté, doyen honoraire de la faculté de médecine, qui a fait la promotion de cette discipline. Dont le professeur Ba Zézé Vincent s’est activé à la pérenniser. Etant donné que l’on dénombre aujourd’hui 11 spécialistes en Côte d’Ivoire.
Cependant, Mme Simone Gbagbo a relevé que c’est ensemble qu’il faudra penser à la réalisation d’un centre spécialisé pour la rééducation post-chirurgicale. La marraine a aussi fait un plaidoyer pour l’amélioration de son plateau technique. Car «cette spécialité est vitale», a-t-elle soutenu.
Le professeur Ba Zézé Vincent, chef du service de neurochirurgie, pour sa part, a souhaité que la Première dame soit leur guide. Tout en précisant que cette chirurgie n’est pas un luxe. Elle doit se développer dans un environnement acceptable. Pour lui, le professeur Angaté a tracé les sillons de la diversité chirurgicale en Côte d’Ivoire. Il faut faire en sorte que ce pays ait une place prépondérante dans tous les secteurs de la santé. Signalons que la création de cette société de neurochirurgie, née de la volonté des spécialistes de Côte d’Ivoire, se veut un cadre d’échanges d’expériences scientifiques, de valorisation et de promotion de cette spécialité médicale.
Le ministère de l’Enseignement supérieur et de la recherche scientifique encourage cette initiative.
Christian Dallet
La Première dame, Simone Ehivet Gbagbo, marraine, hier, de la cérémonie de création de la société de neurochirurgie à l’Indenié (Adjamé) a donné sa vision de cette spécialité médicale. Prenant en charge le traitement chirurgical des (maladies) neurologiques. Pour elle, cette spécialité est d’importance. Car «la neurochirurgie m’a permis de rester en vie. De me déplacer. Tout cela montre que la Côte d’Ivoire regorge de bons neurochirurgiens» a-t-elle soutenu. Dans la mesure où elle a eu à expérimenter cette spécialité pour avoir été victime d’un accident de la circulation et des événements politiques. Situations qui l’ont contrainte à une intervention chirurgicale. C’est pourquoi, elle salue la vision du professeur Antoine Yangni Angaté, doyen honoraire de la faculté de médecine, qui a fait la promotion de cette discipline. Dont le professeur Ba Zézé Vincent s’est activé à la pérenniser. Etant donné que l’on dénombre aujourd’hui 11 spécialistes en Côte d’Ivoire.
Cependant, Mme Simone Gbagbo a relevé que c’est ensemble qu’il faudra penser à la réalisation d’un centre spécialisé pour la rééducation post-chirurgicale. La marraine a aussi fait un plaidoyer pour l’amélioration de son plateau technique. Car «cette spécialité est vitale», a-t-elle soutenu.
Le professeur Ba Zézé Vincent, chef du service de neurochirurgie, pour sa part, a souhaité que la Première dame soit leur guide. Tout en précisant que cette chirurgie n’est pas un luxe. Elle doit se développer dans un environnement acceptable. Pour lui, le professeur Angaté a tracé les sillons de la diversité chirurgicale en Côte d’Ivoire. Il faut faire en sorte que ce pays ait une place prépondérante dans tous les secteurs de la santé. Signalons que la création de cette société de neurochirurgie, née de la volonté des spécialistes de Côte d’Ivoire, se veut un cadre d’échanges d’expériences scientifiques, de valorisation et de promotion de cette spécialité médicale.
Le ministère de l’Enseignement supérieur et de la recherche scientifique encourage cette initiative.
Christian Dallet