A un jour de l'Assemblée générale élective de l'Union des journalistes de Côte d'Ivoire, un des candidats en lice, Kigbafory Inza dénonce certaines intrigues.
Comment abordez-vous ce 7e Congrès de l'Unjci qui, après des péripéties, va se dérouler à Abidjan ?
On nous a traité de petit candidat. Mais tout au long de la campagne, les confrères ont pu constater que notre programme était non seulement mature mais futuriste ; c'est-à-dire plus que d'actualité et le résultat de recherche d'expert. Nous avons rompu avec les us et coutumes en matière de campagne : pendant que nous faisions notre lancement dans un cadre enchanteur adapté aux réflexions, nos adversaires enivraient les confrères dans un maquis à Yopougon en vue de leur faire accepter leur programme. Il faut respecter les journalistes. La mobilisation à notre cérémonie de lancement de campagne était sans pareil. Il y a également les démarches que nous avons menées au niveau de la France dans le cadre de la formation des journalistes : nous avons des pré-accords avec de grandes rédactions parisiennes et surtout avec l'école de journaliste de Lille. La meilleure dans l'espace francophone. Nous attendons juste d'être élus pour engager les formations. Ce qui sera du jamais vu en la matière en Côte d'Ivoire. Les journalistes seront formés à l'ère du modernisme.
Beaucoup de bruits a couru par rapport à ce 7e congrès, qu'est-ce que cela vous inspire aujourd'hui ?
Effectivement, nous avons compris pourquoi les décideurs du bureau sortant (le président et son Secrétaire général aujourd'hui candidat) avaient opté pour une gestion opaque. Il y a de nombreuses choses à réaliser pour la collectivité mais les gens préfèrent en profiter seuls. Nous sommes les favoris, et les aînés qui ont mis en avant leur soi- disant expérience le savent. Ils n'ont pas plus d'expérience que nous. Aux âmes bien nées, la valeur n'attend pas le nombre des années. La preuve, durant cette campagne, ils n'ont que copier tous nos concepts. Des affiches 12m2 en passant par les tee-shirts, les " doyens " n'avaient pas prévu cela. Ils ont manœuvré au report des élections où ils sont juge et partie en vue de rattraper cet écart. En réalité, ils ne peuvent rien faire pour les journalistes, c'est pourquoi, ils n'ont pas hésité à écarter par tous les moyens les candidats qui leur paraissaient plus coriaces. Mais ils se sont trompés sur notre compte car c'est nous qui allons leur faire mordre la poussière…
Pourquoi cet optimiste ?
Souvenez-vous au début de la déclaration des candidatures, ils ont tenté par tous les moyens de nous dissuader de nous présenter. Allant jusqu'à dire que l'Unjci est une mafia et qu'il ne faut pas qu'on s'y aventure. Mais nous ne nous sommes pas laissés faire jusqu'à maintenant. Et notre victoire se dessine. En cette fin de campagne, on se rend compte que ce sont nos acquis qu'ils mettent en avant. Je veux parler, entre autres, de nos contacts internationaux dans le cadre de la formation des journalistes. Aujourd'hui, ils font croire qu'ils ont eux aussi des contacts à mettre au service des confrères. Mais les journalistes de Côte d'Ivoire ne sont pas dupes. Pourquoi ne l'ont-ils pas fait depuis qu'ils dirigent l'Union. Il faut qu'on respecte les journalistes.
Avez-vous des appréhensions par rapport à ce Congrès ?
Je peux vous assurer que nous n'avons plus d'appréhension. Il y a quelques semaines, oui mais plus à présent. Nous avons pu percer leur stratégie et nous savons comment il compte nous voler notre victoire. Ils seront très surpris de notre réaction durant tout le Congrès. Nous avons la preuve qu'ils ont distribué une centaine de cartes à des gens qui n'en ont pas droit. C'est le lieu d'inviter tous ces faussaires à ne pas se rendre sur les lieux. Parce que ces gens seront non seulement interdits de prendre part au vote mais les éléments de la police sur place les mettront aux arrêts. Il ne faut surtout pas qu'ils s'amusent à ce jeu. Nous sommes une Union sérieuse et nous ne devons pas être un mauvais exemple. Pour terminer, j'invite tous les confrères à prendre part à ce 7e Congrès qui est celui du changement. Aujourd'hui, plus que jamais, un vent nouveau doit souffler.
S.A
Comment abordez-vous ce 7e Congrès de l'Unjci qui, après des péripéties, va se dérouler à Abidjan ?
On nous a traité de petit candidat. Mais tout au long de la campagne, les confrères ont pu constater que notre programme était non seulement mature mais futuriste ; c'est-à-dire plus que d'actualité et le résultat de recherche d'expert. Nous avons rompu avec les us et coutumes en matière de campagne : pendant que nous faisions notre lancement dans un cadre enchanteur adapté aux réflexions, nos adversaires enivraient les confrères dans un maquis à Yopougon en vue de leur faire accepter leur programme. Il faut respecter les journalistes. La mobilisation à notre cérémonie de lancement de campagne était sans pareil. Il y a également les démarches que nous avons menées au niveau de la France dans le cadre de la formation des journalistes : nous avons des pré-accords avec de grandes rédactions parisiennes et surtout avec l'école de journaliste de Lille. La meilleure dans l'espace francophone. Nous attendons juste d'être élus pour engager les formations. Ce qui sera du jamais vu en la matière en Côte d'Ivoire. Les journalistes seront formés à l'ère du modernisme.
Beaucoup de bruits a couru par rapport à ce 7e congrès, qu'est-ce que cela vous inspire aujourd'hui ?
Effectivement, nous avons compris pourquoi les décideurs du bureau sortant (le président et son Secrétaire général aujourd'hui candidat) avaient opté pour une gestion opaque. Il y a de nombreuses choses à réaliser pour la collectivité mais les gens préfèrent en profiter seuls. Nous sommes les favoris, et les aînés qui ont mis en avant leur soi- disant expérience le savent. Ils n'ont pas plus d'expérience que nous. Aux âmes bien nées, la valeur n'attend pas le nombre des années. La preuve, durant cette campagne, ils n'ont que copier tous nos concepts. Des affiches 12m2 en passant par les tee-shirts, les " doyens " n'avaient pas prévu cela. Ils ont manœuvré au report des élections où ils sont juge et partie en vue de rattraper cet écart. En réalité, ils ne peuvent rien faire pour les journalistes, c'est pourquoi, ils n'ont pas hésité à écarter par tous les moyens les candidats qui leur paraissaient plus coriaces. Mais ils se sont trompés sur notre compte car c'est nous qui allons leur faire mordre la poussière…
Pourquoi cet optimiste ?
Souvenez-vous au début de la déclaration des candidatures, ils ont tenté par tous les moyens de nous dissuader de nous présenter. Allant jusqu'à dire que l'Unjci est une mafia et qu'il ne faut pas qu'on s'y aventure. Mais nous ne nous sommes pas laissés faire jusqu'à maintenant. Et notre victoire se dessine. En cette fin de campagne, on se rend compte que ce sont nos acquis qu'ils mettent en avant. Je veux parler, entre autres, de nos contacts internationaux dans le cadre de la formation des journalistes. Aujourd'hui, ils font croire qu'ils ont eux aussi des contacts à mettre au service des confrères. Mais les journalistes de Côte d'Ivoire ne sont pas dupes. Pourquoi ne l'ont-ils pas fait depuis qu'ils dirigent l'Union. Il faut qu'on respecte les journalistes.
Avez-vous des appréhensions par rapport à ce Congrès ?
Je peux vous assurer que nous n'avons plus d'appréhension. Il y a quelques semaines, oui mais plus à présent. Nous avons pu percer leur stratégie et nous savons comment il compte nous voler notre victoire. Ils seront très surpris de notre réaction durant tout le Congrès. Nous avons la preuve qu'ils ont distribué une centaine de cartes à des gens qui n'en ont pas droit. C'est le lieu d'inviter tous ces faussaires à ne pas se rendre sur les lieux. Parce que ces gens seront non seulement interdits de prendre part au vote mais les éléments de la police sur place les mettront aux arrêts. Il ne faut surtout pas qu'ils s'amusent à ce jeu. Nous sommes une Union sérieuse et nous ne devons pas être un mauvais exemple. Pour terminer, j'invite tous les confrères à prendre part à ce 7e Congrès qui est celui du changement. Aujourd'hui, plus que jamais, un vent nouveau doit souffler.
S.A
