Avant son départ pour Ouagadougou dans le cadre du match retour des 16èmes de fFinale de la Champions league qui opposera l'Asec Mimosas à l'Etoile filante de Ouagadougou, le coach Patrick Liewig a fait l'état des lieux. Pour lui, il n'est pas question de défendre.
Pouvez-vous nous dire dans quel esprit vous allez aborder ce match à Ouaga?
La priorité est de se qualifier. La qualification s'acquiert sur deux (2) matches. Le premier a été négocié avec un avantage de 2 buts. Le 2ème ne doit pas être dans une logique de défendre mais au contraire avec cet avantage, avoir une mentalité qui doit nous mettre en confiance sans qu'elle ne soit trop excessive, pour bien défendre ensemble, attaquer ensemble et être conquérant dans tous les secteurs de jeu. Bien défendre ensemble ne veut pas dire être défensif.
On connait l'EFO comme une équipe très athlétique et très engagée. Quelle stratégie adopterez-vous pour barrer la route aux Burkinabés de l'EFO?
Pas de stratégie spécifique, il y a à prendre en compte le potentiel athlétique de l'EFO. Cette seule stratégie, n'est pas seulement pour le prochain match contre l'EFO mais pour l'ensemble des matches. Notre stratégie reste dans l'animation défensive afin de ne pas subir mais au contraire d'éviter d'être toujours au duel à partir d'une bonne maitrise collective. Le match joué à Bouaké contre la SOA dans le cadre de la 2ème journée de la Ligue 1, qui est dans le même registre nous a permis de bien préparer cette rencontre
Ne redoutez-vous pas la pression du public burkinabé qui est annoncé en grand nombre au stade de Ouaga ?
Le fait de jouer dans un stade avec une grande assistance est une source en plus de motivation pour l'ensemble des joueurs. Même si l'équipe est jeune, ces garçons ont une certaine expérience des compétitions africaines à travers la Champion's league et les sélections en équipe nationale. Cette pression environnementale, ils la connaissent, aussi doit-elle se transformer en une pression de terrain dans le comportement individuel et collectif des joueurs.
On a vu lors du match aller, une attaque de l'ASEC très épanouie et soutenue par une tour de contrôle oxygénée par une belle présence et des relances très élaborées. Allez-vous reconduire ce beau schéma ?
Ce n'est pas un schéma, c'est principalement un jeu orienté sur un bloc d'une équipe dynamique, active dans chacune de ses lignes. Et c'est cela la base de notre jeu. A partir du moment où on est bien ensemble dans l'animation offensive, on est bien dans l'animation défensive. Après, il appartient aux joueurs de faire la différence dans les derniers 30 mètres. Qu'on joue à Abidjan ou à Ouagadougou, on reste dans le même principe de jeu.
Quel est votre mot de la fin ?
Les matches de champion's league restent des matches de haut niveau. La première des priorités est toujours de se qualifier pour les 8èmes de finale. Le groupe est conscient de l'enjeu sportif. L'EFO a des qualités mais, pensons d'abord à nous-mêmes avant de se focaliser sur notre adversaire.
De Bouaffo
Source asec.ci
Pouvez-vous nous dire dans quel esprit vous allez aborder ce match à Ouaga?
La priorité est de se qualifier. La qualification s'acquiert sur deux (2) matches. Le premier a été négocié avec un avantage de 2 buts. Le 2ème ne doit pas être dans une logique de défendre mais au contraire avec cet avantage, avoir une mentalité qui doit nous mettre en confiance sans qu'elle ne soit trop excessive, pour bien défendre ensemble, attaquer ensemble et être conquérant dans tous les secteurs de jeu. Bien défendre ensemble ne veut pas dire être défensif.
On connait l'EFO comme une équipe très athlétique et très engagée. Quelle stratégie adopterez-vous pour barrer la route aux Burkinabés de l'EFO?
Pas de stratégie spécifique, il y a à prendre en compte le potentiel athlétique de l'EFO. Cette seule stratégie, n'est pas seulement pour le prochain match contre l'EFO mais pour l'ensemble des matches. Notre stratégie reste dans l'animation défensive afin de ne pas subir mais au contraire d'éviter d'être toujours au duel à partir d'une bonne maitrise collective. Le match joué à Bouaké contre la SOA dans le cadre de la 2ème journée de la Ligue 1, qui est dans le même registre nous a permis de bien préparer cette rencontre
Ne redoutez-vous pas la pression du public burkinabé qui est annoncé en grand nombre au stade de Ouaga ?
Le fait de jouer dans un stade avec une grande assistance est une source en plus de motivation pour l'ensemble des joueurs. Même si l'équipe est jeune, ces garçons ont une certaine expérience des compétitions africaines à travers la Champion's league et les sélections en équipe nationale. Cette pression environnementale, ils la connaissent, aussi doit-elle se transformer en une pression de terrain dans le comportement individuel et collectif des joueurs.
On a vu lors du match aller, une attaque de l'ASEC très épanouie et soutenue par une tour de contrôle oxygénée par une belle présence et des relances très élaborées. Allez-vous reconduire ce beau schéma ?
Ce n'est pas un schéma, c'est principalement un jeu orienté sur un bloc d'une équipe dynamique, active dans chacune de ses lignes. Et c'est cela la base de notre jeu. A partir du moment où on est bien ensemble dans l'animation offensive, on est bien dans l'animation défensive. Après, il appartient aux joueurs de faire la différence dans les derniers 30 mètres. Qu'on joue à Abidjan ou à Ouagadougou, on reste dans le même principe de jeu.
Quel est votre mot de la fin ?
Les matches de champion's league restent des matches de haut niveau. La première des priorités est toujours de se qualifier pour les 8èmes de finale. Le groupe est conscient de l'enjeu sportif. L'EFO a des qualités mais, pensons d'abord à nous-mêmes avant de se focaliser sur notre adversaire.
De Bouaffo
Source asec.ci