C'est aujourd'hui qu'a lieu le 7ème congrès de l'UNJCI. Avant cette cérémonie, le candidat Criwa Zéli confie ici qu'il part confiant.
Quels sont les grands axes de votre programme ?
En ce qui concerne les grands axes, il faut dire qu'il y a quatre points essentiels qui nous tiennent à cœur. Sinon, c'est un programme qui se constitue en 12 points mais on va développer des 4 points essentiels. Il y a d'abord le concept de la revalorisation socio-professionnelle du journaliste qui est notre credo. C'est-à-dire que pour nous aujourd'hui, il faut revaloriser le métier du journaliste ivoirien. Après avoir fait les différents séminaires de formation, après avoir mis le prix Ebony au niveau très élevé, pour nous, il reste maintenant le journaliste lui-même. Qu'est-ce qu'il faut pour que ce journaliste ait une bonne image à l'extérieur. Donc c'est le combat qu'il nous reste maintenant à mener, le combat de la revalorisation socio-professionnelle du journaliste à travers l'application de la convention collective. Or la convention collective a été signée le 12 février 2008, nous pensons qu'il est temps que cette convention entre en vigueur. Elle va entrer en vigueur le 30 juin prochain. Donc c'est notre premier combat. Le deuxième combat, c'est de mettre en place le fonds de solidarité des journalistes. C'est dire que dans notre corporation, il y avait moins de solidarité. Nous avons trouvé une structure qui peut galvaniser toutes les énergies, trouver les fonds pour apporter un soutien aux journalistes, pour apporter un soutien au renforcement des capacités des journalistes, pour apporter un soutien à la mise en place d'une assurance-maladie parce que vous savez qu'au niveau d'une assurance-maladie, ce n'est pas toujours facile. Donc il faut déjà une structure qui va fédérer les idées, qui va chercher les moyens pour pouvoir garantir la mise en place d'une assurance-maladie. Nous nous sommes dit qu'il fallait également ce fonds de solidarité qui va aider directement les journalistes en détresse, les journalistes en difficulté, les journalistes qui ont besoin d'un appui pour pouvoir bénéficier d'une opération immobilière. Ça, c'est le troisième axe de notre grand programme. Aujourd'hui, nous avons un partenaire avec qui nous avons échangé sur toute la question, nous sommes en train de poursuivre la réalisation de ce projet.
Pensez-vous que dans le délai de votre mandat, vous pouvez réaliser tous les grands axes de votre programme ?
Mais justement, c'est pourquoi on cherche à mettre l'accent particulier sur les éléments essentiels. On a trois ans ; c'est un mandat de trois ans. C'est vrai, trois ans c'est peu, à trois ans, on ne peut pas tout faire. Mais nous ferons ce qui est humainement possible. Donc après ces élections, nous allons faire un séminaire-programme pour faire le chronogramme d'exécution des idées que nous avons arrêtées, des programmes que nous avons arrêtés. Et sur cette base-là, au niveau des 24 membres, qui sont les membres du conseil, nous allons responsabiliser chaque membre du conseil qui aura donc une activité à mettre en place, qui sera maître d'un projet qu'il va suivre, qu'il va réaliser. Donc, nous sommes convaincu qu'en trois ans, on ne pourra tout faire, mais nous ferons l'essentiel, nous ferons ce qui est important pour les journalistes.
Partez-vous confiant à ce congrès ?
Je suis une personne optimiste de nature. Donc, très confiant. Confiant parce que cela fait plus d'un an que nous travaillons. Nous avons parcouru toutes les rédactions. Nous avons fait le tour des rédactions pour sensibiliser les journalistes pour leur donner un message très fort sur notre programme. Et je pense que les journalistes ne vont pas nous trahir. Ceux que nous avons contactés vont nous porter à la tête de l'union, nous avons une bonne équipe de 24 membres où il y a des hommes et des femmes expérimentés, déterminés et engagés. Et je pense que sur la place, comme je l'ai dit plus haut, ce sont les meilleurs parmi les meilleurs que nous avons choisis pour constituer cette liste. Et quand vous parcourez notre liste, vous vous rendez compte que ce sont des journalistes assez responsables. Nous ne pouvons qu'être confiant au regard du travail que nous avons fait, au regard des tournées que nous avons faites dans les rédactions, au regard du programme même que nous avons présenté aux journalistes, nous ne pouvons qu'être confiant. Nous demandons aux journalistes d'adhérer à cette idée. Ceux qui sont encore hésitants, nous leur disons de venir parce que le train de la victoire est en place. Il ne faudrait pas qu'ils ratent ce train de la victoire. Le 5 avril, nous allons célébrer cette victoire, qu'ils viennent pour qu'ensemble nous la célébrions et travailler pour notre corporation.
Interview réalisée par Prisca
Coll : IY
Quels sont les grands axes de votre programme ?
En ce qui concerne les grands axes, il faut dire qu'il y a quatre points essentiels qui nous tiennent à cœur. Sinon, c'est un programme qui se constitue en 12 points mais on va développer des 4 points essentiels. Il y a d'abord le concept de la revalorisation socio-professionnelle du journaliste qui est notre credo. C'est-à-dire que pour nous aujourd'hui, il faut revaloriser le métier du journaliste ivoirien. Après avoir fait les différents séminaires de formation, après avoir mis le prix Ebony au niveau très élevé, pour nous, il reste maintenant le journaliste lui-même. Qu'est-ce qu'il faut pour que ce journaliste ait une bonne image à l'extérieur. Donc c'est le combat qu'il nous reste maintenant à mener, le combat de la revalorisation socio-professionnelle du journaliste à travers l'application de la convention collective. Or la convention collective a été signée le 12 février 2008, nous pensons qu'il est temps que cette convention entre en vigueur. Elle va entrer en vigueur le 30 juin prochain. Donc c'est notre premier combat. Le deuxième combat, c'est de mettre en place le fonds de solidarité des journalistes. C'est dire que dans notre corporation, il y avait moins de solidarité. Nous avons trouvé une structure qui peut galvaniser toutes les énergies, trouver les fonds pour apporter un soutien aux journalistes, pour apporter un soutien au renforcement des capacités des journalistes, pour apporter un soutien à la mise en place d'une assurance-maladie parce que vous savez qu'au niveau d'une assurance-maladie, ce n'est pas toujours facile. Donc il faut déjà une structure qui va fédérer les idées, qui va chercher les moyens pour pouvoir garantir la mise en place d'une assurance-maladie. Nous nous sommes dit qu'il fallait également ce fonds de solidarité qui va aider directement les journalistes en détresse, les journalistes en difficulté, les journalistes qui ont besoin d'un appui pour pouvoir bénéficier d'une opération immobilière. Ça, c'est le troisième axe de notre grand programme. Aujourd'hui, nous avons un partenaire avec qui nous avons échangé sur toute la question, nous sommes en train de poursuivre la réalisation de ce projet.
Pensez-vous que dans le délai de votre mandat, vous pouvez réaliser tous les grands axes de votre programme ?
Mais justement, c'est pourquoi on cherche à mettre l'accent particulier sur les éléments essentiels. On a trois ans ; c'est un mandat de trois ans. C'est vrai, trois ans c'est peu, à trois ans, on ne peut pas tout faire. Mais nous ferons ce qui est humainement possible. Donc après ces élections, nous allons faire un séminaire-programme pour faire le chronogramme d'exécution des idées que nous avons arrêtées, des programmes que nous avons arrêtés. Et sur cette base-là, au niveau des 24 membres, qui sont les membres du conseil, nous allons responsabiliser chaque membre du conseil qui aura donc une activité à mettre en place, qui sera maître d'un projet qu'il va suivre, qu'il va réaliser. Donc, nous sommes convaincu qu'en trois ans, on ne pourra tout faire, mais nous ferons l'essentiel, nous ferons ce qui est important pour les journalistes.
Partez-vous confiant à ce congrès ?
Je suis une personne optimiste de nature. Donc, très confiant. Confiant parce que cela fait plus d'un an que nous travaillons. Nous avons parcouru toutes les rédactions. Nous avons fait le tour des rédactions pour sensibiliser les journalistes pour leur donner un message très fort sur notre programme. Et je pense que les journalistes ne vont pas nous trahir. Ceux que nous avons contactés vont nous porter à la tête de l'union, nous avons une bonne équipe de 24 membres où il y a des hommes et des femmes expérimentés, déterminés et engagés. Et je pense que sur la place, comme je l'ai dit plus haut, ce sont les meilleurs parmi les meilleurs que nous avons choisis pour constituer cette liste. Et quand vous parcourez notre liste, vous vous rendez compte que ce sont des journalistes assez responsables. Nous ne pouvons qu'être confiant au regard du travail que nous avons fait, au regard des tournées que nous avons faites dans les rédactions, au regard du programme même que nous avons présenté aux journalistes, nous ne pouvons qu'être confiant. Nous demandons aux journalistes d'adhérer à cette idée. Ceux qui sont encore hésitants, nous leur disons de venir parce que le train de la victoire est en place. Il ne faudrait pas qu'ils ratent ce train de la victoire. Le 5 avril, nous allons célébrer cette victoire, qu'ils viennent pour qu'ensemble nous la célébrions et travailler pour notre corporation.
Interview réalisée par Prisca
Coll : IY
