Les différentes entités des Forces nouvelles se réuniront le lundi prochain à leur base à Bouaké pour débattre de l'appel des délégués des Forces nouvelles invitant leur Secrétaire général à démissionner du poste de Premier ministre de Côte d'Ivoire. Cette invite des délégués Forces nouvelles que le Front populaire ivoirien, parti présidentiel, (FPI) par le truchement de son tumultueux Secrétaire général chargé des élections, a d'ores et déjà qualifié de "montage de toutes pièces ou de pipeau?, sera discuté par les instances de décision des Forces nouvelles en vue d'une prise de décisions courageuses et historiques.
Les Forces nouvelles, en tant qu'un mouvement politique et responsable, ne sauraient se donner, à un tournant crucial de la vie de la nation, dans des plaisanteries de mauvais goût. La réunion du lundi permettra au directoire politique et aux grands commandements des Forces nouvelles de passer au peigne fin le processus de sortie de crise depuis la signature de l'accord politique de Ouagadougou et d'analyser avec beaucoup de sérénité les recommandations incluses dans le communiqué final du conclave des Délégués qui s'est tenu les 13 et 14 Avril derniers à Bouaké.
On n'en serait pas arrivé là si les différents signataires de l'accord politique avaient respecté leur engagement et surtout les dispositions contenues dans le chapitre 6 de l'APO relatif aux mesures visant à consolider la réconciliation nationale, la paix, la sécurité et la libre circulation des personnes et des biens.
" Les Parties s'engagent à entretenir entre elles un esprit de dialogue permanent basé sur la confiance mutuelle, à s'abstenir de toute attitude belligérante et outrageante et à appeler leurs militants respectifs à adopter des comportements empreints de respect et de retenue " stipule le point 6.6.3 de l'accord politique de Ouagadougou signé le 04 mars 2007.
Depuis cette date, les Forces nouvelles se sont toujours inscrites dans l'esprit de cet accord tandis que le Fpi ne cesse de lancer des appels à la révolte contre les FN ou de lancer des injures inacceptables à l'endroit du Premier ministre, Secrétaire général des Forces nouvelles, au vu et au su de tous sans que personne ne réagisse ou interpelle tout simplement ces cadres irresponsables de ce parti minoritaire qu'est le FPI.
La communauté nationale et internationale observe et personne n'ose réagir pour ramener le FPI à l'ordre. On attend sûrement le pourrissement de la situation pour lever le petit doigt.
Pour la paix, l'on décide de faire certains sacrifices, qui recommandent parfois le droit de ne pas répliquer à certaines injures grotesques venant des individus irresponsables qui ont tout simplement décidé de mettre leurs intérêts personnels et égoïstes au premier plan, ignorant la souffrance des Ivoiriens qui n'aspirent qu'à la paix.
Après deux ans d'injures et d'attaques inutiles contre leur premier responsable, les délégués Forces nouvelles ont donc décidé de mettre fin à la récréation en appelant ce dernier à démissionner de son poste de Premier ministre et à regagner sa base.
Cet appel n'est pas passé inaperçu. En témoigne le communiqué du Directeur de la Communication des Forces Nouvelles, par ailleurs Conseiller spécial du Premier ministre : " Cet appel diversement interprété fera l'objet dans les prochains jours de débat au sein des différentes entités des Forces Nouvelles pour la prise de décisions courageuses et historiques. (…) Par ailleurs, il importe d'indiquer que l'appel des Délégués a bien été noté par le Secrétaire Général, le Premier Ministre Guillaume Soro " a-t-il indiqué dans le communiqué du 15 avril 2009.
A l'issue de cette rencontre qui s'avère d'une importance capitale et décisive, le Premier ministre Guillaume Soro pourra apprécier la nouvelle posture politique à adopter pour la poursuite du processus de sortie de crise. En attendant, c'est toute la Côte d'Ivoire qui retient son souffle.
Notons que le Secrétaire général des Forces nouvelles Guillaume Soro, après consultation et approbation de toute la crème politique et militaire des Forces nouvelles, avait accepté d'occuper le 26 Mars 2007 le poste de Premier ministre de Côte d'Ivoire, à la faveur de la signature de l'APO entre le camp présidentiel et les Forces nouvelles.
Source : www.fninfo.ci
Les Forces nouvelles, en tant qu'un mouvement politique et responsable, ne sauraient se donner, à un tournant crucial de la vie de la nation, dans des plaisanteries de mauvais goût. La réunion du lundi permettra au directoire politique et aux grands commandements des Forces nouvelles de passer au peigne fin le processus de sortie de crise depuis la signature de l'accord politique de Ouagadougou et d'analyser avec beaucoup de sérénité les recommandations incluses dans le communiqué final du conclave des Délégués qui s'est tenu les 13 et 14 Avril derniers à Bouaké.
On n'en serait pas arrivé là si les différents signataires de l'accord politique avaient respecté leur engagement et surtout les dispositions contenues dans le chapitre 6 de l'APO relatif aux mesures visant à consolider la réconciliation nationale, la paix, la sécurité et la libre circulation des personnes et des biens.
" Les Parties s'engagent à entretenir entre elles un esprit de dialogue permanent basé sur la confiance mutuelle, à s'abstenir de toute attitude belligérante et outrageante et à appeler leurs militants respectifs à adopter des comportements empreints de respect et de retenue " stipule le point 6.6.3 de l'accord politique de Ouagadougou signé le 04 mars 2007.
Depuis cette date, les Forces nouvelles se sont toujours inscrites dans l'esprit de cet accord tandis que le Fpi ne cesse de lancer des appels à la révolte contre les FN ou de lancer des injures inacceptables à l'endroit du Premier ministre, Secrétaire général des Forces nouvelles, au vu et au su de tous sans que personne ne réagisse ou interpelle tout simplement ces cadres irresponsables de ce parti minoritaire qu'est le FPI.
La communauté nationale et internationale observe et personne n'ose réagir pour ramener le FPI à l'ordre. On attend sûrement le pourrissement de la situation pour lever le petit doigt.
Pour la paix, l'on décide de faire certains sacrifices, qui recommandent parfois le droit de ne pas répliquer à certaines injures grotesques venant des individus irresponsables qui ont tout simplement décidé de mettre leurs intérêts personnels et égoïstes au premier plan, ignorant la souffrance des Ivoiriens qui n'aspirent qu'à la paix.
Après deux ans d'injures et d'attaques inutiles contre leur premier responsable, les délégués Forces nouvelles ont donc décidé de mettre fin à la récréation en appelant ce dernier à démissionner de son poste de Premier ministre et à regagner sa base.
Cet appel n'est pas passé inaperçu. En témoigne le communiqué du Directeur de la Communication des Forces Nouvelles, par ailleurs Conseiller spécial du Premier ministre : " Cet appel diversement interprété fera l'objet dans les prochains jours de débat au sein des différentes entités des Forces Nouvelles pour la prise de décisions courageuses et historiques. (…) Par ailleurs, il importe d'indiquer que l'appel des Délégués a bien été noté par le Secrétaire Général, le Premier Ministre Guillaume Soro " a-t-il indiqué dans le communiqué du 15 avril 2009.
A l'issue de cette rencontre qui s'avère d'une importance capitale et décisive, le Premier ministre Guillaume Soro pourra apprécier la nouvelle posture politique à adopter pour la poursuite du processus de sortie de crise. En attendant, c'est toute la Côte d'Ivoire qui retient son souffle.
Notons que le Secrétaire général des Forces nouvelles Guillaume Soro, après consultation et approbation de toute la crème politique et militaire des Forces nouvelles, avait accepté d'occuper le 26 Mars 2007 le poste de Premier ministre de Côte d'Ivoire, à la faveur de la signature de l'APO entre le camp présidentiel et les Forces nouvelles.
Source : www.fninfo.ci