Le projet de renforcement des capacités des enseignements secondaires, de la formation professionnelle et de l’emploi (CAPEFA) sera une réalité très bientôt. La preuve, une convention entre l’Unesco et la Côte d’Ivoire a été signé, le mardi 14 avril dernier, au cabinet du ministère ivoirien de l’Education nationale, à Abidjan-Plateau. Le projet a un coût d’environ 440 millions FCFA (880.000 dollars Us).
“Le projet vise à renforcer les capacités institutionnelles du secteur éducation/formation par l’amélioration des outils de planification, de gestion et de suivi-évaluation. Il en va de même pour la qualité des formations, des enseignements et apprentissages tant au niveau de l’enseignement secondaire général qu’au niveau de l’enseignement technique et de la formation professionnelle”, a déclaré le ministre ivoirien de l’Education nationale, Gilbert Bleu Lainé. Il s’agit, a-t-il dit, d’améliorer la qualité de l’éducation qui est un objectif essentiel du programme mondial de l’éducation pour tous (EPT) dont la Côte d’Ivoire est partie prenante. Le programme, à l’en croire, est d’une importance capitale pour le système éducatif ivoirien qui a souffert et continue de souffrir des affres de la guerre. Le ministre Bleu Lainé a promis une utilisation efficiente et rationnelle des moyens qui seront mis à la disposition du projet.
Mme Moundo, directrice du bureau multi pays de l’Unesco à Accra, pour sa part, a indiqué que l’accord marque l’engagement de sa structure à apporter un appui particulier à la Côte d’Ivoire dans la sortie de crise.
Le projet entre dans le cadre de la mise en œuvre de la Résolution 34C/60 et de la décision 180E/43 relatives au programme global d’appui spécial post-conflit en faveur de la Côte d’Ivoire dans les domaines de compétence de l’UNESCO.
Gomon Edmond
“Le projet vise à renforcer les capacités institutionnelles du secteur éducation/formation par l’amélioration des outils de planification, de gestion et de suivi-évaluation. Il en va de même pour la qualité des formations, des enseignements et apprentissages tant au niveau de l’enseignement secondaire général qu’au niveau de l’enseignement technique et de la formation professionnelle”, a déclaré le ministre ivoirien de l’Education nationale, Gilbert Bleu Lainé. Il s’agit, a-t-il dit, d’améliorer la qualité de l’éducation qui est un objectif essentiel du programme mondial de l’éducation pour tous (EPT) dont la Côte d’Ivoire est partie prenante. Le programme, à l’en croire, est d’une importance capitale pour le système éducatif ivoirien qui a souffert et continue de souffrir des affres de la guerre. Le ministre Bleu Lainé a promis une utilisation efficiente et rationnelle des moyens qui seront mis à la disposition du projet.
Mme Moundo, directrice du bureau multi pays de l’Unesco à Accra, pour sa part, a indiqué que l’accord marque l’engagement de sa structure à apporter un appui particulier à la Côte d’Ivoire dans la sortie de crise.
Le projet entre dans le cadre de la mise en œuvre de la Résolution 34C/60 et de la décision 180E/43 relatives au programme global d’appui spécial post-conflit en faveur de la Côte d’Ivoire dans les domaines de compétence de l’UNESCO.
Gomon Edmond