Samedi, Tiken Jah Fakoly sera en concert samedi au Parc des sports de Treichville. En prélude à ce spectacle, le chanteur a animé une conférence de presse au cours de laquelle il a parlé de son concept « Un concert-une école ».
«C'est une façon pour moi de partager ce que je gagne avec mes mélomanes. Mais surtout, construisons des écoles pour les enfants d'Afrique», a lancé, hier, Tiken Jah Fakoly au cours d'une conférence de presse, dans l'enceinte du Parker place, à Marcory Zone 4. C'est en prélude au concert qu'il organise, demain, à partir de 14 heures, au Parc des sports de Treichville. L'artiste a tenu à mieux expliquer le concept « Un concert-une école ». « Mettons nos enfants à l'école afin que nous puissions faire émerger l'Afrique car si les Africains sont bien formés, il n'y a pas de raison que nous ne puissions atteindre le cap de l'Occident dans l'avenir. Nous sommes sur la même planète. Je marque le pas, pour montrer le chemin aux jeunes parce qu'on me demandera de rendre compte de ce que j'ai fait pour l'Afrique», a expliqué le reggaeman ivoirien. Tiken Jah a parlé des difficultés auxquelles il est confronté en matière de sponsoring. « J'ai financé personnellement à 100% le concerts de Conakry et celui d'Abidjan. Il faut bien que je garde quand même un peu d'argent pour ma retraite », a-t-il expliqué. Le chanteur est revenu sur la réhabilitation du « Groupe scolaire Biafra » de Conakry, qui est une école historique pour avoir formé plusieurs cadres de la Guinée et même certains de la Cote d'Ivoire. L'auteur de « Balayeur balayé » a parlé de son prochain album qui s'intitulera « African revolution », ainsi que les étapes futures d'un concept « un concert-une école » qui prendra en compte le Mali, 13 juin et ensuite le Togo.
K.M
«C'est une façon pour moi de partager ce que je gagne avec mes mélomanes. Mais surtout, construisons des écoles pour les enfants d'Afrique», a lancé, hier, Tiken Jah Fakoly au cours d'une conférence de presse, dans l'enceinte du Parker place, à Marcory Zone 4. C'est en prélude au concert qu'il organise, demain, à partir de 14 heures, au Parc des sports de Treichville. L'artiste a tenu à mieux expliquer le concept « Un concert-une école ». « Mettons nos enfants à l'école afin que nous puissions faire émerger l'Afrique car si les Africains sont bien formés, il n'y a pas de raison que nous ne puissions atteindre le cap de l'Occident dans l'avenir. Nous sommes sur la même planète. Je marque le pas, pour montrer le chemin aux jeunes parce qu'on me demandera de rendre compte de ce que j'ai fait pour l'Afrique», a expliqué le reggaeman ivoirien. Tiken Jah a parlé des difficultés auxquelles il est confronté en matière de sponsoring. « J'ai financé personnellement à 100% le concerts de Conakry et celui d'Abidjan. Il faut bien que je garde quand même un peu d'argent pour ma retraite », a-t-il expliqué. Le chanteur est revenu sur la réhabilitation du « Groupe scolaire Biafra » de Conakry, qui est une école historique pour avoir formé plusieurs cadres de la Guinée et même certains de la Cote d'Ivoire. L'auteur de « Balayeur balayé » a parlé de son prochain album qui s'intitulera « African revolution », ainsi que les étapes futures d'un concept « un concert-une école » qui prendra en compte le Mali, 13 juin et ensuite le Togo.
K.M