Le président de l’ACG (Association citoyenne pour Gbagbo), Elie Hallassou, a animé une conférence de presse, en prélude au délibéré de l’affaire qui l’oppose à Satoci son ex-employeur, le lundi 27 avril 2009 dans un restaurent de la place à Cocody. Il a demandé à ce que le droit soit dit pour que d’autres personnes ne soient victimes du même sort que lui.
M. Elie Hallassou qualifie l’affaire qui l’oppose à son ex-employeur la Satoci d’un procès politico-juridique. Selon le président de l’association citoyenne pour Gbagbo, le verdict en faveur de la Satoci serait un désaveu non seulement pour lui, mais aussi pour la Nation et le président de la République. Avant d’ajouter que ‘‘si le délibéré du 30 avril prochain est un échec, je prendrai mes responsabilités’’. C’est pourquoi, il interpelle le premier Magistrat du pays pour que le droit soit dit. Aux dires de M. Elie Hallassou, la Satoci défie la République en faisant perdurer le procès. Ce n’est pas normal, a-t-il déclaré, que la République ne réagisse pas face à cette défiance de son ex-employeur. « Me donner tort, c’est donner tort au combat que je mène pour la défense des institutions de la République et pour le Chef de l’Etat », a martelé le Libanais de Gbagbo. Il a déploré le fait qu’il soit victime d’un licenciement abusive au mépris de toutes les lois du travail. Le président de l’Acg s’est dit serein avant le verdict du Tribunal. En précisant qu’il ne demande pas de faveur du pouvoir en place et du président de la République pour être dédommagé par son ex-employeur. Pour lui, les accusations de la Satoci sont vides de sens et son avocat, Me George Patric Vieira, l’a démontré. M. Elie Hallassou a affirmé ne pas avoir l’intention de mettre une quelconque pression sur le Tribunal par ses actions. Aussi, est-il prêt à poursuivre son combat pour la défense de la République et la personne qui l’incarne. Il a insisté, cependant, sur le fait que l’issue du procès sera déterminante dans la suite de sa carrière politique.
C.S
M. Elie Hallassou qualifie l’affaire qui l’oppose à son ex-employeur la Satoci d’un procès politico-juridique. Selon le président de l’association citoyenne pour Gbagbo, le verdict en faveur de la Satoci serait un désaveu non seulement pour lui, mais aussi pour la Nation et le président de la République. Avant d’ajouter que ‘‘si le délibéré du 30 avril prochain est un échec, je prendrai mes responsabilités’’. C’est pourquoi, il interpelle le premier Magistrat du pays pour que le droit soit dit. Aux dires de M. Elie Hallassou, la Satoci défie la République en faisant perdurer le procès. Ce n’est pas normal, a-t-il déclaré, que la République ne réagisse pas face à cette défiance de son ex-employeur. « Me donner tort, c’est donner tort au combat que je mène pour la défense des institutions de la République et pour le Chef de l’Etat », a martelé le Libanais de Gbagbo. Il a déploré le fait qu’il soit victime d’un licenciement abusive au mépris de toutes les lois du travail. Le président de l’Acg s’est dit serein avant le verdict du Tribunal. En précisant qu’il ne demande pas de faveur du pouvoir en place et du président de la République pour être dédommagé par son ex-employeur. Pour lui, les accusations de la Satoci sont vides de sens et son avocat, Me George Patric Vieira, l’a démontré. M. Elie Hallassou a affirmé ne pas avoir l’intention de mettre une quelconque pression sur le Tribunal par ses actions. Aussi, est-il prêt à poursuivre son combat pour la défense de la République et la personne qui l’incarne. Il a insisté, cependant, sur le fait que l’issue du procès sera déterminante dans la suite de sa carrière politique.
C.S