Les premiers éléments des forces de défense et de sécurité mis à la disposition du CCI font mouvement ce matin vers Yamoussoukro.
Des gendarmes et policiers, dont le nombre n’est pas connu, seront mis aujourd’hui à la disposition du centre de commandement intégré (CCI) basé à Yamoussoukro par l’état- major des Armées. Ces éléments qui constituent une partie des 4000 FDS (forces de défense et de sécurité) retenus pour être déployés sur l’ensemble du territoire national dans le cadre de la mission de sécurisation du processus électoral embarqueront ce matin à 8 heures au camp galliéni (Abidjan-Plateau) pour la capitale politique où ils seront sous les ordres du CCI.
L’information a été donnée hier à la presse par le général Philippe Mangou, chef d’état-major des Armées (CEMA). Le patron des FDS qui sortait d’une séance de travail sur le sujet avec ses collaborateurs, dont le commandant supérieur de la gendarmerie nationale et le directeur général de la police, a indiqué que le déploiement de ses hommes se fera de façon progressive. Interpellé sur les bruits de résistance qu’opposeraient l’ex-rébellion à l’arrivée des FDS dans ses zones, le CEMA s’est voulu assez rassurant. «C’est vous qui m’apprenez que les forces nouvelles font de la résistance. J’ai échangé ce matin au téléphone avec le général Bakayoko Soumaila (ndlr :chef d’état major des forces armées des forces nouvelles). Il ne m’a pas dit qu’il y a une quelconque résistance», a confié le général Mangou aux journalistes.
La sécurisation du processus électoral confiée au CCI va mobiliser 8000 hommes dont 4000 FDS et 4000 ex-combattants des forces armées des forces nouvelles. Dans une interview accordée récemment à la télévision nationale, le chef de l’Etat avait affirmé que le déploiement des 8000 hommes mettra fin au pouvoir des «com-zones».
Junior Dekassan
Des gendarmes et policiers, dont le nombre n’est pas connu, seront mis aujourd’hui à la disposition du centre de commandement intégré (CCI) basé à Yamoussoukro par l’état- major des Armées. Ces éléments qui constituent une partie des 4000 FDS (forces de défense et de sécurité) retenus pour être déployés sur l’ensemble du territoire national dans le cadre de la mission de sécurisation du processus électoral embarqueront ce matin à 8 heures au camp galliéni (Abidjan-Plateau) pour la capitale politique où ils seront sous les ordres du CCI.
L’information a été donnée hier à la presse par le général Philippe Mangou, chef d’état-major des Armées (CEMA). Le patron des FDS qui sortait d’une séance de travail sur le sujet avec ses collaborateurs, dont le commandant supérieur de la gendarmerie nationale et le directeur général de la police, a indiqué que le déploiement de ses hommes se fera de façon progressive. Interpellé sur les bruits de résistance qu’opposeraient l’ex-rébellion à l’arrivée des FDS dans ses zones, le CEMA s’est voulu assez rassurant. «C’est vous qui m’apprenez que les forces nouvelles font de la résistance. J’ai échangé ce matin au téléphone avec le général Bakayoko Soumaila (ndlr :chef d’état major des forces armées des forces nouvelles). Il ne m’a pas dit qu’il y a une quelconque résistance», a confié le général Mangou aux journalistes.
La sécurisation du processus électoral confiée au CCI va mobiliser 8000 hommes dont 4000 FDS et 4000 ex-combattants des forces armées des forces nouvelles. Dans une interview accordée récemment à la télévision nationale, le chef de l’Etat avait affirmé que le déploiement des 8000 hommes mettra fin au pouvoir des «com-zones».
Junior Dekassan
