La scène s’est déroulée, samedi dernier, à Gbon. Le maire de cette jeune commune du Nord de la Côte d’Ivoire, Sanogo Bamba et son adjoint Kamagaté Bamory étaient face à leurs administrés. La mission de ces militants RDR consistait, selon nos sources, à saboter les actions du gouvernement ivoirien, particulièrement celles du président Gbagbo dans la localité.
C’est Kamagaté Bamory, ont précisé nos sources, qui a été directement commis à cette sale besogne. Ce dernier s’est évertué à faire comprendre à ceux qui l’écoutaient que l’heure de la révolte doit sonner. Car, selon son lui, il ne leur faut guère accepter que Kouto soit érigé en préfecture au lieu de Gbon. Il a martelé, en effet, que si l’administration ivoirienne n’a pas choisi Gbon, il faut faire payer cela, à son chef, le président Laurent Gbagbo qui serait en quête d’un bétail électoral dans leur espace géographique, bastion naturel du RDR que Sanogo Bamba et ses suiveurs tiendraient à sécuriser par tous les moyens.
En fait, insistent nos sources, la municipalité a entrepris cette campagne de d’intoxication en vue de dissuader la majorité des populations qui s’organisent actuellement en vue d’aller exprimer leur gratitude au président de la République Laurent Gbagbo qui, en un temps record, a donné une suite favorable à leurs doléances d’envergure sociale : une ambulance, un important lots de médicaments et une décortiqueuse en ce concerne les femmes de l’association Calao, à l’occasion de l’installation officielle d’une section de la structure, en mars dernier. «Si quelqu’un veut aller dire merci à Gbagbo, frappez-le», aurait ordonné Kamagaté Bamory, d’une voix ferme.
Voilà une attitude de va-t-en-guerre à déplorer à l’heure où le Premier ministre Guillaume Soro et le président de la République Laurent Gbagbo s’activent de concert pour le retour de la paix en Côte d’Ivoire qui doive passer par la réconciliation, la réunification et des élections libres et transparentes.
Schadé Adédé
C’est Kamagaté Bamory, ont précisé nos sources, qui a été directement commis à cette sale besogne. Ce dernier s’est évertué à faire comprendre à ceux qui l’écoutaient que l’heure de la révolte doit sonner. Car, selon son lui, il ne leur faut guère accepter que Kouto soit érigé en préfecture au lieu de Gbon. Il a martelé, en effet, que si l’administration ivoirienne n’a pas choisi Gbon, il faut faire payer cela, à son chef, le président Laurent Gbagbo qui serait en quête d’un bétail électoral dans leur espace géographique, bastion naturel du RDR que Sanogo Bamba et ses suiveurs tiendraient à sécuriser par tous les moyens.
En fait, insistent nos sources, la municipalité a entrepris cette campagne de d’intoxication en vue de dissuader la majorité des populations qui s’organisent actuellement en vue d’aller exprimer leur gratitude au président de la République Laurent Gbagbo qui, en un temps record, a donné une suite favorable à leurs doléances d’envergure sociale : une ambulance, un important lots de médicaments et une décortiqueuse en ce concerne les femmes de l’association Calao, à l’occasion de l’installation officielle d’une section de la structure, en mars dernier. «Si quelqu’un veut aller dire merci à Gbagbo, frappez-le», aurait ordonné Kamagaté Bamory, d’une voix ferme.
Voilà une attitude de va-t-en-guerre à déplorer à l’heure où le Premier ministre Guillaume Soro et le président de la République Laurent Gbagbo s’activent de concert pour le retour de la paix en Côte d’Ivoire qui doive passer par la réconciliation, la réunification et des élections libres et transparentes.
Schadé Adédé
