L'ancien milieu de terrain de l'Africa sport et des Eléphants, Dié Serges, évolue en Grèce, à Iraklis Salonique, un club de Ligue 1. A 31 ans, il a toujours envie de poursuivre l'aventure.
Dié Serges, on est tenté de vous demandés que devenez-vous ?
Je suis là. Tout se passe bien. Je viens de finir ma première saison avec mon club (Iraklis) et je crois que ça va. Je me plais à Salonique.
Justement, quel bilan faites-vous de votre première saison dans ce club?
Les choses se sont bien passées par la grâce du Seigneur. Nous avons terminé 8e en Championnat. Nous nous sommes maintenus. Personnellement, j'ai des galons de titulaire. J'ai joué très régulièrement. C'était le plus important.
Comment vous êtes-vous retrouvé en Grèce ?
Je crois que ça été une opportunité. Il fallait donc la saisir. Je ne regrette pas ce choix. Et puis, j'ai retrouvé mon compatriote Ibrahima Bakayoko (Ndlr : ex-Marseillais et ex-capitaine des Eléphants). Nous sommes dans la même ville mais pas dans le même club. Lui, il évolue au Paok Salonique, le club phare de la ville.
Pensez-vous toujours aux Eléphants ?
Je suis toujours de cœur avec eux. Je prends toujours de leur nouvelle, mais ce n'est pas pour revenir jouer. J'ai tourné la page des Eléphants. C'est fini.
Où en êtes-vous avec votre fondation ?
La fondation Manassé se porte bien. J'ai récemment effectué une cérémonie de lancement en Grèce et dans le mois de juin, lorsque je serai sur place, je vais effectuer une nouvelle cérémonie de lancement à Abidjan. Et nous allons profiter de l'occasion pour faire un geste à l'endroit des parents des victimes et des blessés du 29 mars au stade Houphouët Boigny. Nous avons tous été marqués par ce drame. Nous sommes de cœur avec toutes ces victimes.
Entretien réalisé au téléphone par Choilio Diomandé
Dié Serges, on est tenté de vous demandés que devenez-vous ?
Je suis là. Tout se passe bien. Je viens de finir ma première saison avec mon club (Iraklis) et je crois que ça va. Je me plais à Salonique.
Justement, quel bilan faites-vous de votre première saison dans ce club?
Les choses se sont bien passées par la grâce du Seigneur. Nous avons terminé 8e en Championnat. Nous nous sommes maintenus. Personnellement, j'ai des galons de titulaire. J'ai joué très régulièrement. C'était le plus important.
Comment vous êtes-vous retrouvé en Grèce ?
Je crois que ça été une opportunité. Il fallait donc la saisir. Je ne regrette pas ce choix. Et puis, j'ai retrouvé mon compatriote Ibrahima Bakayoko (Ndlr : ex-Marseillais et ex-capitaine des Eléphants). Nous sommes dans la même ville mais pas dans le même club. Lui, il évolue au Paok Salonique, le club phare de la ville.
Pensez-vous toujours aux Eléphants ?
Je suis toujours de cœur avec eux. Je prends toujours de leur nouvelle, mais ce n'est pas pour revenir jouer. J'ai tourné la page des Eléphants. C'est fini.
Où en êtes-vous avec votre fondation ?
La fondation Manassé se porte bien. J'ai récemment effectué une cérémonie de lancement en Grèce et dans le mois de juin, lorsque je serai sur place, je vais effectuer une nouvelle cérémonie de lancement à Abidjan. Et nous allons profiter de l'occasion pour faire un geste à l'endroit des parents des victimes et des blessés du 29 mars au stade Houphouët Boigny. Nous avons tous été marqués par ce drame. Nous sommes de cœur avec toutes ces victimes.
Entretien réalisé au téléphone par Choilio Diomandé