Fraîchement nommé entraîneur de l'équipe fanion de l'Asec, Gouaméné Maxime (36 ans), livre ses sentiments et présente ses objectifs. Il revient également sur le nul enregistré hier au stade Robert Champroux devant l'USC Bassam (1-1).
Comment vous sentez-vous dans votre peau de nouvel entraîneur de l'Asec mimosas ?
Bien. J'hérite d'une équipe de renommée et j'avoue que c'est du lourd. Mais je ferai tout pour atteindre les objectifs fixés par le club.
Quels sont les objectifs qui vous ont été fixés par vos dirigeants ?
Aller à fond dans le Championnat national. On a à cœur de le remporter et avancer.
Etre nommé entraîneur après votre élimination en Ligue des champions ne vous met-il pas une pression supplémentaire ?
Lorsqu'on est dans un club comme l'Asec mimosas, la pression est permanente. Je suis habitué à cela. Deux jours après ma nomination, j'ai un match. Je n'ai pratiquement pas eu le temps de préparer ce match mais je ne vais pas déjà pleurer.
Avez-vous été surpris par votre nomination ?
Oui et non. Oui parce que l'élimination au Zimbabwe a fait mal surtout que le Monomotapa était à notre portée. Nous n'avons peut-être pas fait ce qu'il fallait mais je dis non car mes dirigeants pensent à donner un autre souffle à l'équipe. C'est la raison pour laquelle j'ai été nommé.
Etes-vous déçu après votre nul (1-1) enregistré devant l'USC Bassam, pour le compte de la 6è journée en retard de la L1 ?
Je retiens que ce résultat nul (1-1) n'arrange pas nos affaires. Pour mon premier match comme entraîneur en chef, j'espérais aussi m'imposer. Nous avions surtout à cœur de remporter la victoire après nos contre performance devant Issia Wazy (1-0) et le Monomotapa FC du Zimbabwe (2-0), en Ligue des champions. Malheureusement la pluie nous a coupé les jambes.
La pluie n'est-elle pas un prétexte pour justifier vos difficultés actuelles?
Non. L'équipe de Bassam a de la qualité mais mes joueurs ont montré de belles choses après avoir encaissé le but. En tout cas, sur ce que mes garçons ont montré, c'est bon car il y a déjà l'envie de réussir quelque chose. Je suis confiant pour la suite. Lors de notre prochaine sortie devant le Séwé de San Pedro, nous nous imposerons.
Entretien réalisé par Guy-Florentin Yaméogo
Comment vous sentez-vous dans votre peau de nouvel entraîneur de l'Asec mimosas ?
Bien. J'hérite d'une équipe de renommée et j'avoue que c'est du lourd. Mais je ferai tout pour atteindre les objectifs fixés par le club.
Quels sont les objectifs qui vous ont été fixés par vos dirigeants ?
Aller à fond dans le Championnat national. On a à cœur de le remporter et avancer.
Etre nommé entraîneur après votre élimination en Ligue des champions ne vous met-il pas une pression supplémentaire ?
Lorsqu'on est dans un club comme l'Asec mimosas, la pression est permanente. Je suis habitué à cela. Deux jours après ma nomination, j'ai un match. Je n'ai pratiquement pas eu le temps de préparer ce match mais je ne vais pas déjà pleurer.
Avez-vous été surpris par votre nomination ?
Oui et non. Oui parce que l'élimination au Zimbabwe a fait mal surtout que le Monomotapa était à notre portée. Nous n'avons peut-être pas fait ce qu'il fallait mais je dis non car mes dirigeants pensent à donner un autre souffle à l'équipe. C'est la raison pour laquelle j'ai été nommé.
Etes-vous déçu après votre nul (1-1) enregistré devant l'USC Bassam, pour le compte de la 6è journée en retard de la L1 ?
Je retiens que ce résultat nul (1-1) n'arrange pas nos affaires. Pour mon premier match comme entraîneur en chef, j'espérais aussi m'imposer. Nous avions surtout à cœur de remporter la victoire après nos contre performance devant Issia Wazy (1-0) et le Monomotapa FC du Zimbabwe (2-0), en Ligue des champions. Malheureusement la pluie nous a coupé les jambes.
La pluie n'est-elle pas un prétexte pour justifier vos difficultés actuelles?
Non. L'équipe de Bassam a de la qualité mais mes joueurs ont montré de belles choses après avoir encaissé le but. En tout cas, sur ce que mes garçons ont montré, c'est bon car il y a déjà l'envie de réussir quelque chose. Je suis confiant pour la suite. Lors de notre prochaine sortie devant le Séwé de San Pedro, nous nous imposerons.
Entretien réalisé par Guy-Florentin Yaméogo
